dimanche 14 avril 2019

Un soir d’été

Taille originale : oubliée…

Nous étions installés à six à la terrasse du pavillon de banlieue que j’occupais alors avec ma compagne Johanne. Il y avait là deux de mes collègues avec qui j’avais sympathisé au fil du temps, Christine d’abord la responsable de la comptabilité accompagnée de son mari Pierre, médecin, et de ses deux enfants, Adèle et Maxime ; et puis Victor, responsable de production qui était également venu avec son épouse, Thelma d’origine allemande, et ses deux garçons Lucas et Ethan qui devaient avoir une dizaine d’années.

L’on finissait de manger la lasagne végétarienne que j’avais préparée et je n’avais suivi que par moments la conversation qui tournait autour des sujets habituels, le travail et la politique. Mais membres de la classe moyenne aisée sinon supérieure, nous récriminions entre nous sur toutes les manifestations de mauvaise humeur qui agitaient régulièrement les déclassés et les gagnepetits. Les trois garçons s’occupaient au fond du jardin, tandis qu’Adèle, l’ainée, douze ans à peine, jouait avec une tablette assise dans un fauteuil du salon attenant à la terrasse.

La conversation languissait déjà, et j’admirais le visage de Christine assise en face de moi. Comme souvent, je n’avais remarqué sa beauté, ou plutôt son charme, que progressivement. Elle avait un visage et un corps tout en rondeur, des cheveux courts, un sourire constant qui dégageait une sympathie immédiate. Je profitai d’un silence pour lui demander directement : « J’ai envie d’éjaculer sur ton visage. Est-ce que tu serais d’accord ? » « Oui bien sûr. Maintenant tout de suite ? » J’acquiesçai. Mais son mari Pierre intervint : « Mais tu as toujours refusé avec moi. Tu prétends que c’est humiliant et que tu n’en as pas envie ! — Mais toi, c’est différent. Tu te sens tellement supérieur… tu es médecin, tu répètes que tu gagnes plus que moi, tu ne t’occupes de rien à la maison, ni des enfants… Toute la charge mentale, hein, c’est moi qui la porte. Tandis que Henri, là, regarde, il fait à manger, il débarrasse… et il gagne moins que moi, je le sais, c’est moi qui établis les fiches de paie. Et puis il est timide, je suis sûr qu’il a beaucoup hésité avant de faire sa demande, hein, Henri ? » Je restai coi. « Regarde, il rougit… Tu veux qu’on le fasse ici sur la terrasse ? » me demanda-t-elle. Je proposai qu’on aille dans le salon. Les voisins ne m’étaient pas très sympathiques, et je n’avais pas envie qu’ils profitent du spectacle. Je dis cependant à Christine que j’avais envie que ce soit un peu humiliant pour elle, car cela m’excitait de porter ainsi offense à sa beauté. Elle me dit que cela ne la gênait pas.

Bien en main !

Toute la compagnie se leva et se dirigea vers le salon. Ma compagne s’installa sur une chaise et les trois autres convives dans le grand canapé. Je me mis debout au milieu de la pièce, et Christine s’agenouilla devant moi.

« Tu fais quoi, maman, demanda Adèle. — Henri va m’éjaculer sur le visage, tu vas voir, c’est très intéressant. — Mais pourquoi ? — C’est un amusement d’adultes. Tu peux regarder, mais tu ne t’en mêles pas, d’accord. »

J’ouvris mon pantalon et commençai à me branler au-dessus du visage de Christine. J’eus envie qu’elle me suce, mais elle refusa, ajoutant qu’elle n’avait accepté qu’un cumshot. La situation d’ensemble m’excitait terriblement, mais, après quelques minutes, le regard des autres me fit ressentir l’aspect de performance de l’acte. J’hésitai. Christine le remarqua et murmura des obscénités à mon intention, vraisemblablement pour que sa fille n’entende pas ses propos. « Vas y, arrose-moi comme une chienne, je suis une pute disposée à te vider les couilles, je suis une salope qui exige ton foutre, je veux dégouliner de sperme… ». Ces mots m’ont refait bander durement alors que, levant les yeux, elle plongeait son regard dans le mien. Je me suis branlé un long moment sentant le foutre monter peu à peu dans ma bite. Je rêvais de la couvrir de sperme, d’éjaculer en longs jets sur son visage jusque dans ses cheveux, de voir sa beauté dégoulinante de foutre. Je jouis, mais malheureusement en quantités bien inférieures à mes espérances. Néanmoins, tout le monde applaudit de satisfaction, Christine se relevant sans même s’essuyer le visage.

L’on retourna à table sur la terrasse, et je servis le dessert, des crèmes brûlées et des mousses au chocolat pour les enfants, toutes faites maison. Christine laissait le foutre étalé sur son front ses joues, son menton, ses vêtements, et la conversation reprit paresseusement. Les trois garçons venus du fond du jardin ne semblèrent pas remarquer l’état de Christine. La chaleur de l’après-midi était agréable, et le vin que j’avais bu m’assoupissait légèrement. On avait abandonné les questions politiques. On parlait de vacances passées ou à venir. Je demandai si l’on voulait du thé ou du café.

Les réponses tardèrent, d’abord confuses. Thelma dit alors d’une voix claire : « Moi, ce que j’aimerais, c’est me faire enculer. Quelqu’un est partant ? Pierre ? Je ne vais pas demander à mon mari tout de même… et Henri ne semble pas en état. Il a déjà beaucoup donné. »

Tout le monde se leva, et Thelma annonça aux garçons « On va faire un jeu avec Pierre : il va doucement entrer sa bite dans le trou de mon cul et je crois bien que je vais la prendre toute en moi… Mais vous pouvez continuer à jouer dans le jardin si vous préférez. » Tout le monde retourna dans le salon. Thelma fit asseoir Pierre dans le fauteuil et ouvrit son pantalon. Elle commença à le branler en le regardant droit dans les yeux. Elle abaissa son propre pantalon, l’enleva ainsi que sa culotte puis s’assit au-dessus de son acolyte. Elle commença à frotter sa bite qui était déjà raide contre sa chatte manifestement trempée. Elle fit aller le gland d’avant en arrière jusqu’à ce qu’il fut bien mouillé. Les garçons s’étaient assis par terre pour voir ce qui se passait entre les cuisses de Thelma. Celle-ci dirigea bientôt la bite entre ses fesses et commença à s’enfoncer sur elle. On devinait que le gland pénétrait lentement dans le trou de son cul. Mais il glissa et Thelma dut reprendre l’engin en main pour le diriger dans la bonne voie. Pierre la regardait fixement. Sa bite s’enfonça peu à peu, Thelma s’appuyant fortement sur elle. On devinait que son cul s’ouvrait progressivement. C’était fascinant de voir cette bite disparaître entre les fesses de Thelma jusqu’à qu’on ne voie plus que les deux couilles entre la raie des fesses. Thelma se souleva et la bite réapparut miraculeusement. Puis disparut à nouveau. Thelma, la quarantaine épanouie, montait et descendait régulièrement avec de légers soupirs. Après un moment, je devinai qu’elle se caressait par devant alors que le rythme était toujours aussi ample et régulier. Victor regardait sa femme se faire enculer et je vis que lui aussi se caressait le sexe à travers son pantalon.

On aurait pu croire que le couple allait bientôt jouir, mais Thelma décida soudain de changer de position et, après avoir retiré ses derniers vêtements, se mit à quatre pattes devant le fauteuil et dit brutalement à Pierre : « Vas-y, encule-moi, défonce-moi bien le cul, j’ai envie de sentir ta grosse bite dans mon cul. » Je remarquai effectivement que le matériel de Pierre était relativement conséquent, et, après avoir saisi les fesses de Thelma, il s’enfonça d’un seul mouvement régulier dans son cul. Elle se caressait rapidement, et l’on pouvait voir de brefs instants les lèvres de son sexe roses et trempées. Il l’encula pendant un long moment jusqu’à ce qu’elle s’affaisse vers l’avant, secouée par des spasmes. Il resta en elle sans bouger. Puis il recommença doucement à aller et venir en elle. Elle se caressait à nouveau. Elle jouit encore et il éjacula finalement dans son cul. Tout le monde reprit ses esprits. Je dis à Christine et Johanne que c’était un spectacle magnifique. Elles acquiescèrent. Je remarquai des traces séchées de sperme sur le visage de Christine.

Avant déménagement…

Je voulus amener du café et du thé. Mais Christine avait une autre suggestion. Elle dit à Pierre que c’était à lui à présent de se faire enculer. « Et j’ai envie que ce soit Victor qui le fasse. » Elle ordonna que Pierre se déshabille complètement et qu’il s’assoie dans le fauteuil en écartant largement les cuisses. Victor, nu à son tour, s’agenouilla devant lui et le saisit par les genoux qu’il posa sur ses propres épaules. Christine à ses côtés commença à branler Victor. Elle le suça même brièvement, et quand elle estima que la bite était suffisamment dure, elle la dirigea vers le cul de son mari. Mais celui-ci était étroit et refusa de s’ouvrir. Je proposai d’aller chercher du lubrifiant. Mais le temps de monter dans la chambre et de redescendre, l’intromission s’était faite, et Pierre regardait fixement dans les yeux Victor qui l’enculait, et il l’attirait même en lui plus profondément avec ses mains posées sur sa taille. Victor besognait vigoureusement et ne laissait échapper qu’un souffle rauque. Pierre gémissait comme un animal soumis. L’enculage dura un long moment à tel point que les jeunes garçons d’abord fascinés par le spectacle que leur offraient leurs pères s’éloignèrent en parlant à mi-voix et retournèrent jouer au jardin. Adèle, quant à elle, ne regardait plus que par instants la scène et préférait manifestement le jeu sur sa tablette.

Finalement, Victor voulut changer de position et, après avoir fait mettre son partenaire à quatre pattes, il le baisa en levrette. Placé derrière eux, je voyais par instants la bite de Pierre à moitié dure qui balançait entre ses cuisses. Il voulut se caresser un moment, mais Victor attrapa sa main et la ramena dans son dos pour l’immobiliser. Il ne dit rien, mais je compris qu’il voulait que son acolyte subisse pleinement la sodomie comme un esclave consentant à son entier assujettissement. Victor saisit d’ailleurs bientôt de sa main laissée libre les cheveux de Pierre pour l’immobiliser encore un peu plus pendant qu’il l’enculait profondément. De sourdes exclamations jaillissaient du public : c’est beau ! c’est bien ! démonte-lui le cul ! tu te fais bien défoncer ! c’est magnifique ! une magnifique enculade ! non, un superbe enculage (on dit enculage ou enculement ?…) !

Contrairement à ce que j’imaginais, Victor ne jouit cependant pas immédiatement, et il décida de changer à nouveau de position. Il s’assit dans le fauteuil et il fit s’asseoir Pierre sur sa bite. Celui-ci lui tournait le dos, et, de face, l’on pouvait admirer le mouvement admirable des deux bites et des deux paires de couilles superposées. La belle bite de Victor entrait et venait dans le cul de Pierre, disparaissant et réapparaissant sous notre regard émerveillé, alors que celle de Pierre flottait librement, dure sans être rigide, s’agitant d’un côté à l’autre de son bas-ventre. Bientôt cependant, Adèle s’approcha du couple en pleine fornication et commença à filmer avec sa tablette numérique leur action sodomite. Je lui demandai ce qu’elle comptait faire ces images, et elle me répondit simplement qu’elle allait les envoyer à ses amies qui étaient persuadées que leurs parents, à leur âge, ne devaient plus souvent faire l’amour… Elle allait donc les détromper. Mais dès que l’envoi fut fait sur les réseaux sociaux, elle se replongea dans son jeu sur tablette.

Victor qui se démenait de plus en plus rapidement dans le cul de Pierre finit par jouir en poussant des grognements de plaisir. Sa bite ramollie et couverte de sperme s’échappa bientôt entre les fesses de son acolyte qui se releva et commença à se branler devant l’assistance. Quelqu’un était-il disposé à le sucer maintenant qu’il avait repris vigueur et souhaitait remplir de foutre une bouche complice ? Il regarda Johanne ma compagne, mais je me proposai immédiatement pour cet office. Sa bite raide, majestueusement courbée me plaisait incroyablement et son gland lisse et violet m’attirait de façon irrésistible. J’avalai sa grosse bite, je la suçai, je caressai les couilles, je pompai le nœud, je léchai le gland, j’avalai encore et encore, j’avalai sa pine jusqu’aux couilles, passionnément, sans m’interrompre, jusqu’à ce que je sente le foutre chaud couler suavement dans ma bouche et au fond de ma gorge.

Pierre et Victor se rhabillèrent et nous retournâmes sur la terrasse où je servis le café et proposai des alcools forts. J’avais encore le goût du sperme exquis dans la bouche. L’on parla vaguement de quelques films qui avaient été vus récemment. Christine commença à observer attentivement Johanne. Il est vrai que ses traits fins, légèrement asiates, ses longs cheveux noirs qui encadraient son visage, sa bouche bien dessinée aux lèvres charnues attiraient irrésistiblement le regard. Sa beauté était resplendissante, et personne ne pouvait rivaliser avec elle autour de la table. Christine lui adressa bientôt la parole, mais ses propos étaient également destinés aux autres convives : « Et toi, Johanne, tu n’as pas envie de baiser ou de te faire baiser ? Je crois que tout le monde ici à envie de te voir à l’œuvre… et d’admirer ton corps qui doit être parfait !
— Oui, pourquoi pas ? Mais ce sera toi ma partenaire.
— Ça me plaît, oui. »

Dans l’escalier, ce n’est pas la concierge !

Nouveau déplacement au salon. Johanne demanda à Christine de se déshabiller la première. Elle nous révéla, à moi du moins, ses formes rondes et ses seins généreux. Sa chatte n’était pas rasée, et sa toison noire et drue me plut particulièrement. Elle s’approcha bientôt de Johanne, l’embrassa légèrement, la caressa à travers ses vêtements puis commença à la déshabiller. Je pensais souvent que Johanne avait un corps de liane, mince, élancé, souple avec des seins relativement menus, mais fermes et bien arrondis. Elle avait un peu de l’apparence de ces top-modèles qui défilent sur d’improbables podiums, sans avoir leur allure artificielle dans la démarche ni leur mauvaise humeur sur le visage. Christine avait ouvert la robe de Johanne qui descendait à présent à sa taille. Elle lui caressa les seins l’un après l’autre. Placée derrière elle, elle l’embrassait dans le cou et sur les épaules. Elle fit bientôt glisser sa robe à ses pieds. Elle posa sa main sur le triangle noir avant de son slip. Sans être étonnée de ce qu’elle venait de découvrir, elle glissa ses doigts sous le slip et fit sortir la bite de Johanne. Je crus sentir un frémissement dans l’assemblée. Le sexe de Johanne se gonfla immédiatement sous les doigts de Christine. Sa bite devint rapidement extrêmement dure et se redressa jusqu’à toucher son ventre. Elle était telle que je la connaissais quand Johanne m’enculait, d’une superbe rigidité.

Christine se mit à genoux et commença à sucer Johanne. Celle-ci se laissait faire. Adèle se leva et alla rejoindre les garçons dans le jardin. Je compris son propos sans l’entendre, et les quatre enfants s’empressèrent de revenir admirer la dame avec une bite. Les adultes spectateurs étaient d’ailleurs dans le même état de ravissement. Johanne ne prenait aucune initiative laissant Christine diriger les opérations. Celle-ci suçait, caressait, léchait, avalait avec une évidente passion la pine dure qui lui était offerte. Je crus qu’elle se contenterait de jouir du foutre qui coulerait bientôt dans sa bouche (je la voyais par ailleurs se caresser le clito), mais elle décida après un long moment de fellation de se coucher dans le canapé, les cuisses largement ouvertes, bien décidée à se faire baiser par Johanne qui vint s’agenouiller devant elle. La bite rigide que j’adorais était prête à l’emploi, commençait déjà à pénétrer la chatte trempée, s’activait régulièrement et de plus en plus profondément. Les yeux de Christine vacillèrent. Je répétai silencieusement les mots pompeux d’extase érotique, puis plus vulgairement qu’elle se faisait baiser comme elle ne l’avait jamais été. J’imaginais facilement le trouble extrême qui devait être le sien de se faire effectivement baiser par cet être merveilleux et exceptionnel qu’était Johanne.

Après un court répit, Christine voulut changer la mise en scène pour que tous puissent admirer la beauté de leurs deux sexes en action, et, après avoir demandé à sa partenaire de se coucher dans le fauteuil devant l’assistance attentive, elle vint s’asseoir au-dessus d’elle, dans la même position où son mari s’était précédemment fait enculer. Elle saisit en effet la bite de Johanne et se l’enfonça lentement dans le cul. Puis elle offrit le spectacle de son sexe qu’elle ouvrit et caressa doucement avant de remonter vers son clitoris qu’elle masturba tout en chevauchant régulièrement Johanne. Je ne pus me retenir, et, même si je me touchais à peine, je sentis que j’éjaculais dans mon pantalon.

Christine jouit à son tour puis se leva pour faire quelques pas tremblants. Le temps sembla presque suspendu alors que chacun reprenait conscience du monde environnant. Johanne se redressa et proposa aux quatre adultes de venir remplir leur office à genoux devant elle. Comme des fidèles assemblés, ils se prosternèrent devant l’objet de leur adoration, et Johanne offrit sa bite aux quatre bouches successivement. L’une et l’autre, l’un et l’autre l’avalèrent religieusement. Pierre et Victor pris d’une espèce d’extase voulurent s’humilier encore plus devant le sceptre sacré et, après avoir pu goûter à sa substance, ils baisèrent silencieusement les pieds de Johanne. Celle-ci voulait pourtant les rassasier toutes et tous et offrait à nouveau généreusement sa bite à l’adoration de leurs bouches assoiffées. Les couilles furent également célébrées, et finalement chacun put à son tour honorer l’anus présenté entre les fesses écartées et y enfoncer profondément la langue comme en un sombre confessionnal pour un colloque singulier. Le trou du cul de Johanne suscita une singulière piété, tous prolongeant leur adoration au-delà du raisonnable. Finalement, Johanne réunit une nouvelle fois ses fidèles à ses pieds et se branla en majesté devant elles, devant eux. Son essence jaillit divinement et se répandit sur les deux visages joints de Thelma et de Christine. Les larmes de la jouissance furent ensuite reléchées avec dévotion par Pierre et Victor.

Adèle annonça alors qu’elle avait filmé toute la dernière scène et qu’elle l’avait transmise en direct sur le grand réseau via la chaîne TonTubeDeDentifirice. La séquence avait déjà été « aimée » plus de dix mille fois. Mais, dans les commentaires, la philosophe Simona Maggiordoma avait néanmoins mis en cause la fascination stupidement phallique de toute cette séquence.

La froideur d‘un jour de départ

(Plus tard, dans l’obscurité environnante ne resta que la mélancolie d’un soir d’été trop chaud, trop mielleux. L’ivresse figeait le temps dans un léger tremblement alors que l’on devinait dans les environs des mâles à la ripaille fatiguée se regardant vieillir et se rêvant baiseurs intègres alors que le vent soulevait la poussière tremblante autour de femelles à deux doigts d’être nues.)

Aucun animal n’a été maltraité au cours de la rédaction de cette nouvelle, ni aucun·e mineur·e de moins de 18 ans exposé·e à des situations contraires aux bonnes mœurs. Tous les personnages et toutes les situations mises en scène sont fictives, et toute ressemblance avec des faits réels serait l’effet d’une pure coïncidence ou du manque d’imagination de l’auteur.

Encadrer, décadrer, recadrer