taille du dessin original : 32 x 24 cm |
« Le printemps est si beau ! Sa chaleur embaumée
Descend au fond des cœurs réveillés et surpris :
Une voix qui dormait, une ombre accoutumée,
Redemande l'amour à nos sens attendris.
La raison vainement à ce danger s'oppose,
L'image inattendue enivre la raison :
Tel un insecte ailé s'élance sur la rose,
Et la brûle d'un doux poison. »
Réédition au soleil couchant |
… en fin d'après-midi |
… et avec un ciel d'orage |
Nocturne… |
Un des plus beaux poèmes sur le plaisir solitaire que j'ai jamais lu, et illustré en grand ! Parfois qu'il est doux de se faire vibrer soi-même, au fil de nos fantasmes, quand le désir ne tient plus qu'à un fil... Bien à vous !
RépondreSupprimerL'auteur du texte est une grande poétesse romantique aujourd'hui un peu tombée dans l'oubli. Mais je ne sais pas si elle pensait vraiment au plaisir solitaire... Mais il est toujours plaisant de jouer sur le double sens possible des textes. Cordialement.
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