lundi 1 mai 2017

Trois-centième

dessin pornographique bondage gay
Taille originale : 21 x 28,2
« Nous pêchons à la ligne dans la rivière. Bec-de-Lièvre arrive en courant. Elle ne nous voit pas. Elle se couche dans l’herbe, remonte sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Nous voyons ses fesses nues et les poils entre ses jambes. Nous n’avons pas encore de poils entre les jambes. Bec-de-Lièvre en a, mais très peu.
Bec-de-Lièvre siffle. Un chien arrive. C’est notre chien. Elle le prend dans ses bras, elle se roule avec lui dans l’herbe. Le chien aboie, se dégage, se secoue et part en courant. Bec-de-Lièvre l’appelle d’une voix douce en se caressant le sexe avec les doigts.
Le chien revient, renifle plusieurs dois le sexe de Bec-de-Lièvre et se met à le lécher.
Bec-de-Lièvre écarte les jambes, presse la tête du chien sur son ventre avec ses deux mains. Elle respire très fort et se tortille.
Le sexe du chien devient visible, il est de plus en plus long, il est mince et rouge. Le chien relève la tête, il essaie de grimper sur Bec-de-Lièvre. Bec-de-Lièvre se retourne, elle est sur les genoux, elle tend son derrière au chien. Le chien pose ses pattes de devant sur le dos de Bec-de-Lièvre, ses membres postérieurs tremblent. Il cherche, approche de plus en plus, se met entre les jambes de Bec-de-Lièvre, se colle contre ses fesses. Il bouge très vite d’avant en arrière. Bec-de-Lièvre crie et, au bout d’un moment, elle tombe sur le ventre.
Le chien s’éloigne lentement.
Bec-de-Lièvre reste couchée pendant un certain temps, puis elle se lève nous voit, elle rougit. Elle crie :
— Sales petits espions ! Qu’est-ce que vous avez vu ?
Nous répondons :
— Nous t’avons vue jouer avec notre chien.
Elle demande :
— Je suis toujours votre copine ?
— Oui. Et nous te permettons de jouer avec notre chien tant que tu veux.
—Et vous ne direz à personne ce que vous avez vu ?
— Nous ne disons jamais rien à personne. Tu peux compter sur nous.
Elle s’assied dans l’herbe, elle pleure :
— Il n’y a que les bêtes qui m’aiment. »