dimanche 31 décembre 2017

Le trou de son cul

Dessin ancien, taille originale : 21 x 29,7


— Mais je ne comprends pas…
— Elle lèche le trou du cul de son amante…
— Ah bon ? Ce n’est pas très clair…
— Oui, tu as raison : c’est cadré de façon trop serrée. Je vais refaire le dessin autour. Regarde…
— Oui.
Taille originale : 50 x 65 cm

— Tu vois : comme ça, c’est plus clair, non ?
— Mais c’est pas propre, je trouve.
— Elles se sont certainement lavées avant…
— Et pourquoi elle fait ça, si c’est pas propre.
— C’est des choses d’adultes. Les grandes personnes, ça leur arrive de faire des choses comme ça.
— Mais pourquoi ?
— Elles en ont envie… Tout le monde n’a pas envie de faire ça, mais ça plaît à certaines personnes.
— Explique-moi !
— Celle qui lèche le trou du cul, elle a envie, elle a très envie, elle a immensément envie de son amante, tu vois. Parfois, on dit que les amants ont envie de manger l’autre, comme s’ils étaient cannibales. Et les amantes aussi. Elle, elle n’a pas envie de manger son amante, mais elle a envie de la posséder entièrement, totalement, elle a tellement envie d’elle qu’elle veut embrasser la moindre parcelle de sa peau, de son corps…
— Oui, mais pourquoi le trou du cul ?
— C’est un peu plus difficile à expliquer, en effet. Comment dire ? Le trou du cul, c’est l’endroit peut-être pas le plus intime, mais le plus personnel… celui qu’on ne montre à personne… Une femme peut ouvrir les cuisses pour montrer sa chatte, pour montrer son sexe, mais il faut écarter ses fesses avec les mains pour avoir accès au trou de son cul. J’allais dire : tu vois, mais justement on ne le voit pas.
— Embrasser sur la bouche, la première fois qu’on me l’a dit, j’ai trouvé ça un peu dégoûtant…
— C’est un peu la même chose. Elle veut embrasser sa bouche, ses seins, son ventre, tout son corps et même le trou de son cul. Elle veut embrasser même son cul, elle veut s’enfoncer en elle, s’enfouir en elle… là où elle seule peut aller, où elle seule a le droit d’aller.
— Mais l’autre, ça la fait rire…
— Oui, mais surtout, elle aime ça. Pour moi, enfin, en tout cas, elle aime ça. Dans mon dessin, je veux dire. Il faut aussi qu’elle, elle aie envie de ça… Elle a envie de se donner complètement… Même le trou de son cul, elle veut que son amante l’embrasse, non seulement qu’elle l’embrasse, mais qu’elle l’embrasse fiévreusement, passionnément. Ce n’est pas sa langue seulement qu’elle veut sentir s’immiscer dans son fondement, c’est la passion de son amante qui doit prendre possession d’elle…
— Tu crois que ça se voit sur ton dessin ?
— Je ne sais pas…

dimanche 26 novembre 2017

L’Iliade et l’Odyssée




Je ne pense que ce soit un archétype ou un modèle qui aurait imprégné on ne sait pas trop comment toute la culture européenne. La seule chose que cela signifie, c’est qu’il s’agit d’une espèce d’heureux hasard artistique : Homère, c’est la première œuvre littéraire occidentale et l’on peut encore lire aujourd’hui l’Iliade et l’Odyssée et y trouver un sens immédiat ou simplement s’y retrouver, y retrouver une part de soi-même. Ce qui s’y illustre, c’est le flux et le reflux. C’est ce double mouvement qui est significatif.
Achille est animé par la colère. C’est ce qui le pousse quand l’aventure n’aboutit pas, quand les Achéens ne parviennent pas à gagner la guerre. Mais partir de chez soi ou sortir de soi, le mouvement est le même. Ce n’est pas la violence qui est première, ce n’est pas l’agressivité, ni la séduction de la guerre dont parlent certains reporters, mais c’est la sortie de soi, qui implique une perte de soi, une ouverture, une échappée. Et un risque : on doit s’oublier, oublier de se préserver, oublier de préserver sa propre image, on doit risquer d’abîmer sa propre image, et ce risque est celui de sa propre mort. Celle de Patrocle, celle d’Achille finalement.
Lacan en parle de sa façon obscure et prétentieuse, mais c’est de cela qu’il s’agit avec l’objet du désir, l’objet (a) exposant dit-il d’une fonction, celle de l’index levé vers une absence : le vocabulaire algébrique me laisse coi mais la formule qui suit est plutôt jolie. Une absence que n’importe quoi vient remplir, la guerre, l’aventure, l’art, le pouvoir, n’importe quoi qui semble réel, qui est réel, mais qui bientôt se révèle illusoire du fait de l’insatisfaction fondamentale du désir… C’est ça l’Iliade, partir à la conquête de l’objet absent de son désir. Ça a l’air très masculin dit comme ça, mais, plus l’égalité progresse, plus les femmes, écrivaines, cinéastes, artistes, nous raconteront la même histoire, le même leurre, le même tremblement que l’on éprouve dans cette sortie de soi, la même excitation que l’on éprouve à se mettre en danger, quelle qu’en soit la forme (ah ! les sports extrêmes ! succédané des aventures anciennes).
La guerre ne m’intéresse pas. Peut-être parce que c’est trop risqué et que c’est de la lâcheté de ma part. Et puis la guerre est injuste, toujours. Mais la sexualité, oui, c’est une sortie de soi, une exposition à l’autre, ce tremblement quand on se donne, quand on se s’abandonne à l’autre. On dit que ce sont les femmes qui se donnent, qui s’abandonnent, mais c’est vrai aussi pour les hommes… On fait l’amour jusqu’à l’abandon, jusqu’à s’abandonner soi-même.
Mais ensuite, il y a le retour vers Ithaque, le retour vers soi. Pas le retour heureux. Un retour lent et difficile vers ce qu’on est, seul. On se retrouve, oui, mais seul. Parce que l’aventure est finie. Ne reste que la mélancolie.

jeudi 16 novembre 2017

du bonheur très concentré…

taille originale : 29,7 x 21 cm

— Mais la madame, ça lui fait mal ?
— Non, non, ça lui fait plaisir…
— Mais lui , il pousse très fort par derrière…
— Non, c’est elle qui décide, c’est elle qui le fait entrer… autrement ce n’est pas agréable…
— Mais elle a l’air tellement sérieuse… elle ne va pas pleurer ?
— Elle est concentrée, elle le fait glisser tout doucement pour qu’il aille lentement au fond… Et puis elle se caresse, tu vois.
— Mais pourquoi ? tu as dit que ça lui fait plaisir par derrière…
— Oui, mais c’est plus agréable quand elle se caresse par devant aussi…
— Tu es sûr qu’elle est d’accord ?
— Je ne dessine pas bien si tu crois ça. Je suis déçu, pas par toi, par mon dessin.
— Mais il est bien ton dessin !
— Non, il faudrait qu’on voie mieux que c’est elle qui a les choses en main si je puis dire.
— Il faudrait qu’elle sourie pour qu’on voie qu’elle est heureuse !
— Ha, ha… tu as raison. Mais le plaisir, c’est comme du bonheur mais très concentré… Elle se concentre, tu vois, sur la sensation, sur la sensation qu’elle est pénétrée, complètement pénétrée. Lui aussi d’ailleurs.
— Ils sont tous les deux heureux alors ?
— Oui, on peut dire ça. Tous les deux, Elle et lui. Il faudrait même qu’en voyant le dessin, on devine que c’est elle qui l’a demandé, c’est elle qui en avait envie…
— Tu m’expliqueras encore ?

lundi 6 novembre 2017

Mais tu as oublié le monsieur…


— Oui, c'est vrai…   Attends, je vais le refaire…
— Il est fâché le monsieur ?
 — Non, non, il est, comment dire, concentré… mais il n'est pas fâché. Je crois qu'il est content d'être là, avec la madame. Et elle aussi d'ailleurs.
— Tu es sûr ?
— Oui, autrement, je ne les aurais pas dessinés ensemble. Je ne dessine que des gens qui s'entendent bien.                                                                        

dimanche 22 octobre 2017

Art brut

taille originale : 29,7 x 21
— Il ne faut pas concevoir la pornographie comme une représentation du monde, ni même comme une idéologie, ni encore moins comme l’expression de fantasmes cachés… La pornographie est une création culturelle comme la musique, la danse classique, la peinture… ou plutôt c’est un sous-culture… sous-culture parce que ce n’est pas reconnu comme une haute culture, c’est comme comme le rap ou le tricot… mais sous-culture aussi parce que la création est limitée, enfin, c’est un domaine assez limité… et puis ça ne prétend pas à l’universalité… Oui un peu comme les performances artistiques : il y a des spectateurs qui adorent, d’autres que ça ennuie et d’autres enfin qui détestent. Oui, il faut vraiment comprendre la pornographie comme une performance artistique. Pas seulement parce que le corps sexué est souvent présent dans les performances, mais parce qu’il s’agit de créations. De créations avec son propre corps (et celui des autres). Le fist fucking par exemple. On dit que c’est une invention, peut-être même la seule invention, de la pornographie au 20e siècle. Mais c’est une création : il y a un avant et un après, il y a un événement inédit… C’est d’ailleurs cela qui fait l’intérêt de la pornographie, c’est pour cela qu’on regarde de la pornographie : on veut voir quelque chose qu’on n’a jamais vu… Tous les amateurs de pornographie peuvent évoquer cela : une scène qui a agi sur eux comme une révélation, ils ont vu quelque chose qu’ils n’avaient jamais vu, le sexe féminin pour la première fois, une sodomie en gros plan, une femme prise par trois mecs en même temps, une bouche dans laquelle on pissait, un visage sur lequel on éjaculait, un corps attaché entièrement livré à la débauche…
Mais dès qu’on décrit, dès qu’on utilise des mots, on réduit la pornographie à du déjà-vu, du déjà-connu… On ne voit que la répétition des mêmes gestes (élémentaires), des mêmes positions, des mêmes attitudes, mais ce qui importe pour tout amateur du genre, c’est l’aspect créatif… on crée quelque chose qu’on n’a jamais vu et qui suscite l’excitation…
C’est un genre culturel, tu vois, comme la bande dessinée… La bande dessinée n’est réductible à rien d’autre, ce n’est pas autre chose qu’elle-même, ce n’est pas une image de la réalité, ni au contraire un mensonge… Prends l’exemple d’un gag… un gag dans une bande dessinée… Si c’est un bon gag, c’est une invention, et c’est ça qui nous fait rire, c’est quelque chose qu’on n’a jamais vu, jamais entendu (du moins de cette façon-là) et c’est ça qui nous fait rire. Tu ne vas pas reprocher à un gag de déformer la réalité, d’en donner une image fausse…
Il faut d’abord comprendre la bande dessinée en elle-même, dans ce qu’elle est, dans ses caractères propres avant d’envisager ses relations avec ce qui n’est pas elle, le monde, l’idéologie, les fantasmes, que sais-je : il y a des gags racistes, je le sais bien, mais le gag est une création indépendante, le « mécanisme » du gag est une création… Et il y a des gags antiracistes ou anarchistes ou autres. Comme la bande dessinée, la pornographie est faite de genres, genres de sexualité mais également genres esthétiques comme le style léché hollywoodien où pas un poil ne dépasse ou au contraire genre « amateur » un peu crade dans les corps représentés comme dans l’image… Et bien entendu, chaque genre se développe à son rythme propre puis s’épuise… Et le renouvellement est plus ou moins important avec des ruptures et des innovations plus ou moins marquées mais il faut voir la pornographie comme un art, comme une création artistique !
— Je suis bien d’accord avec toi, et je vais d’ailleurs t’enculer artistiquement, te défoncer le petit chef œuvre pictural qui te sert de trou du cul et te le défigurer à la manière d’un Picasso !
— Le ridicule de tes comparaisons artistiques me désole même si je dois avouer que mon cul t’appartient entièrement.
— Je t’encule, mon petit pédé. Moi je pratique l’art brut !
taille originale : 29,7 x 21

dimanche 8 octobre 2017

Enfermé

taille originale : 21 x 29,7

 “If there is no god, would it really make any difference?”
 
taille originale : 21 x 21

mercredi 13 septembre 2017

La bite de Louis [2]


Elle m’ordonne : déshabille-toi. Je lui obéis rapidement car j’ai envie d’être nu devant elle. J’ai envie qu’elle me voie sans défense, à sa merci. C’est bien, dit-elle, mais tourne-toi : je veux voir ton cul. Elle s’approche de moi, se serre contre mon épaule, contre mon dos, me saisit une fesse puis l’autre. Elle m’entoure la taille de son bras gauche, et soudainement me donne une claque sur la fesse droite, puis sur l’autre : tu m’obéiras ? Oui, je t’obéirai, je serai ton esclave. Mais j’abuserai de toi, tu le sais ? Oui, je le sais, je serai obéissant.

Bien, tourne-toi. Branle-toi devant moi. Montre-moi comment tu te branles quand je ne suis pas là, quand tu t’excites en regardant des vidéos pornos. Ça t’excite de voir des femmes se faire violemment enculer et sucer des bites dures et raides… C’est ça qui t’excite ? Montre-moi comment tu bandes quand tu vois une femme se faire défoncer le cul !
Je suis debout devant elle et je me branle rapidement de la main droite. J’adore sentir son regard sur moi, sur mon corps nu, sur ma bite durcie. Je crois qu’elle va me dire d’arrêter, mais elle me laisse me branler un long moment à tel point que je sens le sperme monter irrésistiblement dans ma bite. Je commence à gémir. Ce n’est pas encore le moment, me dit-elle. Mets tes mains derrière ton dos, et aussitôt elle gifle ma bite dressée. Et alors ? toi aussi, tu aimes gifler le visage des femmes avec ta bite ? Et elle me gifle à nouveau la bite à plusieurs reprises. Tu es mon esclave, il n’est pas question que tu obéisses à quiconque d’autre, et surtout pas à ta bite ! Elle aussi doit être obéissante. D’ailleurs attache-la. Prends la corde et serre-la bien autour de ta bite et de tes couilles.

taille originale : 29,7 x 21 cm
Je fais un double tour autour de mes couilles, de la base de ma bite, puis j’enserre mes couilles et ma bite ensemble dans une nouvelle boucle. Je fais un nœud et je m’immobilise devant elle. Elle saisit l’extrémité de la corde, et m’enjoignant de ne pas bouger, elle donne plusieurs coups secs comme pour vérifier que la prise est bonne et qu’elle pourrait m’arracher les génitoires. Mais elle se moque de moi, affirmant que bien sûr j’aime ça, s’approchant à nouveau de moi pour me gifler la bite mais également les couilles à présent bien exposées par la corde serrée. Je sursaute.


Je dois ensuite me mettre à quatre pattes devant elle, en lui exposant mon cul levé, puis écarter largement les fesses en m’aidant des mes mains. Elle m’enfonce d’un seul mouvement un doigt lubrifié dans le cul, puis un deuxième. Elle ressort et je sens qu’elle commence à pousser un plug contre mon anus. C’est beaucoup plus gros et elle ne le fait avancer que lentement à mi-distance me semble-t-il. Elle m’ordonne alors de l’enfoncer complètement, de me le mettre bien au fond du cul, comme un esclave. J’obéis, mais il me faut du temps pour le faire pénétrer. Je dois le faire glisser d’avant en arrière à plusieurs reprises jusqu’à ce que je sente enfin que le plug franchit le dernier obstacle, que je le prends entièrement en moi.
taille originale : 21 x 29,7 cm
C’est bien, tu aimes te faire enculer, tu aimes te faire mettre dans le cul, c’est ça que tu attends, c’est ça que tu me demandes en fait. Tourne-toi alors si c’est ça que tu veux. Pendant que je faisais pénétrer le plug, elle s’est déshabillée et a mis une combinaison résille largement ouverte pour laisser voir sa chatte et ses fesses. Mais surtout elle s’est attachée un gode-ceinture noir autour des hanches. Je dois rester à genoux devant elle, le gode au niveau de mon visage. Allez, suce-moi, suce-moi bien comme un vrai pédé. Elle parle du gode comme s’il s’agissait d’une part d’elle-même, et je le prends en bouche, heureux de lui obéir. Je suce rapidement et profondément, mais elle m’ordonne de laisser mes mains derrière mon dos et, me saisissant la tête, elle va et vient dans ma bouche à sa guise, jusqu’à s’enfoncer entièrement en moi. J’étouffe un peu mais elle ne relâche pas son étreinte avant un long moment.
Tu m’as bien excitée, mais tu n’as pas encore le droit de te faire enculer. Et, après m’avoir fait coucher au milieu du lit, elle m’attache aux quatre coins, pieds et bras largement écartés, le plug toujours enfoncé dans le cul. Debout au-dessus de moi, elle saisit la corde qui enserre mon sexe et la fait coulisser autour d’un anneau accroché au plafond. Puis elle s’assied sur mon visage, me présentant ses fesses et tirant à présent sur la corde pour m’obliger à soulever mon bas-ventre alors que mon visage reste coincé sous elle. Elle m’ordonne de lui lécher la chatte puis d’y enfoncer ma langue à plusieurs reprises. Je vais et je viens un long moment au fond de sa chatte avant qu’elle ne s’avance un peu et m’ordonne d’agir de même dans son cul. Celui-ci est plus serré, et je dois le lécher abondamment avant qu’il ne s’ouvre et que je puisse glisser ma langue en son tréfonds. Je suis près de jouir. Je suis son esclave et je dois rendre hommage au trou de son cul. Pendant ce temps, je devine qu’elle se branle la chatte tout en tenant le gode de l’autre main.
Elle jouit. Elle tire une dernière fois violemment sur la corde pour me signifier que je reste bien son esclave, puis elle se couche à mes côtés, défaisant lentement le lien autour de mon sexe étranglé. Elle se repose un moment tout en insistant pour que je continue à me branler lentement devant elle, m’interdisant cependant de céder à  la tentation de jouir avant terme.


Elle me caresse les couilles, me saisit la bite, la secoue même un peu, vérifie que le plug est toujours en place. Elle exige bientôt de voir mon cul. Je me retourne, couché sur le ventre. Elle ne résiste pas au plaisir de me fesser. Mais cela ne suffit pas. Je dois me mettre à quatre pattes pour qu’elle puisse m’appliquer des fessées retentissantes. Elle veut me voir à ses pieds.
Je m’agenouille devant elle sur le sol. Une nouvelle fois, je dois baisser la tête et bien lui montrer mon cul. Elle prend un battoir en cuir et m’assène des coups sur les fesses. Elle veut que je resserre la corde autour de mon sexe, et, debout derrière moi, la saisit de la main gauche tout en recommençant à m’assener une fessée violente. Elle me prévient : elle me frappera de plus en plus fort jusqu’à ce que, sous la douleur, je fasse un mouvement en avant, et que mon sexe soit en même temps brutalement tiré en arrière. Je résiste comme elle me l’ordonne, avant effectivement de céder et de basculer vers l’avant : je sens la corde serrer violemment ma bite et mes couilles. J’ai l’impression de lui appartenir totalement, d’être son esclave obéissant, d’être son ultime objet de désir.

taille originale : 21 x 28,7 cm
Je me remets à genoux devant elle. Elle m’ordonne d’ouvrir la bouche et m’applique un bâillon muni d’un gode que je dois avaler. Puis elle ajoute deux pinces à tétons reliés par une chaînette dont elle se sert aussitôt pour me faire remettre à quatre pattes. Il est temps à présent, me dit-elle.
Elle retire le plug de mon cul et je la sens qui s’immisce bientôt en moi. Je lui appartiens, je lui appartiens totalement comme une vraie chienne soumise. Je lui donne mon cul et elle le prend complètement. Je la sens le forcer lentement, m’obligeant à m’ouvrir, à céder  sous la pression, à ouvrir mon cul et à me faire enfin défoncer. Elle est entièrement en moi et elle va et elle vient à sa guise dans mon cul. Je suis sa chienne, son esclave. Elle me dit que j’aime ça et c’est vrai. Elle me traite en anglais de dirty bitch, et autres whore, slut, hooker… Elle m’interdit cependant de me branler alors qu’elle me saisit par les hanches et continue à me défoncer le cul. Je me demande si je serais capable de jouir ainsi sans même me toucher.
Mais elle semble changer d’avis et me demande de me coucher sur le dos au milieu du lit. Elle glisse un oreiller sous mes fesses et, relevant mes jambes sur ses épaules, me prend en missionnaire. Elle me retire également le bâillon et m’enfonce deux de ses doigts en bouche. Finalement, elle me dit de me branler et de jouir rapidement pendant qu’elle me défonce le cul. J’éjacule effectivement et me répands sur mon ventre et ma poitrine. Elle se retire et je crois que c’en est fini, mais elle trempe ses doigts dans mon foutre qu’elle m’oblige ensuite à lécher et à avaler. (La prochaine fois, dit-elle, j’inviterai un mec, et tu devras le sucer, et je le ferai éjaculer sur ton visage et dans ta bouche ouverte.)
On se repose un long moment. Ensuite on va prendre une douche. Sans que ce ne soit réellement douloureux, je sens mon cul légèrement enflammé. Sous l’eau qui commence à couler sur nous, elle me dit : Tu vas te mettre à genoux et je crois que je vais te pisser dessus. Je bande instantanément.

[La bite de Louis, première partie]

lundi 1 mai 2017

Trois-centième

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Taille originale : 21 x 28,2
« Nous pêchons à la ligne dans la rivière. Bec-de-Lièvre arrive en courant. Elle ne nous voit pas. Elle se couche dans l’herbe, remonte sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Nous voyons ses fesses nues et les poils entre ses jambes. Nous n’avons pas encore de poils entre les jambes. Bec-de-Lièvre en a, mais très peu.
Bec-de-Lièvre siffle. Un chien arrive. C’est notre chien. Elle le prend dans ses bras, elle se roule avec lui dans l’herbe. Le chien aboie, se dégage, se secoue et part en courant. Bec-de-Lièvre l’appelle d’une voix douce en se caressant le sexe avec les doigts.
Le chien revient, renifle plusieurs dois le sexe de Bec-de-Lièvre et se met à le lécher.
Bec-de-Lièvre écarte les jambes, presse la tête du chien sur son ventre avec ses deux mains. Elle respire très fort et se tortille.
Le sexe du chien devient visible, il est de plus en plus long, il est mince et rouge. Le chien relève la tête, il essaie de grimper sur Bec-de-Lièvre. Bec-de-Lièvre se retourne, elle est sur les genoux, elle tend son derrière au chien. Le chien pose ses pattes de devant sur le dos de Bec-de-Lièvre, ses membres postérieurs tremblent. Il cherche, approche de plus en plus, se met entre les jambes de Bec-de-Lièvre, se colle contre ses fesses. Il bouge très vite d’avant en arrière. Bec-de-Lièvre crie et, au bout d’un moment, elle tombe sur le ventre.
Le chien s’éloigne lentement.
Bec-de-Lièvre reste couchée pendant un certain temps, puis elle se lève nous voit, elle rougit. Elle crie :
— Sales petits espions ! Qu’est-ce que vous avez vu ?
Nous répondons :
— Nous t’avons vue jouer avec notre chien.
Elle demande :
— Je suis toujours votre copine ?
— Oui. Et nous te permettons de jouer avec notre chien tant que tu veux.
—Et vous ne direz à personne ce que vous avez vu ?
— Nous ne disons jamais rien à personne. Tu peux compter sur nous.
Elle s’assied dans l’herbe, elle pleure :
— Il n’y a que les bêtes qui m’aiment. »

dimanche 2 avril 2017

Mais les murs restent les murs

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Taille originale : 21 x 29,7
«  Il ne pouvait rien arriver de juste, entre eux. Elle était pleine de belles conneries de Française qui se croit libérée. Comme si la liberté, ça pouvait être de se faire enfiler comme une pute par un mec qui ne veut même pas de toi une fois que t'es rhabillée. Yacine a l'habitude des filles, il discute souvent avec elles, elles ne lui font pas peur. Valentine n'était pas la première à lui taper son petit solo sur la liberté sexuelle, le droit des filles à aimer ça et pas se sentir salies parce que quelqu'un met les doigts, et patati, et patata. Ça lui plairait que ça puisse être vrai, il serait content de rencontrer une femme qui s'en tire bien. Pas qui se la raconte, pas qui se la prend dans le cul et quand elle ne peut plus s'asseoir vient monter un mytho comme quoi debout elle se sent mieux. Ça lui plairait de croire que ça peut marcher comme ça. Mais les murs restent les murs. »

samedi 18 mars 2017

Un éloge du monde



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taille originale : 21 x 28,2

« Plaçant la représentation picturale dans le cadre d'une histoire de la pensée, on s'aperçoit que la grande rupture — la découverte de l'individu — se produit dans la première moitié du XVe siècle, dans le Nord de l’Europe : en Flandre, Bourgogne et France. Cette rupture donne sens à ce que nous appelons la Renaissance : celle-ci ne consiste pas seulement dans la redécouverte de l’art antique, elle ne se limite pas aux développements survenus en Italie. L'avènement de l'individu est irréversible, même si l'histoire ne se poursuivra pas, à partir de là, de manière linéaire et homogène. Nous assistons à une progressive humanisation du divin (l'autoportrait de Durer en Christ, de 1500, en est l'un des témoignages les plus parlants), à laquelle succédera, à partir du XVIIe siècle, une certaine divinisation de l’humain.
Il faut ajouter que cette découverte de l'individu ne signifie nullement le triomphe d'un individu isolé des autres, réduit à l’arbitraire d'une subjectivité. Bien au contraire : comme le suggérait aussi Nicolas de Cues, par des chemins différents on peut accéder au même but, la subjectivité n'exclut pas la communauté. Non seulement ces peintres de la Renaissance partagent toujours le même cadre mental et les mêmes codes d'interprétation : ils se situent à l’intérieur de la doctrine chrétienne et n'oublient pas la signification conventionnelle de tel objet, de tel geste. Mais de plus ils se réfèrent à un monde commun, visible par tous et représenté par leurs tableaux. L'humanisme qu'apportent ces tableaux n'est pas un individualisme.
En accordant ce privilège à l’individu et au visible, la peinture depuis la Renaissance soulève un problème dont on trouve la formulation classique chez Pascal : “Quelle vanité que la peinture qui attire l’admiration par la ressemblance des choses dont on n'admire point les originaux” (Br. 134, L. 40). Si représenter le monde est en faire l’éloge, est-ce à dire que tout au monde est digne d'éloge ? On peut préférer l'attitude médiévale qui soumet le visible à l’intelligible. On peut aussi, à la manière de nombreux interprètes modernes, s'en tenir à l’image sans s'intéresser à sa signification ; ou encore, à la manière de tant de peintres modernes, renoncer à la représentation même. Mais on peut aussi accepter cet éloge du monde et de ses incarnations individuelles, inhérent à la peinture représentative, et y voir une pensée à l'œuvre. Rilke aimait évoquer, pour expliquer l’attitude de l’artiste face au monde, la figure de saint Julien l'Hospitalier, capable de se coucher même auprès du lépreux pour en réchauffer le corps. La peinture, éloge de l’individu, dit à sa façon oui au monde visible dans son entier, ce qui correspond bien à une certaine philosophie, même si ce n'est pas celle de Pascal. »
dessin pornographique trans tranny anal sex
taille originale : 21 x 28,2

mercredi 22 février 2017

Paroles de femmes [Choses vues 13]

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taille originale : 21 x 29,7

Je suis assise devant leur bureau pour interrogatoire. L’un des policiers m’offre une cigarette, mais l’autre multiplie les menaces tandis que le troisième se tient en retrait. Le temps passe. Je refuse de parler. Je veux même me lever pour partir, mais les menaces se font plus précises, et, au moment où je veux saisir mon sac à main, le chef me saisit par la nuque et m’oblige à me coucher sur le bureau. De l’autre côté, son collègue a déjà sorti sa bite qui se retrouve à hauteur de mon visage et que je commence aussitôt à sucer. Derrière moi, on a relevé ma minirobe et écarté ma culotte, et je sens des doigts qui me triturent puis une langue qui commence à me lécher. Bien sûr, je suis consentante.
Le type devant moi qui a laissé tomber la veste a pourtant gardé le reste de son costume, et, sans même se servir de ses mains, il va et vient dans ma bouche bien régulièrement. Celui qui me tripote les seins m’a d’ailleurs saisi la tête pour que je ne puisse pas me soustraire à la fellation. En fait, je m’applique à le sucer consciencieusement accompagnant mes mouvements de bouche d’une masturbation de la main.Pendant ce temps, le type derrière moi commence à me lécher le trou du cul et je sens même sa langue qui y pénètre tandis qu’il écarte mes fesses de ses mains. Après un long moment où il me lèche, me pourlèche, m’embrasse la chatte et le cul, il semble s’éloigner et je sens le bout de son gland qui se frotte contre ma chatte et y pénètre. Les choses sérieuses commencent.


Je suce toujours avec autant de chaleur la bite qui m’est présentée, mais tout mon corps commence a être secoué par les mouvements du type derrière moi qui m’a saisi par les hanches pour me baiser à sa guise. Bien que je ne bouge pas du bureau, le troisième gars, qui est seulement occupé à se branler à côté de moi, s’applique à me dénuder toujours un peu plus, relevant ma minirobe au-dessus de mes seins, déchirant même ma culotte. Le type que je suce est quant à lui parvenu, sans sortir de ma bouche, à se dévêtir complètement et je comprends à leurs mouvements désordonnés que ses deux collègues en font autant. Celui qui me baise cède alors sa place au type laissé pour compte et j’écarte les fesses des deux mains pour qu’il puisse me pénétrer facilement. Mais c’est un pervers qui préfère entrer et ressortir de ma chatte, y fourrer ses doigts et me malaxer avant de replonger sa bite en moi. Bientôt je sens qu’il enfonce son pouce dans mon anus tout en continuant à me baiser.
Les deux autres devant moi profitent d’un moment où j’interromps la fellation pour me déshabiller complètement à mon tour. Puis ils me saisissent la tête pour que je recommence à sucer la bite qu’ils me présentent à tour de rôle et que je suce avec application. Tous changent de place, mais je suis toujours maintenue à plat ventre sur le bureau, une autre bite dans la bouche, tandis que l’un des trois, je ne sais lequel, a entrepris de m’enculer (tout en glissant par devant ses doigts dans ma chatte). Comme ils m’ont bien lubrifiée, il glisse rapidement et souplement jusqu’au fond de mon cul et je sens ses hanches et ses couilles qui viennent frapper contre mon derrière.

Enfin, ils me retournent sur le bureau, et celui qui est à ma gauche m’oblige à pencher la tête pour que je le suce tandis que celui à mes pieds (si je puis dire !) me soulève les jambes au-dessus de ses épaules et commence à me pénétrer. Le troisième se plante à ma droite et je commence à le branler. Deux bites en main, je suce alternativement l’une et l’autre tandis que mes cuisses largement ouvertes donnent libre accès mon sexe et à mon cul. Les deux gars à mes côtés essaient même de me fourrer leur bite en même temps dans la bouche, mais ils ne peuvent guère que se branler contre mes lèvres avant de se frotter sur la pointe de mes seins. Couchée sur le dos, la tête penchée en arrière au bord du bureau, je ferme bientôt les yeux suçant une bite, léchant des couilles alors que mon ventre balance au rythme du type qui me baise trop rapidement. Je réponds pourtant à toutes les sollicitations notamment des deux types qui, se frottant contre mon visage, m’appellent du bout de leur gland pour que je recommence à les sucer. Une fois dans ma bouche, ils n’hésitent d’ailleurs pas à s’enfoncer à leur guise et à plusieurs reprises jusqu’au fond ma gorge pour accroître leur plaisir. Je fais de mon mieux pour les satisfaire, mais ils en veulent toujours plus, et l’un deux monte sur le bureau et s’accroupit au-dessus de moi pour que je lui lèche les couilles puis le trou du cul. Son collègue semble lui aussi séduit par l’idée, mais il procède autrement et, resté debout, il me tourne le dos et se penche en avant pour me présenter ses deux fesses que j’écarte de mes mains afin d’enfoncer ma langue dans son sillon poilu.
La position se modifie à nouveau, et je monte à présent un des gars couché sur le bureau : assise sur lui, je lui fais face, sa bite enfoncée dans ma chatte. Mais je n’ai pas vraiment l’initiative, car, accroupi derrière moi, un autre force sa bite à s’enfoncer dans mon vagin où la place est pourtant déjà prise ! Bien que difficile, la manœuvre réussit, et mon vagin distendu s’ouvre à ces deux bites qui se frottent l’une contre l’autre en moi. Le troisième homme selon l’habitude déjà prise s’est planté devant moi pour que je le suce. Malgré la difficulté, la position perdure, mais seul le gars au-dessus de moi parvient réellement à aller et venir dans ma chatte tandis que celui sous moi subit lui aussi le mouvement imposé. Après un moment qui me semble fort long, celui-là se retire, mais c’est pour aussitôt cracher dans mon anus pour le lubrifier et y enfoncer sa bite. Cette fois, mon cul, ma chatte et ma bouche sont bien occupés, et chacun de mes partenaires s’active à présent à son rythme.
Celui dans mon anus laisse parfois échapper sa bite, mais il la ressaisit aussitôt pour la replacer d’où elle vient tandis que l’autre sous moi va et vient de plus en plus en rapidement et de plus en plus profondément dans ma chatte. Des mains me saisissent les hanches, les fesses, le cou, les épaules pour m’immobiliser, me repousser, m’enchaîner, m’entraîner, me pénétrer comme si les bites en moi ne parvenaient jamais à se satisfaire. Des pieds bougent, des ventres s’éloignent, des bras s’allongent, des hanches des bras, des jambes glissent autour de moi, mais moi, je reste pratiquement immobile, serrée contre le corps sous moi, suçant sans discontinuer la bite qui m’appelle, offrant toujours mon cul humide à celui qui n’arrête pas de s’y enfoncer sans répit…


samedi 18 février 2017

Reproduction sociale et éjaculation faciale

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taille originale : 21 x 28,2

— Un des faiblesses de la sociologie — je ne dis pas une faiblesse essentielle, il se peut que ce soit circonstanciel, mais je pense que c’est quand même lié aux fondements épistémologiques de cette science, ou plutôt de ce savoir, je ne sais pas si c’est une science…
— Arrête les circonvolutions, tu me fatigues : va droit au but pour une fois… mets-la moi dans le cul et ne débande pas !
— Oui… c’est la faiblesse presque ridicule de sa théorie de la reproduction. Psychologiquement, c’est assez grotesque, ridicule… En gros, c’est… je me comporte comme ça parce qu’on m’a appris à me comporter comme ça. Je dis la sociologie, mais ça vaut aussi pour les trucs comme la théorie du genre, les sciences de l’éducation… enfin tout ce qui aborde l’apprentissage d’un point de vue social, culturel…
— Et pourquoi c’est ridicule ?
— Et bien, ça revient à dire et à penser des trucs du style : si je suis agressif, c’est qu’on m’a appris à être agressif…
— C’est sûr : quand tu m’encules, ça vient du plus profond de ton être… personne ne t’a appris à m’enculer à sec, violemment !
— Si, si… enfin j’ai rencontré des modèles… mais c’est pas des modèles… mais… c‘était juste des exemples. Voilà, c’est le mot : un exemple. Personne ne m’a dit que je devais t’enculer… mais quand j’ai entendu parler de ça, ou que je l’ai vu… je ne sais plus, mais quand un jour j’ai découvert comme une révélation, c’était une révélation, une illumination même, quand j’ai découvert le mot… la réalité… la possibilité même de la sodomie… j’ai su, j’ai compris… enfin je ne sais plus… ça correspondait à mon désir… Et puis quand je t’ai rencontrée, je savais que c’était ce que je voulais de toi… ton cul offert, ouvert… Si tu me l’avais refusé, je ne sais pas, je ne sais pas si j’aurais vraiment… je ne sais pas si je t’aurais désirée de cette manière-là…
— En fait, ça t’excite de théoriser… de théoriser, théoriser pour me la foutre dans le cul. Pendant un moment, j’ai vraiment cru que tu cherchais à te justifier, que tu cherchais à t’excuser de me prendre brutalement dans le cul, de cette manière-là, complètement ordurière et violente… mais en fait tu es un putain de philosophe pervers… t’adores causer… sans doute que tu te sens supérieur… C’est ça ce que tu aimes, hein ! Te sentir malin, intelligent… non, ce que tu aimes, c’est que je sois moins intelligente que toi… Après, tu peux me traiter comme une chienne… sortir ta queue de mon cul et venir m’éjaculer en pleine figure. Je suis sûr que c’est ça. Mais en fait, tu es très con ! tu es complètement transparent…
— Je n’ai pas dit le contraire… mais ça, personne ne me l’a appris… Ça a fait sens ! ça a fait sens pour moi, au plus profond de moi…
— Tu es juste un salaud de pervers narcissique, quoi ! tu cherches à m’embobiner avec des grands mots pour me la foutre dans le cul ! et rien d’autre… Ha ha ! tu es furax ! tu débandes ! Tu me fais rire et j’ai plus envie…
— Oui, si tu m’interromps tout le temps, je réfléchis trop et je débande. Mais pervers narcissique, ça ne veut rien dire… C’est juste un mot à la mode, c’est juste un dénigrement déguisé. Je ne dis pas qu’il n’y a pas des salauds, mais il n’est pas nécessaire de les traiter de pervers narcissiques, ça n’explique rien, ça n’éclaire strictement rien. C’est des salauds, c’est tout. Moi je t’encule, mais je ne te manipule pas. Je te rentre dans le cul, je te défonce le cul, je te la fous au fond du cul en causant, en n’arrêtant pas de causer, je cause, je cause, et je te la mets dans le cul, mais je ne te manipule pas, je veux au contraire que tu la sentes rentrer dans ton cul et que tu me dises que tu aimes ça…
— Putain, ça t’excite là… t’es bien dur… t’es raide comme un âne… Mais je veux d’abord que tu m’expliques ton truc-là. Viens, je vais te sucer. Tu peux même m’éjaculer sur le visage ou jouir dans ma bouche, je ne t’en voudrai pas, mais j’ai envie de t’entendre… j’ai envie que tu me parles, salaud… parle-moi vicieusement avec toute ton intelligence ! (Après, après, je te jure, après, je te donnerai mon cul, tu pourras jouir de moi comme tu l’entends, mais je veux t’entendre avant.)
— C’est rien de très intelligent en fait, je suis désolé. Il y a deux théories, même pas des théories, deux conceptions de l’apprentissage, deux conceptions mais élémentaires, extrêmement sommaires, mais qui sont faussement évidentes. La première c’est celle de l’imitation, la reproduction est une imitation… On trouve ça au début de la sociologie, quand on commence à avoir des statistiques et qu’on découvre des « phénomènes de masse »… aujourd’hui l’expression ne pose plus question… c’est une banalité, une évidence… mais au dix-neuvième siècle, on découvre ça progressivement… des individus qui ne se connaissent pas, qui n’ont pas de rapport direct entre eux agissent pourtant de manière similaire, ils font masse… alors, ça peut prendre la forme de la foule, d’une masse d’individus qui agissent comme s’ils obéissaient à un chef d’orchestre caché… C’est le peuple, la populace qui est visée, notamment dans ses manifestations les plus effrayantes, la révolte, l’émeute, mais aussi dans des formes les plus banales mais qui semblent témoigner aux yeux de ces penseurs supposés intelligents d’un instinct grégaire, stupide… tu vois… les premières manifestations sportives, la folie des grands magasins à la fin du dix-neuvième siècle, chez Zola notamment. Vas-y, caresse-toi devant moi, montre ton cul mais branle-toi en même temps pour que je voie que ça t’excite de m’entendre jacter pendant que je te mets un doigt dans le cul.
— Ça te plaît comme ça ? tu veux voir l’intérieur de ma chatte ? tu veux voir la chair rose de mon trou ?
— Oui, montre-moi juste ton cul, ton cul nul, et laisse ton pantalon sur tes genoux… Il y a un penseur bien oublié aujourd’hui, Tarde, Gabriel Tarde qui a théorisé ça, mais ce n’était pas une vraie théorie, juste une mise en mots, une généralisation, des pseudo-concepts qui n’expliquent rien : pour lui, c’est l’imitation qui guidait le comportement humain sauf celui des esprits supérieurs évidemment… Imitation, reproduction tu vois… L’homme fondamentalement imiterait ce qu’il voit… On retrouve chez un auteur plus récent, Girard, sous un autre nom, la même idée : le désir serait mimétique, je désire ce que l’autre désire… Je désire t’enculer parce que… parce que j’ai vu quelqu’un d’autre, sans doute plus grand, plus fort, plus adulte, mieux membré que moi, désirer de cette façon-là… Mais pour Girard également, cette mécanique infernale ou imbécile du désir ne peut être dépassée que par une conscience supérieure, plus ou moins transcendante, qui dévoile l’illusion romantique à la base de notre désir… À la fin, on ne s’étonne pas qu’il se réfère à Jésus comme à celui qui révèle ce mensonge… enfin je saute quelques étapes du raisonnement. Mais ce qui importe, c’est l’idée que le comportement est imitation… Et l’apprentissage est imitation. La société produit de l’imitation, fonctionne à l’imitation… On agit par imitation. Les petits garçons apprennent à être des hommes, ils ne le sont pas naturellement. Et les petites filles à être des femmes…

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taille originale : 21 x 28,2

— Continue, je t’écoute et je me branle en même temps. Tu vois comment tu me fais mouiller ?
— Oui, je vois que ta chatte est bien trempée et bien gonflée. Écoute ça puisque tu as envie que mes réflexions te pénètrent dans la chatte comme une bite raide… Je vais te mettre le gode dans la chatte. Non, je vais d’abord enfoncer le plug dans ta chatte, bien le mouiller, puis te le foutre dans le cul. Et puis je te mettrai le gode dans la chatte. Tu vas te tourner et tu me suceras en même temps. L’autre théorie de l’apprentissage, c’est celle de la socialisation… La société socialise les pulsions, elle les police, elle bride leur égoïsme foncier au nom de la vertu sociale. On trouve cela chez Freud pour qui le moi est coincé entre le ça pulsionnel et le surmoi social, avec bien sûr l’inconscient qui rend toute cette mécanique inconsciente. Mais la pensée de Durkheim est fort proche de celle de Freud. Et puis Norbert Elias en a donné une version historique avec son processus de civilisation de la brutalité guerrière par la société de cour, celle de Louis XIV et compagnie avant que d’autres mécanismes comme la régulation des sports ne vienne policer les mœurs violentes de la classe ouvrière… Apparemment, c’est le contraire de l’imitation : le désir est là, tapi au fond de nous, bestial, animal, et puis la société nous oblige à le refouler, le sublimer, l’éduquer, le raffiner, le rendre socialement acceptable. D’ailleurs, tu vois, je raffine également mon désir. Avant de t’enculer brutalement, je te lèche le cul, je le parcours, je le contourne, je l’explore avant d’enfoncer ma langue au fond de ton trou merdeux. Je goûte à l’extase dans ton trou défendu…
— Oui, je la sens bien, là, et elle m’excite à s’enfoncer en moi pendant que je me branle, j’ai envie qu’elle plonge encore plus profondément, qu’elle oblige mon trou étroit à s’ouvrir, à se dilater, à se faire défoncer, exploser pendant que je me branle de plus en plus rapidement. J’ai envie de toi, j’ai envie de ta bite, j’ai envie que tu m’encules, j’ai envie de sentir ta bite m’exploser le trou du cul…
— Non, je n’ai pas fini… Attends, caresse-toi plus lentement, fais aller et venir tes doigts au bord de ta chatte, je vais déjà te mettre le plug dans le cul pour qu’il soit bien ouvert, bien distendu quand je voudrai t’enculer. Mais il faut d’abord que je termine mon propos.
— Vas-y, vas-y, baise-moi avec tes mots, encule-moi avec tes longues phrases, défonce-moi avec tes propos démesurés.
— Je disais donc que l’on considère dans cette seconde perspective que l’apprentissage vise précisément à contrôler la part animale en l’homme : la civilisation se construit contre la nature… On est un homme naturellement, et c’est précisément pour cela qu’il faut les éduquer, qu’il faut domestiquer cette part sauvage qui serait en eux. Implicitement, les femmes quant à elles seraient les victimes de l’agressivité masculine. Il ne faudrait pas les éduquer, seulement les protéger… Les choses ne se disent pas comme cela (enfin, si, quand même, au niveau de la politique élémentaire, il faudrait mieux éduquer les « sauvageons » comme disait l’autre, c’est des choses qui se disent sous cette forme-là) mais on voit bien aussi comment, dans cette perspective, on reproduit les oppositions traditionnelles entre la nature et la culture comme entre les genres masculins et féminins.
— Ce n’est donc pas ta nature foncièrement vicieuse, non plutôt fondamentalement agressive, qui te pousse à vouloir à chaque fois m’enculer ?
— Ha ha, je ne sais pas… Mais c’est un bon exemple sur lequel réfléchir. J’adore t’enculer, mais mon plaisir ne tient qu’à ton consentement, pour dire les choses noblement. Tu aimes te faire enculer, c’est cela qui me fait bander.
— Oui, enfin, pas toujours. Tu n’es plus aussi raide dingue qu’avant…
— Putain, là, tu me fais débander complètement.
— C’est pour rire, allez, recommence à parler, parle-moi encore…
— Je ne sais plus où j’en étais… Oui, ces deux perspectives s’appuient sur des faits d’évidence, des effets massifs… On hérite, on reproduit ce qui nous a produit… Mais comment on intériorise cela, ça reste obscur. Ces deux perspectives sont fondamentalement mécaniques. Dans la première perspective, on imprimerait un modèle dans l’esprit des enfants et ils agiraient ensuite selon ce modèle tout au long de la vie comme chez les paysans kabyles déplacés de Bourdieu. Mais ce modèle de l’apprentissage bute sur un fait que les parents rencontrent bien souvent : les enfants désobéissent, ou du moins certains enfants désobéissent. Bourdieu répondrait que, de toute façon, ils n’ont pas le choix… Nécessité fait loi, le fils de paysan doit devenir paysan… C’est sans doute vrai, mais, même dans les sociétés traditionnelles il y a des marges de manœuvre, il y a des héritages qui se refusent. Et, dans notre société, les choix se multiplient certainement, et l’espace de la désobéissance est plus ouvert. La désobéissance peut être minime, ça peut être l’adolescent qui passe son temps enfermé dans chambre à jouer à des jeux vidéos, et les parents qui se désespèrent de le voir échouer à l’école. Alors, même si l’on constate statistiquement les phénomènes de reproduction — il n’y a rien à faire, les fils de bourgeois deviennent des bourgeois, pour la plupart du moins —, concrètement, on comprend mal comment elle fonctionne… Après coup, on constate la reproduction, l’imitation, parce que précisément l’on cherche les traits qui sont restés communs d’une génération à l’autre, mais on néglige ce qui ne s’est pas reproduit… on laisse ça à l’histoire, la génération 68 a pratiqué l’amour libre et la génération nouvelle est devenue végétarienne… Bien entendu, ça peut s’expliquer par les circonstances, mais il n’empêche, la théorie de la reproduction n’est pas prédictive…
— Oui, OK, je vois ce que tu veux dire, mais l’objection vaut pratiquement pour toutes les sciences humaines, hein. Ce sont des prophètes après l’événement, même si moi je prophétise que tu vas bientôt m’enculer. Viens, assieds-toi au-dessus de moi, sur mon visage, j’ai envie de te lécher le cul et de te branler en même temps, pendant que tu me démontreras l’inanité de la seconde perspective sociologique…
— Oui, fous ta langue dans mon cul, fous-la bien profond, ça m’inspire de sentir ta langue glisser dans le trou de mon cul. Et branle-moi, branle-moi fort, fais-moi bander jusqu’à ce je me répande sur tes seins. Putain, j’adore tes seins, j’adore les caresser, j’adore les soulever, j’adore glisser ma bite entre eux et puis éjaculer, éjaculer, éjaculer dessus…

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taille originale : 21 x 29,7

— Tu t’égares…
— Reste dans mon cul ! Je poursuis… Dans la seconde perspective, il y a de vilaines pulsions, et on essaie de les enfermer, de les repousser à l’intérieur au plus profond, mais malheureusement il y a des fuites… C’est le modèle du contrôle social. La société est policière et policée. Pourtant, si l’on adopte cette perspective, on constate facilement que les gosses s’ennuient… ils ne s’intéressent à rien… Ou alors ils sont incroyablement timides et gauches. La cocotte-minute pulsionnelle semble bien faiblarde. En fait, le désir est vague. C’est un peu l’approche freudienne. Freud, il voit le Ça comme une machinerie pulsionnelle mais il perçoit le caractère extrêmement labile du désir… le désir n’a pas d’objet, il n’a pas de forme non plus… plus tard (enfin très tôt quand même), ce sera Œdipe et Cie… Mais il a cette intuition du pervers polymorphe… L’enfant n’est pas pervers au sens des adultes, mais son désir n’est pas défini… il ne peut pas en tout cas être défini comme spontanément, essentiellement violent ou agressif.
— Par contre, toi, tu es devenu un vrai pervers ! Je te sens prêt à répandre vicieusement ton foutre en grandes giclées sur mon visage sans même me demander si je ne préfère pas que tu te vides dans mon cul ou dans ma chatte !
— Non, non, je n’y suis pas encore. Avale mes couilles, avale mes couilles… Attends, j’ai envie que tu avales ma bite entière, j’ai envie de venir dans ta bouche… Suce-moi, suce-moi bien. Ne m’interromps plus. Je vais me vider dans ta bouche, m’assouvir, me répandre, me liquéfier entièrement au fond de ta bouche. Putain ! que le désir est immense et vain à la fois ! Or donc ! Je disais… Le modèle de la cocotte-minute reste lui aussi mécanique, comme s’il suffisait simplement de canaliser une pulsion dans la bonne direction. Mais si le désir doit se socialiser, il faut que la normativité sociale soit elle-même objet de désir… Je ne peux pas désirer un monde, une société qui ne soit absolument pas désirable… La répression pulsionnelle n’explique pas comment le désir se métamorphose, se transforme, se sublime, se combine avec autre chose pour devenir somme toute présentable… Ou alors on revient au modèle précédent, le désir serait mimétique, il se fixerait sur les modèles que lui propose le monde extérieur… Mais, que ce soit l’un ou l’autre, aucun modèle n’explique des choses aussi simples que le fait que l’amour change, que le désir s’épuise, que la passion s’émousse. Et l’on tourne en rond dans un cercle vicieux…
— Oui, c’est toi le vicieux. J’adore ta queue, j’adore la bouffer et la sentir durcir dans ma bouche, puis la branler sur mon visage pendant que je te lèche les couilles…
— En définitive, avant que je ne jouisse, je dirais que la sociologie s’appuie sur la fausse évidence de la normalité : ça doit se reproduire, se répéter puisqu’effectivement ça se reproduit… C’est intériorisé d’une manière ou d’une autre puisqu’on constate que seul un apprentissage social peut expliquer la reproduction sociale. Et on laisse les ratés de la reproduction à la psychologie ou à la psychiatrie… ou à la littérature. Quand ça foire, c’est qu’on aurait été mal éduqué… C’est souvent ça le niveau de l’analyse sociologique (enfin, celle qu’on trouve dans les journaux) ou de l’analyse politique, puisque les deux sont souvent liés.
— C’est quoi les ratés ? quand tu débandes par exemple ?
— Oui, sans doute. Pour moi, ce ne sont pas des ratés, ce sont des parcours singuliers, marginaux sans qu’on ne doive valoriser la marginalité de manière romantique… la fille queer, le mec qui restera toute sa vie célibataire sans qu’on comprenne pourquoi, le type qui vit aux crochets des autres au lieu de boulotter comme tout le monde et comme ses parents l’auraient voulu, les collectionneurs férus de trucs qui paraissent stupides aux gens normaux, oui le mec qui débande au mauvais moment… c’est des exemples qui me viennent comme ça à la tête, mais dans ces cas-là on aura tendance à chercher des explications, on voudra comprendre dans l’histoire personnelle ce qui pourrait expliquer ces parcours singuliers alors que les gens normaux, ils sont supposés ne pas avoir d’histoire… Tout se serait déroulé comme prévu. Or cette normalité n’a rien de mécanique à mon avis, leur intériorisation des normes sociales à travers l’apprentissage a été tout aussi problématique que chez ceux ou celles que l’on considère précisément comme problématiques. Ça n’a rien de mécanique…
— Enfin, ce que tu essaies de dire, c’est que le processus est plus complexe, plus subtil, plus élaboré que ce qu’on ne croit.
— Oui, c’est ça !
— Je crois que tu m’as déjà fait quelques démonstrations dans le genre !
— Oh non ! Ne dis pas ça. Là, j’ai plus du tout envie de t’enculer…
— Oui, je vois ça. Enfin je le sens…
— Encore une chose. Pour qu’il y ait apprentissage, il faut qu’il y ait un moteur, un moteur d’apprentissage… un moteur qui transforme le modèle en imitation dans la première perspective, ou un moteur qui se dresse contre la normativité sociale dans la seconde. Mais ce moteur, il est pas mécanique, on ne sait pas vraiment comment il fonctionne. Freud par exemple qui l’a d’abord pensé comme régi par le principe du plaisir — ce qui était simple — en vient finalement à le décrire comme divisé entre la libido et la pulsion de mort, entre Eros et Thanatos. Mais c’est une description, pas une explication. Ça peut être éclairant, mais ça n’a pas plus de vertu explicative que la vertu dormitive de l’opium. L’agressivité, et bien c’est de la pulsion de mort détournée… On met juste un autre mot sur un phénomène. On interprète, on n’explique pas réellement les choses. La pulsion de mort n’est pas plus explicative que l’influence du diable ou d’un démon. C’est un mot qui nous paraît plus rationnel, c’est un mot conforme à notre univers mental, mais ce n’est qu’un mot… Mais ce moteur-là, est-ce qu’il est aussi simple qu’on ne croit ? Est-ce qu’il n’a pas son propre rythme ? Après tout, le bouillonnement pulsionnel de la puberté, c’est une réalité, non ? Et le vieux chats, ne passent-ils pas leur temps à se reposer au soleil au lieu de courir les chattes en chaleur ? Non, je m’égare… je dis n’importe quoi… c’est la mélancolie qui remonte.
— Ah, mais je sens que ton petit moteur est en train de s’épuiser là…
— Attends, couche-toi là à côté de moi, écarte les jambes, ouvre les cuisses, j’ai envie de te caresser la chatte, j’ai envie de glisser un doigt entre tes lèvres, de te sentir mouiller, mouiller de plus en plus, j’ai envie d’enfoncer à peine une phalange dans ta chatte et puis de remonter vers ton clito. J’ai envie que tu me laisses caresser ton clito qui est tellement sensible, tellement complexe, tellement élaboré, tellement subtil…
— Continue.
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taille originale : 21 x 29,7

jeudi 9 février 2017

Roman épistolaire d'un style nouveau

Prologue

La marquise fait parvenir au vicomte des images obscènes destinées à provoquer les mouvements les plus impurs et les plus lubriques.


1.

La marquise
Bonjour
Je reste dans le virtuel mais j'ai très envie de me faire baiser là
De me faire démonter comme une chienne
Le vicomte
À quatre pattes ? Couchée sur le dos ? La tête sous l’oreiller ?
Raconte ce que tu kiffes…
La marquise
Oui tout ce que tu veux
J'aime quand on me baise comme une chienne, quand c'est violent
Le vicomte
Dans la chatte d’abord, à quatre pattes alors !
Tu abaisses juste ton pantalon sur les genoux (tu m’arrêtes si je dis des bêtises)
Tu aimes les gros mots ?
À quatre pattes, tu montres ton cul
La marquise
J'aime les insultes.
Je me mets à 4 pattes par terre devant toi, cambrant mon petit cul vers toi et mettant ma tête au sol
Le vicomte
Bien. Écarte les fesses à deux mains
Écarte légèrement les genoux
Commence à te caresser la chatte
Tu es une salope et tu mérites d’être défoncée
Tu vas l'être
Dès que tu auras montré que ta chatte est trempée
La marquise
Elle est déjà complètement mouillée
Le vicomte
Bien, continue à te branler comme une chienne
Je m’enfoncerai en toi d’un seul coup
La marquise
Je laisse glisser ma main jusqu'à ma chatte et commence à me caresser le clitoris
Le vicomte
Ouvre-la bien parce que je vais entrer d’un seul mouvement
La marquise
Je fais des lents mouvements circulaires sur mon clitoris, en commençant à gémir
Le vicomte
Tu sens mon gland au bord de ta chatte ?
La marquise
J'écarte encore un peu les cuisses et je plaque mes seins au sol
Le vicomte
Montre bien ta chatte !
La marquise
Baise moi stp
Le vicomte
Oui supplie moi !
La marquise
Je continue de me toucher le clitoris en accélérant bien la cadence
Le vicomte
Supplie-moi de te baiser comme une pute
La marquise
Je t'en supplie, baise moi s'il te plait
Le vicomte
Je m’approche de toi
La marquise
Je suis ta pute alors ! baise-moi comme telle
Le vicomte
tu vas d’abord la sucer
La marquise
Je mets ma deuxième main au niveau de ma chatte
Le vicomte
bien la sucer salope
La marquise
Je gémis de frustration en voyant ta queue s'éloigner de ma chatte
Le vicomte
tu vas me sucer la bite et les couilles
comme une chienne
pour qu’elle soit bien dure
La marquise
Oui. Tout ce que tu veux
Le vicomte
et qu’elle te fasse mal en te rentrant dedans
enfonce-la à fond dans ta bouche
La marquise
Je me remets à genoux devant toi et ouvre la bouche en te regardant dans les yeux
Le vicomte
Dis-moi que tu te branles comme une chienne
La marquise
Je prends ton membre déjà dur dans ma bouche et commence des va-et-vient
Le vicomte
Tu vas recevoir plein de foutre sur ton visage de salope
Allez enfonce-la bien
La marquise
Je mouille comme une salope mon string est trempée
Le vicomte
Avale-la jusqu’aux couilles salope
Avale-la bien, étouffe-toi avec
La marquise
Je prends une grande respiration et je l'enfonce pour te faire une gorge profonde
Le vicomte
Tu me suces et j’en profite pour te mettre un doigt dans le cul !
Tu aimes te faire mettre dans le cul comme une pute ?
Tu aimes ça, j’en suis sûr
La marquise
Je bouge mon bassin contre ton doigt, je me retire et crache sur ta queue
Le vicomte
Soumets toi comme une chienne !
lèche mes couilles !
branle-moi
La marquise
Je n'ai pas mon mot à dire, je suis ton vide-couilles, tu fais ce que tu veux
Le vicomte
tu es une vide-couilles en effet
La marquise
Je baisse la tête et vient prendre une de tes couilles dans ma bouche et je joue avec ma langue
Le vicomte
et tu vas me lécher le cul pour te prouver ta soumission
tu vas partir de mes couilles et glisser ta langue de salope entre mes fesses
jusqu’à mon cul
La marquise
D'accord
Le vicomte
tu vas le lécher tout en continuant à me branler
lèche salope
La marquise
Ma langue glisse jusqu'à ton anus. Je titille ton trou avec ma langue
Le vicomte
lèche mon cul comme une vraie chienne
C’est bien, tu es douée
La marquise
Je crache sur ton anus et je le lèche, léchant ma salive
Le vicomte
Maintenant tu enfonces ta langue dans mon trou
Tu vas dans mon cul salope
La marquise
D'accord
Le vicomte
Avoue que tu te branles !
que tu n’en peux plus d’attendre ma bite
La marquise
Oui je me touche
Le vicomte
que tu te caresses le clito
Continue à me lécher le cul mais enfonce tes doigts dans ta chatte
La marquise
Je continue de lécher ton cul et j'enfonce doucement ma langue à l'intérieur
Le vicomte
Je vais te lécher le cul aussi
La marquise
J'écarte ton cul avec mes deux mains et je rentre à nouveau ma langue dans ton cul
Le vicomte
mais je vais d’abord te mettre une vraie fessée
tu la mérites
La marquise
Je crache sur ton anus et lèche à nouveau
Oui, frappe moi
Le vicomte
J’ai envie de gicler sur ton visage, dans ta bouche, sur ton cul
La marquise
Comme la chienne que je suis
Le vicomte
Allez, fous-toi à quatre pattes
le cul bien levé !
je vais te mettre un gode dans le cul
La marquise
Tu n’as qu'à gicler dans mon cul
Le vicomte
et puis je te baiserai
violemment
La marquise
Je suis à 4 pattes le cul bien cambré , la tête contre le sol
Le vicomte
ouvre ton cul et prends ce gode bien au fond
La marquise
J'ai les seins collés au sol
Je mets mes deux mains sur mon cul et je l'écarte
Te donnant un parfait accès à mes trous
Le vicomte
Il te fait un peu mal! il est trop gros pour ton cul serré !
tu vas apprendre à l’ouvrir bien large
à te faire réellement défoncer
Tu vas prendre ma bite dans la chatte
je m’enfonce d’un coup sec en toi à fond jusqu’aux couilles
arrête de te branler maintenant
je veux que tu te retiennes
que tu sentes bien ma bite en toi
au fond de ta chatte
Tu es trempée hein salope
tu es complètement excitée…
tu supplies d’en prendre encore
La marquise
Défonce-moi
Le vicomte
Je te défonce comme une chienne
d’abord dans ta chatte
je te saisis par les hanches
et je m’enfonce jusqu’aux couilles
La marquise
Je bouge mon bassin contre ta bite
Le vicomte
tu sens mes couilles sur ton clito à chaque mouvement
La marquise
Voulant la sentir au plus profond de moi
Je hurle de plaisir
Le vicomte
Je te tiens fermement
La marquise
Continue de me baiser
Je suis ta pute
Le vicomte
je te défonce encore
La marquise
Tire-moi les cheveux
Le vicomte
je te baise comme une vraie pute
je te saisis les cheveux
je t’attire sur ma bite
je te tiens
je te défonce
La marquise
Je me cambre encore plus quand tu me tires les cheveux
Je sens ta bite au fond de moi
Le vicomte
je te fesse à nouveau
La marquise
Je crie
Le vicomte
Je mets mes doigts dans ton cul
La marquise
Oui. J'aime sentir mes fesses
rouges
Le vicomte
je veux que tu hurles
je veux que tu avoues que tu es une vraie pute
La marquise
Je hurle de plaisir, j'ai du mal à parler, tu pilonnes ma chatte
Le vicomte
je t’attire plus fort
je te saisis
par les cheveux
par les seins
La marquise
Entre deux gémissements je prends ma respiration
Le vicomte
je t’embrasse et je te mords la nuque
La marquise
Tu me baises comme la pute que je suis
Le vicomte
Il est temps que tu la prennes dans le cul
tu vas te faire défoncer par tous les trous
je vais sortir ma bite de ta chatte
je vais t’obliger à sucer la mouille sur ma bite
et tu vas me supplier de te la mettre dans le cul
je vais te fister en même temps
t’enfoncer deux trois quatre doigts dans la chatte pendant que tu me suces
La marquise
Hummmmmm
Essaie de me fister
Le vicomte
tu vas répandre ta mouille partout sur ton cul et tes cuisses
La marquise
Je ne sais pas si ma chatte est assez grande
Le vicomte
Si, tu vas y arriver
Je veux te voir complètement trempée
La marquise
Je le suis déjà
Je sais pas…
Le vicomte
tu vas apprendre à t’ouvrir complètement
La marquise
Oui maître
Le vicomte
suce-moi en même temps
La marquise
Tout ce que tu veux
Le vicomte
je suis ton maître, je veux que tu sois ma chienne
La marquise
Je me retourne et me mets à genoux pour te sucer
Le vicomte
mon esclave
ma pute
La marquise
Je goûte ma mouille en même temps
Le vicomte
suce-moi comme une pute
La marquise
Je fais des va-et-vient rapides sur ton membre
Je sens la bave qui coule sur mon menton
Le vicomte
Je veux que tu me suces à perdre haleine, salope
Je sors ma bite de ta bouche et je couvre ton visage de bave
La marquise
Je prends ma respiration et te fais une gorge profonde
Je ferme les yeux pendant que tu me recouvres de ma bave
Le vicomte
je te crache dessus et j’enfonce ma bite au fond de ta bouche
La marquise
Je suis souillée
Le vicomte
Ton clito est bien gonflé salope!
La marquise
J'essuie ton crachât avec mes doigts et me lèche le doigt pour ne rien gâcher
Le vicomte
je sais que tu n’arrêtes pas de te branler
tu es une vraie chienne
je vais me servir de ton cul pour me soulager
il est temps
À quatre pattes !
la tête au sol
le cul levé
les mains croisées derrière le dos
ton cul est bien ouvert
La marquise
Oui maître
Le vicomte
Je vais te défoncer
d’abord un doigt
puis un deuxième
Je veux que tu les sentes durs en toi
noueux
carrés
La marquise
Dans mon cul ?
Le vicomte
en train de te déchirer le cul oui
La marquise
Je les sens et grimace
Le vicomte
juste avant que je n’y enfonce ma bite
La marquise
Je fais glisser une main jusque mon clitoris
Le vicomte
tu grimaces salope
il est temps que je t'encule
tu ne peux pas te retenir hein
La marquise
Mon cul est serré
Le vicomte
tu es une chienne en chaleur
je t’encule là
La marquise
Je joue avec mon clitoris écartant encore plus les cuisses
Le vicomte
tu m’as trop excité
La marquise
Je hurle
Le vicomte
il faut que je te défonce
que je te casse le cul
La marquise
Tu déchires mon anus
Le vicomte
il est serré hein
le début ça entre
mais après il faut forcer
La marquise
Ça fait mal
Je grimace
Le vicomte
il faut que tu l'ouvres
La marquise
Je me mets un doigt dans la chatte
Le vicomte
je m’enfonce doucement mais fermement
La marquise
Et me masturbe pendant que tu me déchires mon petit cul
Le vicomte
J’adore sentir ton cul serré sur ma bite
ton petit cul étroit
que je suis en train de défoncer
d'élargir
La marquise
Tu me le dilates
Le vicomte
tu as encore quelques centimètres à prendre
La marquise
Encore ?
Le vicomte
Je veux rentrer en toi jusqu’aux couilles
La marquise
Je n'y arriverai pas mon cul est trop serré
Le vicomte
là j’y suis
je suis au fond de toi salope
La marquise
Je grimace
Le vicomte
ton cul est complètement ouvert
La marquise
Je suis ta pute
Complètement souillée
Maintenant baise mon cul
Le vicomte
tu vas encore plus grimacer parce que maintenant je vais bien te défoncer
La marquise
Défonce-le
Le vicomte
un long moment
je t’encule salope
La marquise
Casse moi le cul.
Le vicomte
je t’encule à fond
La marquise
Je veux hurler
Le vicomte
je te défonce le cul
La marquise
Oh oui
Le vicomte
je te casse le cul
La marquise
Oui
Le vicomte
hurle salope
hurle comme une chienne
ouvre ton cul
je te saisis par les cheveux jusqu’à ce que tu hurles encore plus fort
La marquise
Je mets mes deux mains sur mon cul pour l'ouvrir encore plus
Le vicomte
je vais et je viens dans ton cul
plus fort
plus durement
plus rapidement
je vais jouir dans ton cul d'esclave
je vais me répandre
je vais me servir de toi comme d’une vide-couilles
je vais lâcher tout mon foutre dans ton cul de salope
je vais jouir sans relâche au fond de ton cul
je ne m’arrêterai pas jusqu’à ce que tu me supplies
tu te branles !
hein tu te branles comme une chienne
tu aimes trop être traitée comme une chienne
comme une esclave
comme une pute
tu adores ouvrir ton cul
et te faire défoncer
tu as joui…
[silence]
Tu es charmante… j’aimais beaucoup ces échanges.
[plus tard]

2.

La marquise
Désolée j'avais du quitter mon téléphone
Mais j'en reste au moment ou j'ai ton foutre dans mon cul
La marquise
Tu es la ?
[plus tard]
J'ai envie que tu me pisses dessus ...


[plus tard]
Baise moi s'il te plait...
Le vicomte
Oui si tu en as envie
tu vas te mettre à genoux devant moi
je vais sortir ma bite de mon pantalon
je vais dire que tu es une salope
une chienne
une putain
tu diras que je suis ton maître
je te le ferai répéter

tu le diras
et je te pisserai dessus
je te pisserai dessus et je t'ordonnerai d'ouvrir la bouche
pour recevoir mon jet de pisse
je te pisserai dessus longuement
tu sentiras ma pisse couler sur tes seins
sur ton ventre
remonter vers ton visage
tu auras envie que le jet remonte plus haut
te couvre le visage
tu auras envie de sentir ma pisse sur ton visage
Je le ferai
je te pisserai dessus
sans me gêner
je te pisserai sur la figure
sur ton visage de salope
je te couvrirai de pisse
ma pisse dégoulinera sur ta face de salope
de chienne, de putain, de pouffe
je te traiterai comme tu le mérites…
Tu ouvriras la bouche et je dirigerai mon jet entre tes lèvres
je me viderai dans ta bouche
tu sentiras ma pisse remplir ta bouche de son goût salé
Je t'ordonnerai d'avaler
[plus tard]
Prouve-moi que tu es une salope
montre moi que tu es une chienne
couche toi devant moi
nue
écarte les jambes
montre moi ta chatte
montre moi ta chatte ouverte
ouvre-la avec tes doigts
montre-moi ton trou
vas-y fais-le
ouvre ton trou mouillé trempé
montre-moi que tu es mouillée
montre avec les doigts
écarte
remonte
montre-moi ton clito
montre-moi comment tu te caresses
branle-toi devant moi : je te regarde
[plus tard]
Demain jeudi. 15 heures. Je t'attends.
[plus tard]
J'ai regardé ta photo. Je ne sais pas si elle est fausse. Mais elle est révélatrice. Je crois que tu es très intelligente. La plus intelligente dans ton groupe. Tu dois lire beaucoup, de la littérature, de la philo peut-être. Mais tu as une face cachée. Ce qui t'excite c'est d'être traitée comme une chienne soumise, d'être baisée et humiliée comme une salope. Tu en rêves mais l'on ne voit que ton visage d'intellectuelle autour de toi…

3.

[plus tard]
Le vicomte
Je sais attendre. Ce soir, 22h45
La marquise
Désolée, j'étais occupée
Le vicomte
Je suis un peu en avance
La marquise
Je suis la
Le vicomte
Moi aussi
tu es disponible, tu es disposée ?
Tu rêves de choses extrêmes ?
La marquise
Oui !
Je suis entièrement disponible
Le vicomte
Bien
Je vais m'asseoir sur le lit devant toi. Tu seras debout, et tu vas abaisser ton pantalon, mais garder ton string
je vais te caresser la chatte à travers le string
tu sens mes doigts doucement d'abord
parcourant la chatte
faisant s'entrouvrir tes lèvres sous le string
garde les mains croisées dans le dos
expose ta chatte
j'en suis le maître
je veux que tu trempes ton slip
ton string
j'attends que tu sois bien trempée
que tu mouilles abondamment
je vais te traiter comme mon esclave
je glisse un doigt sous ton string, j'enfonce une phalange à peine dans ta chatte. Je constate que tu es trempée. Mouillée. Je fais glisser mon doigt dans ta fente. Je remonte vers ton clito
J'abaisse d'un coup sec ton string. Tu es à moitié nue devant moi. Je t'ordonne d'écarter les jambes. J'enfonce un doigt entier dans ta chatte
Je vais au fond de ta chatte. Je veux qu'elle soit trempée, dégoulinante
Tu es ma chienne ?
Je vais t'enfoncer deux doigts dans la chatte… je vais t'ouvrir, je vais ouvrir complètement ton sexe
Je vais te prendre par le cul. Je vais défoncer ton petit cul…
La marquise
Oh mon dieu... Je veux encore plus de doigts dans ma chatte
Le vicomte
j'enfonce deux trois doigts dans ta chatte
je veux que tu dégoulines sur mes doigts sur ma main
je te veux immobile pendant que je m'enfonce en toi
La marquise
J'ai du mal à rester immobile
Je bouge et gémis
C'est trop bon
Le vicomte
Tourne-toi. Montre moi tes fesses. Écarte-les !
je vais te mettre un doigt dans le cul
je mouille ton trou, le bord de ton trou et j'enfonce un doigt d'un seul coup
tu l'as bien pris, tu le sens dans ton trou
ouvre ton anus, écarte bien les fesses
penche-toi en avant
je vais te prendre par les deux trous. Mets-toi à quatre pattes. Le cul bien levé
le visage collé au sol
Montre-moi bien que tu es une salope, une putain complètement disponible
Montre ton cul, ton petit cul de chienne
j'enfonce un main dans ta chatte et l'autre dans ton cul
La marquise
Je suis à 4 pattes et le visage collé au sol
Tu as la main entière dans ma chatte ?
Le vicomte
Trois doigts dans ta chatte et un doigt dans ton cul pour commencer
La marquise
Je veux 4 doigts dans ma chatte
Le vicomte
tu es encore trop serrée pour enfoncer toute la main
j'enfonce quatre doigts
mais je dois forcer ta chatte
seuls les doigts entrent
j'enfonce le pouce dans ton cul
La marquise
Je grimace un peu mais mouille terriblement
Ma chatte est trempée j'aime tellement te sentir en moi
Le vicomte
j'ai un plug à disposition
je te le fais lécher
sucer
tu dois baver dessus
pour que je puisse te le mettre dans le cul
ton cul est déjà bien ouvert mais le plug est plus gros
Tu l'as bien léché ? Il est plein de bave ?
Je le sors de ta bouche et je l'approche du trou de ton cul de salope
La marquise
J'ai craché dessus
J'écarte un peu plus les cuisses
Et je mets mes deux mains sur mes fesses pour les écarter
Le vicomte
je l'enfonce d'abord rapidement mais ensuite il faut que je fasse plus doucement.
Ton trou s'arrondit, je vois ton trou se dilater lentement
Tu t'ouvres, je t'ouvre le cul
je commence à bien te le défoncer
Il est temps que tu t'occupes de ma bite
J'ouvre mon pantalon
La marquise
Je mets ma main sur mon cul et garde mon plug bien enfoncé
Je sens mon anus qui est dilaté
Le vicomte
je continue à enfoncer le plug. Il est pratiquement complètement enfoncé.
Ton cul est bien dilaté
mais il faut qu'il rentre à fond
Il est complètement dedans maintenant
Il est en place
mais ça m'excite de le ressortir et de le rentrer aussitôt
sans précaution
ton cul est bien ouvert
et avec mes doigts je constate tu es trempée comme une chienne
La marquise
Je grimace légèrement, tu me défonces mon petit cul
Je suis excitée comme jamais, j'aime la manière dont tu t'occupes de moi
Le vicomte
tu es bien disposée, disponible, prête à me sucer à genoux avec un plug dans ton petit cul de salope
Allez, mets-toi à genoux maintenant. Devant moi. Comme une esclave
La marquise
Je me mets à genoux devant toi, ma main droite reste sur le plug pour continuer à l'enfoncer
Et je prends ton membre bien dur dans ma bouche
Je commence à jouer avec ton gland, ma langue le caresse
Le vicomte
Arrête de te toucher le clito. Mets ta main sur mes couilles
La marquise
Elle parcourt toute ta queue
Le vicomte
Suce-moi à fond
La marquise
Puis je fais des va-et-vient avec ma bouche, accélérant le rythme
Le vicomte
Oui va et viens sur ma queue
Tu sais ce que je vais faire avec ma queue…
La marquise
Je continue le rythme
Je prends ma respiration et te fais une gorge profonde
Le vicomte
C'est bien, avale-moi à fond
suce-moi
suce-moi encore
un long moment
bave sur ma bite
La marquise
Je reste quelques secondes avec ta queue bien au fond de ma gorge et je l'enlève pour respirer
Je crache dessus
Et je la reprends en bouche, léchant mon crachât
Le vicomte
avale
je te crache dessus
j'ai envie de te pisser dessus
de te souiller
de faire de toi mon esclave absolue
tu vas me lécher les couilles
La marquise
Pisse-moi dessus
Le vicomte
ma vessie est pleine
La marquise
Je suis ta chienne tu peux faire ce que tu veux
Le vicomte
allez lèche-moi les couilles
laisse-moi un peu débander
La marquise
Je passe ma main gauche sur mon clito et me caresse, complètement excitée
Le vicomte
j'ai envie de voir ton visage de salope sous ma bite
La marquise
Je prends tes couilles en pleine bouche et commence à les lécher
Le vicomte
je vais me vider sur toi
je te crache encore dessus et je répands ma bave sur ton visage avec ma bite
Maintenant je t'ordonne d'ouvrir la bouche
de pencher la tête en arrière
je commence à te pisser dessus, d'abord sur les seins
puis je remonte sur ton cou
tu sens le liquide chaud sur ton corps
je remonte encore. Maintenant je te pisse à la figure
La marquise
Je me caresse les seins
Étalant bien ta pisse
Je ferme les yeux quand tu es sur mon visage
Le vicomte
je pisse sur ton visage, dans tes cheveux, sur tes joues
tu es une pute et je te pisse dessus
je pisse dans ta bouche maintenant
je pisse encore et je remplis ta bouche de pisse chaude
Ta bouche est remplie de pisse et déborde
La marquise
J'essaie d'avaler mais j'arrive pas à tout avaler
Le vicomte
je rapproche ma bite de ta bouche pour que tu n'en perdes pas une goutte
La marquise
Il y en a plein qui déborde
Le vicomte
Je t'ordonne d'avaler
La marquise
Pisse-moi sur la chatte
Je ferme les yeux et avale, je grimace involontairement
Le vicomte
Salope, mets-toi sur le dos, les cuisses ouvertes
je te pisse sur la chatte
ouvre-la avec tes doigts
je pisse sur ton clito
La marquise
Je l'ouvre et me caresse en même temps
Le vicomte
tu es couchée par terre et je me vide complètement sur toi
La marquise
Je suis totalement excitée en sentant ton jet d'urine sur mon clito
Le vicomte
je m'agenouille au-dessus de toi et je finis de pisser sur ton visage
j'enfonce ma bite dans ta bouche ouverte
je t'ordonne de sucer la queue qui vient de te couvrir
de pisse
La marquise
J'ai de la pisse encore partout
Le vicomte
ça m'excite à mort de te voir trempée de pisse
je veux que tu pisses devant moi à ton tour
je vais me retourner, je vais m'asseoir sur ton visage, tu me lécheras le cul et je te regarderai pisser entre tes cuisses ouvertes
La marquise
Hummm
J'aime
J'écarte les cuisses, sentant ma vessie remplie
Le vicomte
Allez, montre moi que tu es une chienne obéissante. Je veux sentir ta langue dans mon cul. Je veux te voir pisser comme une animale
Vide-toi salope
vide ta vessie
je boirai ta pisse chaude
La marquise
Je commence à pisser
Me soulageant
Le vicomte
je bande à fond
La marquise
Je sens ma pisse qui coule le long de mes cuisses
Qui me coule sur les jambes
Le vicomte
je me penche un peu pour attraper une part du jet entre mes lèvres
j'adore le goût salé de ta pisse
branle-toi en même temps
La marquise
Ça m'excite de te voir faire
Je mets ma main sur mon clito et me le caresse faisant voler ma pisse sur ton visage
Le vicomte
Retiens toi un instant
relève-toi et pisse moi directement dans la bouche
La marquise
Je grimace et contracte mon vagin
Je me mets sur toi, tes lèvres près de mon vagin
J'écarte les cuisses, ouvre ma chatte avec mes doigts et te pisse dans la bouche
Le vicomte
J'adore sentir ta chatte contre ma bouche
ta chatte qui est en train de pisser
La marquise
Totalement excitée je la colle contre ta bouche et je bouge
Le vicomte
j'adore ta pisse
je l'avale
je te lèche le clito
La marquise
Je fais des mouvements de bassin sur ta bouche
Le vicomte
je vais et je viens le long de ta chatte
j'enfonce ma langue dans ta chatte
le plug est toujours dans ton cul
La marquise
Hum j'adore
Le vicomte
je reviens vers ton clito
mais je refuse que tu jouisses maintenant
même si tu ne peux pas t'en empêcher
j'ai encore envie de te traiter comme une chienne
je te fais mettre à quatre pattes
je te fais relécher la pisse répandue tout autour de nous
je te saisis par les cheveux
La marquise
Je lèche le carrelage
Le vicomte
je te traîne à quatre pattes dans la pisse
La marquise
Et je lèche le mélange de nos deux pisses
Mes cheveux sont trempés de pisse et mon maquillage coule
Le vicomte
tu lèches devant moi et je te claque les fesses
comme un pute qui le mérite
tu es complètement souillée mais ce n'est pas fini
La marquise
Je suis pire qu'une chienne
Le vicomte
tu dois encore faire l'esclave pour moi
tu dois prouver encore que tu es au service de ton maître
La marquise
Je suis trempée de mouille et de pisse
À 4 pattes devant toi
Le vicomte
C'est bien. Comme ça, à quatre pattes. Le cul en l'air
Je te donne une fessée, une fessée violentes pour que tes fesses soient rouges et que je bande dur
La marquise
Je hurle
Le vicomte
Tu as vraiment un beau petit cul de salope
bien dur bien ferme
un cul qui n'est destiné qu'à une seule chose :
se faire enculer et servir de vide-couilles
écarte les genoux. Montre moi ta chatte trempée
Je retire le plug de ton cul
Je t'ordonne d'enfoncer tous tes doigts dans ta chatte
je saisis ta main et j'appuie
je veux voir jusqu'où tu peux les prendre
je veux que ta chatte soit défoncée
La marquise
J'ai du mal à tous les rentrer
Je bloque
Le vicomte
Retire-les
fais-les aller et venir dans ta chatte
je vais commencer par te baiser à quatre pattes
je veux que ta chatte soit ouverte et trempée
Je vais te mettre un collier avec une laisse comme une chienne et je te baiserai
Je me mets debout, je te mets le collier, je te fais marcher à quatre pattes sur le sol encore humide
La marquise
Je marche le regard baissé
Le vicomte
J'aime te faire patienter, j'aime que tu me supplies de te baiser
j'ai envie de te savoir pantelante
Je suis debout devant toi, ma bite est raide
La marquise
Je continue de marcher le regard baissé, attachée en laisse
Le vicomte
tu es une vraie chienne
La marquise
Je lèche une trace de pisse restée sur le carrelage
Le vicomte
en chaleur
La marquise
Je relève la tête et viens prendre ton membre dans le trou à bite qui me sert de bouche
Le vicomte
tu connais ton rôle
tu n'es qu'un trou à bites
enfonce-la bien
avale-la toute
fais-moi bander
La marquise
Je te fais une gorge profonde
Mais j'ai du mal à respirer
Le vicomte
suce-la jusqu'à ce qu'elle soit dure comme du bois
oui salope étouffe-toi
La marquise
Je me retire pour reprendre mon souffle
Le vicomte
va jusqu'au bout, reprends la
tu dois obéir
La marquise
Je ferme les yeux et reprends ta bite
Oui maître
Le vicomte
je veux être dans ta bouche
La marquise
Mes yeux pleurent
Le vicomte
suce suce suce-moi encore
La marquise
Je sens ta queue taper au fond de ma gorge
J'ai envie de vomir
Je me retire
Et je reprends ma respiration
Le vicomte
tu es une putain, un trou à bites où je me soulage sans vergogne
La marquise
J'ai de la bave sur le menton
Le vicomte
Allez à quatre pattes si tu n'en peux plus
à quatre pattes comme une chienne
comme une animale en rut
plaque ton visage sur le sol couvert de pisse et lève ton cul
Ma queue est bien raide et je vais te pénétrer
La marquise
Je me cambre la chatte trempée
Le vicomte
brutalement je te préviens
La marquise
Défonce-moi putain
Pitié
Le vicomte
je veux te baiser à ma guise violemment
La marquise
Défonce-moi
Comme une pute
Le vicomte
je m'enfonce en toi d'un coup sec
sec
je te défonce la chatte
je suis en toi jusqu’aux couilles putain
je te pilonne
je te défonce la chatte
La marquise
Oh oui
Baise-moi
Je gémis
Le vicomte
mais ça ne te suffit pas
La marquise
Étrangle-moi
Le vicomte
je veux t'entendre hurler
je te tire les cheveux
je t'attire vers moi
je t'étrangle avec la laisse
je te défonce la chatte
j'en profite pour enfoncer d'un seul coup mon pouce dans ton cul
puis le pouce de l'autre main
j'ouvre le trou de ton cul
je vois le trou de ton cul écartelé entre mes deux pouces
tu vas te faire enculer salope
Je t'attrape par les hanches et je te baise encore un bon coup
ta chatte est chaude et trempée
j'y rentre avec une facilité déconcertante
je te défonce un long moment
je te fais hurler
je t'interdis de te branler pendant que je te baise
Tu vas te la faire mettre dans le cul dans un moment
C'est le seul trou à bites que je n'ai pas encore défoncé
C'est le trou du cul de la marquise que je vais défoncer, éclater, remplir
La marquise
Je me doigte en même temps
Je suis trop excitée
Le vicomte
Supplie-moi de te la mettre dans le cul!
La marquise
Si je t'envoie une photo tu me promets de jamais les diffuser ?
Le vicomte
Vas-y avoue que tu es une chienne
Oui je te le promets
je veux voir ta chatte ton cul
Je vais te défoncer le cul pendant que tu le photographies
La marquise
Continue de m'exciter


Le vicomte
magnifique
continue à te doigter
vas-y à fond dans ta chatte
je viens de sortir ma queue et je l'approche de ton cul


Le vicomte
superbe !
il est temps
il est temps de te faire enculer salope
comme tu le mérites
continue, j'adore t'enculer en sachant que tu te doigtes
C'est jouissif une chienne qui se branle
alors qu'elle se fait démonter le cul
Ma bite s'enfonce d'un coup sec dans ton cul
La marquise
J'adore quand tu me démontes
Le vicomte
tu hurles mais ton cul était déjà complètement ouvert
Je suis à fond dans ton cul
je te prends par les hanches
je vais et je viens dans ton cul de salope
je te traite de salope et de putain
La marquise
Montre moi ta queue
Le vicomte
je t'oblige à mouvoir ton cul pour bien enfoncer ma bite



Le vicomte
Superbe
continue
fais bien aller tes doigts dans ta chatte
La marquise
Je peux voir ta queue ?
Le vicomte
Je t'enverrai des photos
mais là j'ai pas d'appareil sous la main
vas-y enfonce encore un doigt
La marquise
Excite-moi
Le vicomte
Je suis en train de t'enculer
Je veux sentir ma queue s'enfoncer en toi
à fond
je veux être au fond de ton cul
Je veux t'éclater le cul
je veux jouir dans ton cul
te l'ouvrir complètement

La marquise
Le vicomte
Attends je vais t'envoyer une photo de ma queue
oui branle toi avec un gode
La marquise
Je peux pas plus au fond
Le vicomte
Superbe
Une chatte magnifique


La marquise
Ta queue irait bien dans ma chatte
Le vicomte
tu mérites que je t'encule encore un moment
Oui je n'en doute pas
La marquise
J'ai envie que tu me baises et qu'à la fin tu me pisses encore dessus
Le vicomte
Tu aimes ça hein
OK. Mets-toi sur le lit
couchée sur le dos
je vais t'attacher jambes et bras en croix
tu seras complètement disponible
je te baiserai à ma guise
Je vais t'envoyer une autre photo
Tu es attachée
La marquise
Je suis ton objet de toute façon
Le vicomte
ouverte
exposée
mouillée


La marquise
Hum.... Je la veux dans mon cul
Dans ma chatte
Le vicomte
je commence par caresser ta chatte
La marquise
Tu m'enverras une photo de toi en train de pisser ?
Le vicomte
je te caresse le clito
je veux savoir si ton clito est hyper sensible
je le cherche
je caresse ta chatte, je l'ouvre, je monte vers ton clito
Oui je t'enverrai une photo de moi en train de pisser. Tu m'excites trop salope
j'ai déjà envie de te pisser dessus
de pisser dans ta bouche
mais là je caresse ton clito
on t'a déjà donné des tapes sur le clito ?
Je frappe une première fois doucement
pour voir comment tu réagis
tu ne peux rien faire
je frappe encore
puis de plus en plus rapidement
j'ai envie que tu me dises ce que ça te fait
j'ai envie de te voir t'exciter de plus en plus
j'ai envie de te sentir complètement trempée
je vais te baiser à nouveau
je vais entrer en toi
complètement offerte
je me couche de tout mon long sur toi et je m'enfonce en toi
ma bite s'enfonce facilement dans ta chatte
je te baise je te baise je te baise
comme une chienne
je te défonce la chatte
La marquise
Hummmm
Je sens que je vais venir je tiens plus
Le vicomte
je te saisis par les épaules pour pouvoir m'enfoncer plus profondément en toi
plus violemment
plus brutalement
je te baise encore et encore
et tu ne peux rien faire
La marquise
Finis-toi dans ma bouche
Le vicomte
juste sentir ma queue en toi
je sors
je te libère rapidement
je viens au-dessus de toi
j'enfonce violemment ma bite dans ta bouche
c'est moi qui bouge dans ta bouche
je m'enfonce dans ta bouche comme dans ta chatte
pour me faire jouir
pour me répandre
pour remplir ta bouche de foutre
La marquise
J'ai envie d'avaler ta semence *
Le vicomte
tu es juste bonne à me vider les couilles
je te saisis par les cheveux
je m'enfonce au fond de ta gorge
je jouis
je remplis ta bouche de foutre
La marquise
J'avale ta semence chaude
Et je te regarde en tirant la langue
Le vicomte
je caresse ma bite mêlée de foutre et de salive sur ton visage
La marquise
Pour te montrer que je suis une bonne chienne
Le vicomte
oui tu es belle
complètement souillée
tu fais la chienne et tu vas avoir ta récompense de chienne
j'ai besoin de pisser salope
je vais te remplir la bouche de pisse
branle-toi bien
excite-toi bien
caresse-toi sans relâche
parce tu vas avaler ma pisse
jusqu’à la dernière goutte
je vais te remplir la bouche de pisse
je vais te pisser en pleine figure
La marquise
Hummmm
Je vais essayer de tout avaler
Le vicomte
je vais enfoncer ma bite en train de pisser entre tes lèvres…
dis-moi que tu es bien en train de te branler comme une vraie vide-couilles
La marquise
Je capture ta queue
Le vicomte
je vais te pisser dessus comme sur la pire des putains
oui prends-la salope
La marquise
Et je sens ta pisse chaude envahir ma bouche
Le vicomte
je me soulage
je pisse
je te pisse dessus
un jet sur la figure
un jet dans la bouche
ta bouche de salope est bientôt remplie de pisse
La marquise
Je ferme les yeux
Le vicomte
tu adores ça
La marquise
Et ouvre grand la bouche
J'ai l'impression de n'être qu'une chienne
Le vicomte
tu adores le goût de la pisse dans ta bouche
tu es une chienne
La marquise
Une putain sans valeur
Le vicomte
une chienne juste bonne à se faire pisser dessus
La marquise
Je suis juste la pour te vider les couilles sans rien dire
D'encaisser quand tu me détruis l'anus
Le vicomte
une putain qui avale de la pisse
qui se fait défoncer le cul
démonter la chatte
qui me lèche le cul
et qui supplie que je lui pisse dans la bouche
avale salope
vas-y avale
avale ma pisse comme tu as avalé mon foutre
La marquise
J'avale
Le vicomte
branle-toi en avalant ma pisse
La marquise
Je grimace en sentant le goût salé
Le vicomte
je vais encore te pisser dessus
sur ton visage
La marquise
Et je te tire la langue pour te montrer que je suis une bonne pute
Le vicomte
sur tes seins
sur ta chatte
et souris quand je te pisse dessus
tu vas bientôt pouvoir sucer ma bite pleine de pisse!
La marquise
Oui maître
Le vicomte
tu vas sucer la queue qui t'a pissé dessus
tu vas pisser devant moi à ton tour dans un verre
tu vas remplir un verre de pisse
La marquise
Oui maître
Et je fais quoi avec ce verre ?
Le vicomte
je me branlerai à nouveau et tu l'avaleras pour m'exciter
j'ai envie de te voir boire ta propre pisse
La marquise
Tu veux que j'avale ma pisse maître ?
Le vicomte
oui
La marquise
D'accord maître
Le vicomte
une partie
le reste je te le renverserai sur la tête
La marquise
Je m'accroupis et mets le verre sous ma chatte et je me laisse aller
Le vicomte
tu seras couverte de pisse
je me branlerai
La marquise
Je remplis rapidement le verre je le sens chaud sous mes mains
Le vicomte
et j'éjaculerai à nouveau sur ton visage de salope
vas-y avale-le
montre-moi bien quelle salope tu es
bois lentement
sens la chaleur de ta pisse dans ta bouche
La marquise
Je te regarde dans les yeux
Le vicomte
avale petit à petit
La marquise
Je n'ose pas grimacer par peur de tes représailles
Le vicomte
regarde ma queue
elle va t'arroser encore
La marquise
Je ferme les yeux et avale lentement ma propre pisse, complètement humiliée
Le vicomte
je te saisis les seins, je tords un peu les mamelons
je veux que tu sois mon esclave totale
ça t'a plu d'avaler ta pisse ? tu es bien une vraie chienne
maintenant je vais renverser le fond du verre sur ton visage
pour que tu sois complètement souillée
La marquise
Je ferme les yeux
Le vicomte
ça m'excitera à fond de te voir comme la pire des putes
La marquise
Et me laisse faire sans rien dire
Le vicomte
complètement humiliée
La marquise
J'ai honte d'être qu'une chienne
Le vicomte
consentante
honteuse mais salope
au fond tu es fière d'être une salope couverte de pisse
je me branle
je vais te couvrir de foutre et de pisse
je jouis je jouis je jouis je jouis
sur la dernière des salopes
La marquise
Je sens ma propre pisse couler le long de mes cheveux
Le vicomte
je crois que je vais encore te pisser dessus
La marquise
Je veux vraiment une photo de toi entrain de pisser pour m'imaginer en dessous
Tu n'as pas à me demander l'autorisation ... Je suis ta chose
Le vicomte
oui je t'en enverrai une
La marquise
J'ai hâte ....
Le vicomte
demain je boirai un litre d'eau
ça se transformera en pisse
un jet jaune et puissant
La marquise
J'aimerais tellement que tu viennes me pisser dessus
Le vicomte
Je ferai des photos
La marquise
Et dans ma chatte
Le vicomte
tu m'excites à mort salope
moi aussi j'ai envie de te pisser dans la chatte
tu te mettras la tête en bas
le dos soulevé
les jambes en l'air
la chatte ouverte
La marquise
Et tu me pisseras dedans ?
Le vicomte
je verrai ta chatte, ton cul et juste en dessous ton visage et ta bouche ouverte
Debout au-dessus de toi je te pisserai sur la raie des fesses, puis dans la chatte, puis sur ton visage et dans ta bouche ouverte
La marquise
Je mouille tellement putain
Le vicomte
la pisse dégoulinera de ta chatte vers ta bouche
branle toi !
La marquise
Tu m'excites trop
Le vicomte
enfonce tous tes doigts dans la chatte
La marquise
C'est ce que je fais
Le vicomte
je te pisse dessus
La marquise
Demain je serai pas là, je vais me faire baiser pour de vrai
Je penserai à ce soir
Le vicomte
tu ouvres la bouche
La marquise
Oui vide toi
La marquise
Encore et encore
Le vicomte
pour recevoir de la pisse jaune
j'ai trop envie de te voir trempée de pisse
La marquise
C'est un honneur de recevoir la pisse de mon maître
Le vicomte
tu es juste bonne à ça ! servir de pissoir
recevoir ma pisse quand j'en ai envie
je vais t'attacher dans les toilettes
et quand j'aurai besoin je viendrai me soulager directement dans ta bouche
tu resteras nue attachée pendant des heures attendant que le délice de ma pisse te remplisse la bouche
tu devras pisser sous toi
La marquise
Et je devrais avaler ma pisse ?
Le vicomte
de temps en temps après avoir pissé j'enfoncerai ma bite dans ta bouche et tu devras la sucer
La marquise
Je te nettoyerai
C'est mon rôle de chienne
De nettoyer
Le vicomte
tu seras complètement humiliée, obligée de pisser en dessous de toi
de laisser une mare de pisse jaune entre tes genoux écartés
parfois après avoir pissé, je me retournerai et je te ferai lécher mon cul
j'écarterai largement les fesses et je t'ordonnerai d'enfoncer ta langue profondément dans mon cul.
La marquise
( je vais aller me coucher )
Le vicomte
OK. C'était très agréable. Tu es très douée
J'espère que tu te feras bien baiser demain.
Tu es une vraie chienne et c'est un compliment.
À plus tard
La marquise
Merci beaucoup !!!!
Le vicomte
Merci à toi aussi, même si un maître n'a pas à remercier son esclave.

dessin pornographique pisse
taille originale : 21 x 29,7