dimanche 28 octobre 2018

Jules et Jim

Taille originale : 21 x 29,7

1.
Jules et Kate s’aimaient, mais Jules ne voulait pas consacrer sa vie entière à Kate. Celle-ci ne s’en plaignait plus mais en gardait une insatisfaction. Quelques années plus tard, elle tomba follement amoureuse, selon ses propres mots, de Jim qu’elle avait rencontré au cours d’une soirée où Jules n’était pas.
Elle ne cacha rien à Jim de sa relation avec Jules, ni de sa nouvelle passion à Jules, même si elle hésita à rompre avec lui. L’amour était éteint, mais elle lui conservait une amitié profonde. Jim s’installa bientôt dans l’appartement de Kate. Ils baisèrent à un rythme élevé pendant les premiers mois. Mais Kate continuait à voir de manière épisodique Jules. Parfois, l’après-midi, une fois par mois environ, elle l’entraînait au lit chez elle et baisait avec lui. Il avait une manière très différente d’agir de Jim. Il caressait Kate longuement, les fesses en particulier, et, quand elle écartait les jambes, il ne se précipitait pas, se contentant de faire glisser un doigt au bord de la fente pour en répandre la mouille. Puis, quand Kate l’invitait à la pénétrer, il frottait encore longuement son gland au bord la chatte pour l’ouvrir doucement, et il s’enfonçait en elle tout aussi lentement avec de courts mouvements au début qui s’allongeaient progressivement pour la pénétrer enfin complètement.
Jim ne donnait aucun ordre mais il imposait son rythme à Kate, un rythme qu’on aurait pu croire inspiré par sa passion dévorante. Il lui disait : j’ai envie que tu me suces… tu veux bien le faire à genoux, cela m’excite… j’aimerais que tu te mettes à quatre pattes pour te baiser comme une chienne… et si tu me léchais les couilles ?… abaisse ton pantalon, penche-toi en avant, j’ai envie de te baiser par derrière, maintenant, tout de suite ! Kate amoureuse répondait avec plaisir à chacune de ses demandes. La première fois où ils se retrouvèrent au lit, il lui dit, alors qu’elle était en train de le sucer à genoux, qu’il préférait l’enculer immédiatement : Kate se mit à quatre pattes, mouillée d’excitation, et il s’enfonça dans son cul d’un seul mouvement. Elle fut surprise de sa rapidité, mais sa bite était recouverte d’une capote très bien lubrifiée, et il la pénétra sans douleur excessive. Il répétait : tu m’excites, tu m’excites, et il la baisait effectivement avec excitation, avec précipitation même, allant et venant en elle, changeant plusieurs fois de position, multipliant les caresses, demandant continuellement des gestes et des baisers en retour. Et Kate aimait baisser seulement son pantalon et se faire aussitôt pénétrer à quatre pattes alors même que Jim l’empoignait par les cheveux et s’enfonçait à un rythme toujours plus rapide en elle.
Kate était amoureuse, follement sans doute, mais elle n’oubliait pas Jules. Elle l’invita au restaurant avec Jim. Ils sympathisèrent malgré le déséquilibre qui existait entre eux. Jules savait qu’il n’était plus guère qu’un ami de cœur pour Kate, et que, bientôt sans doute, elle renoncerait à avoir toute relation sexuelle avec lui. Il était moins élégant, peut-être moins cultivé, certainement moins beau que Jim. Il s’en rendit compte immédiatement. Mais Jules était plus âgé, et il devinait le gamin, sinon l’enfant, sous le vernis adulte de Jim. Il se sentit supérieur moralement. Cela facilita leur amitié. Il laissa Jim discourir sans le contredire. Ils parlèrent de littérature et de philosophie. La politique, à laquelle ils avaient cru, les décevait et leur semblait vaine, ou en tout cas, ils n’avaient aucune emprise sur elle. Ils échangèrent des photos de vacances, en Italie, au Portugal, en Écosse. C’est peut-être ce qui les rapprocha, qui créa une connivence entre eux. Des villes, du vin, des whiskies, des paysages et puis le football… Ces rendez-vous au restaurant se répétèrent, mais à la fin de la soirée, Jim retournait à l’appartement avec Kate, et Jules les abandonnait en cours de route pour rentrer chez lui.
2.
Le hasard fit se rencontrer en ville Jules et Jim qui travaillaient dans des bureaux pas très éloignés. Ils prirent un verre. Ils discutèrent encore une fois de foot. Ils promirent de voir un match important (mais tous les matchs sont importants…) dans un café un soir prochain avec d’autres supporters. Kate ne les rejoindrait pas. Elle n’aimait pas le foot.
Une idée murissait par ailleurs dans la tête de Kate : partir à trois pour une escapade, romantique ou érotique, elle ne le savait pas encore. Elle n’avait pas caché à Jim qu’elle continuait à baiser avec Jules de façon occasionnelle. Il ne s’en était pas offusqué. Mais pour Kate, c’était deux mondes différents. Une escapade pourrait être l’occasion de les réunir. Kate y songeait, mais Paris la hérissait, Rome était trop lointaine… Finalement, l’occasion se présenta d’un court séjour à Amsterdam dans un logement prêté par des amis, ce qui évitait la difficulté de louer une chambre à trois dans un hôtel. Jules accepta malgré ses occupations (il était malgré tout toujours capable de se libérer pour rejoindre Kate). Kate était restée évasive sur l’objectif du voyage. Elle ne l’avait sans doute pas fixé elle-même. Mais elle avait précisé de manière incidente qu’elle avait demandé à Jim de faire un test et qu’il était bien négatif.
Dans l’appartement se trouvaient un lit à deux places et un peu plus loin un lit de camp destiné logiquement à Jules. Il se demanda si Jim et Kate envisageaient de baiser ensemble alors qu’il serait pratiquement au pied de leur lit. Il n’évoqua pas la question. Ils partirent visiter Amsterdam qu’ils connaissaient déjà, puis trouvèrent un restaurant sympa. La bière et le vin détendirent l’atmosphère. Ils retournèrent à l’appartement et se conduisirent comme s’il n’y avait aucune équivoque dans la situation. Chacun passa à la salle de bains, puis se coucha dans le lit qui lui était destiné. On éteignit les lumières. Naturellement, l’obscurité n’était que partielle. Kate parlait avec Jim. Jules l’entendait mais ne comprenait pas ses propos. Kate se releva et s’approcha du lit de Jules. Viens, lui dit-elle. Il se coucha à ses côtés. Elle lui tournait le dos et faisait face à Jim. Elle se frotta contre le ventre de Jules. Elle l’attira du bras vers elle. Elle saisit sa main et la dirigea vers sa chatte entre ses fesses. Il la sentit bientôt mouiller. Il se sentit bander. Elle le sentit également bander et saisit sa bite. Elle le branla jusqu’à ce qu’il soit dur. Bien dur. Elle amena sa queue contre sa chatte. Il commença à glisser doucement son gland au bord de la chatte humide avec des mouvements lents et réguliers. Il la pénétra à peine, se retira, s’enfonça à nouveau légèrement. La chatte devenait de plus en plus humide, de plus en plus ouverte. Kate gémit comme si elle appelait Jules à la pénétrer complètement. Il progressait toujours aussi lentement, se retirant presque entièrement avant de s’enfoncer à nouveau. Il la baisa longuement en cuillère. Elle l’accompagnait de mouvements des hanches pour mieux sentir la pénétration de sa bite. En même temps, elle embrassait Jim et se collait à lui en haletant légèrement. Puis elle saisit sa bite, commença à la branler. Mais en fait, elle la serrait plus qu’elle ne la branlait, de la même façon qu’elle contractait son vagin autour de la queue de Jules. Jim devinait son excitation, il pressentait qu’elle allait bientôt jouir.
Il lui demanda de changer de position et de se mettre à quatre pattes. Jules continuait à la pénétrer par derrière. Jim se dressa devant Kate et lui donna sa bite à sucer. Il la saisit par les cheveux et la guida pour qu’elle avale entièrement sa queue. Lui-même allait et venait dans sa bouche de plus en plus rapidement. Jules sans empressement s’enfonçait toujours aussi régulièrement et profondément dans la chatte de Kate. Il eut l’impression que Kate avait un orgasme, mais elle ne rompit pas l’enchaînement. Elle suçait néanmoins Jim de manière irrégulière, surtout sensible à la bite qui la baisait par derrière.
Jim suggéra à Jules de changer de position. Les deux hommes se croisèrent dans la demi-obscurité. Jules était un peu plus petit que le mince et élancé Jim, mais sa queue était plus grande, plus large, et bien dressée, luisante de mouille. Il se coucha à la tête du lit et se laissa sucer par Kate. Jim derrière elle pénétra une fois ou deux sa chatte avant d’annoncer : j’ai envie de t’enculer, je vais te défoncer le cul. Kate ne protesta pas. Il poussa immédiatement son gland contre la rosace du cul de Kate qui s’ouvrit bientôt sous la poussée. Jim s’enfonça rapidement, saisit Kate par les hanches, l’encula profondément et régulièrement. Il se pencha au-dessus d’elle et ramassa ses longs cheveux noirs pour mieux voir son visage alors qu’elle était en train d’avaler la queue de Jules. Son ventre cognait contre les fesses de Kate. Après un court moment, il se redressa, empoigna le fessier, lui appliqua une fessée qui claqua dans l’obscurité. Il gémissait tout en pénétrant régulièrement le cul de Kate. Elle cessa de sucer Jules, se contentant de lui serrer fortement la bite de la main gauche, et commença à se branler le clito de l’autre main. Elle bougeait au rythme de Jim, l’entraînant avec elle quand, prête à défaillir, elle se coucha entièrement sur le lit. Jim continua à l’enculer profondément et ils jouirent sans doute en même temps, couchés l’un sur l’autre.
Suivit une pause générale. Seul Jules continuait à se branler doucement par intervalles pour maintenir son érection. Jim se retira doucement du cul de Kate et alla se laver dans la salle de bains. Kate regarda Jules et lui sourit. Elle mit sa main sur sa bite. Elle posa un baiser sur ses couilles. Elle lui dit : c’était bon. Il l’embrassa sur le front. Elle remonta vers lui, se colla à lui l’embrassa légèrement sur les lèvres. Sa bite durcissait. J’aime ta bite, murmura-t-elle. Elle la caressa lentement pendant un long moment. Jim était revenu et était assis au bord du lit, les regardant en train de s’embrasser doucement. La configuration resta inchangée un long moment. Kate branlait seulement Jules de plus en pus en fort. Finalement elle se redressa, s’agenouilla au-dessus de lui, saisit sa bite et l’enfonça dans sa chatte. Elle le chevaucha longuement en se branlant à plusieurs reprises. Elle jouit une première fois, mais se remit presque aussitôt à le baiser. Elle jouit alors à plusieurs reprises avant de s’écrouler sur Jules. Jim lui caressa doucement le dos. Elle se retourna, couchée sur le dos entre eux deux.
Jim remarqua : Jules, tu n’as pas joui… Il suggéra : tu veux éjaculer sur le visage de Kate ? Tu es d’accord Kate ? Elle acquiesça. Il encouragea Jules à venir au-dessus du visage de Kate et à se répandre sans retenue : cela l’excitait, disait-il. Kate souriait en regardant Jules. Il commença à se branler et elle l’encouragea avec de petits coups de langue sur le gland. Jim ajouta : préviens-nous quand tu vas jouir pour que Kate ouvre la bouche. Jules s’exécuta et après de longues minutes éjacula en plusieurs jets sur le visage de la jeune femme. Jim bandait à nouveau en voyant cela. Il demanda encore à Kate de sucer la bite de Jules et d’avaler le foutre dont elle était couverte. Jim conclut en s’adressant à Kate : tu es magnifique, tu es magnifique…
Le lendemain, Jules les quitta en début d’après-midi et reprit le train car il devait satisfaire à diverses obligations. Tout le monde semblait heureux, tranquille, d’humeur égale.
3.
Une semaine plus tard, Jules reçut un message de Jim qui l’invitait à boire un verre : un match de foot suivrait à la télévision dans le même bar. Jim était de très bonne humeur mais il ne fit aucune allusion à ce qui s’était passé. Le bar était déjà bien rempli et sans doute peu propice aux confidences. Jim prêta à Jules un roman dont il lui avait parlé. La partie allait bientôt commencer. Ils échangèrent les premiers commentaires d’avant match sur la formation des équipes en présence, sur les erreurs des entraîneurs. Le niveau sonore augmentait. Quelques secondes avant le coup d’envoi, Jim se tourna vers Jules et glissa : il faudra qu’on remette ça, hein ! Ça m’a vraiment plu. Tu es d’accord ? Jules acquiesça. Il sourit. Haha, ça te plaît aussi, je crois, répliqua Jim. Kate est d’accord ? demanda Jules. Tu lui demanderas quand tu la verras. De toute façon, c’est une idée à elle, répondit Jim.
Kate effectivement appela Jules le lendemain et l’invita à passer chez elle. Elle se dirigea immédiatement vers la chambre et se coucha avec lui sur le lit, mais elle ne se déshabilla pas. Elle le questionna un peu sur ses sentiments, et il répondit  brièvement. Elle conclut à sa place : tant que tu peux me baiser, c’est bon pour toi, hein ? Tu aimes toujours ça, me baiser, me baiser et me voir jouir, c’est ça qui te fait bander… Il acquiesça. Elle entama ses confidences : Moi, j’aime ça, quand vous me baisez à deux. Je ne sais pas, vous êtes complémentaires, chacun à votre façon. Et puis j’aime sentir vos queues en moi, j’adore vos bites, j’ai envie de les sucer, de les prendre dans ma chatte, dans mon cul… en même temps. J’aime sucer ta bite et me faire mettre en même temps. Ou l’inverse. Ça m’excite terriblement, ça me rend dingue, tu comprends ? Jules acquiesça à nouveau, il aimait cela aussi. Je crois, dit-elle, que j’ai envie d’être prise par tous les trous, que vous me remplissiez entièrement. J’ai l’impression que votre désir est multiplié, plus fort… que je suis votre reine, que je suis seule capable de vous satisfaire, que vous êtes mes esclaves en fait. Elle rit. Elle ajouta : tu vois, rien que d’en parler, je mouille. Viens, baise-moi, j’ai envie de que tu me baises, j’ai envie de sentir ta bite en moi, entre mes cuisses, au fond de ma chatte. Il la baisa un long moment mais, bientôt, elle déclara : Je ne sens plus rien. Jules avait effectivement débandé. Ce n’est pas grave, dit-elle.
Elle évoqua une nouvelle rencontre à trois. Elle ne savait pas quand. Il fallait qu’elle soit en forme. Elle l’appellerait. Ils iraient d’abord au restaurant. Un jour soir.
Une petite semaine s’écoula. Jules fit part de ses disponibilités en soirée. Elle fixa un rendez-vous. Elle lui envoya un message pour fixer l’heure, 18 heures, et l’endroit, son appartement. Ils iraient prendre l’apéro à trois.
4.
Terminant sa journée de travail, Jules reçut un message de Kate. Elle se réjouissait de le voir, qu’ils se voient à trois. Elle avait envie de la queue de Jules. Elle mouillait déjà. Jules se mit à bander et répondit. Il avait envie de la baiser profondément. Elle confirma qu’elle était trempée. Elle avait envie de la queue de Jules et de la queue de Jim, dans sa chatte et dans son cul. Est-ce que l’idée plaisait à Jules? Jim était d’accord. Qu’elle se fasse prendre par devant et par derrière. Jules affirma que l’idée le faisait bien bander. Il comprit que Jim était à côté de Kate et lui soufflait sans doute une partie des messages.
Quand il arriva à l’appartement, Kate était en sous-vêtements noirs avec des bas et un porte-jarretelles tout aussi noirs. Elle demanda à Jules si ce genre de tenue l’excitait toujours autant. Il répondit que oui. Tu penses que je suis une salope? demanda-t-elle en souriant. Oui, bien sûr confirma-t-il. Jim intervint : je propose que Kate nous prouve qu’elle est bien une salope en commençant par nous sucer la bite. Très enjouée, la jeune femmes s’agenouilla entre eux deux, restés debout et entreprit d’avaler la queue de Jim qu’il venait de sortir de son pantalon. Jules fit de même, et Kate eut tout le loisir d’en avaler une, puis l’autre, de les lécher, de les sucer, de les pomper l’une après l’autre. Elle les gardait toutes les deux en mains et n’oubliait pas de branler celle qu’elle ne suçait pas au même moment.
Elle se releva et demanda : Déshabillez-moi. Jules debout derrière elle défit le soutien-gorge puis caressa ses seins qu’il souleva entre ses mains tout en l’embrassant dans le cou. Jim devant elle abaissa légèrement la culotte et glissa un doigt dans la fente humide. Il le fit ensuite glisser plus loin et humecta le bord de l’anus dans lequel il s’enfonça bientôt. Jules fit glisser la culotte de Kate jusqu’à ses pieds et l’embrassa de l’autre côté du cou. J’ai trop envie, maintenant, dit-elle. Couche-toi sur le lit, ajouta-t-elle en se tournant vers Jules. Il s’exécuta et se branla légèrement pour faire durcir sa queue. Kate la saisit en s’agenouillant au-dessus de lui et l’enfonça dans sa chatte. Attends, ajouta-t-elle à l’intention de Jim qui s’approchait déjà par derrière. Elle commença à aller et venir doucement, faisant même ressortir à deux ou trois reprises la bite de Jules qu’elle continuait à tenir du bout des doigts. Jim vit la queue de Jules qui rentrait de plus en plus profondément dans la chatte de Kate. Le lit ou le matelas craqua légèrement quand elle accéléra le mouvement et que la bite la pénétra entièrement. Elle chevaucha un bon moment puis dit en un souffle : encule-moi, encule-moi bien. Jules dut écarter les jambes pour permettre à Jim de s’agenouiller dans le dos de Kate. Jim essaya de diriger sa bite vers le cul de Kate, mais il ne parvint pas à faire pénétrer son gland malgré le lubrifiant dont il s’était enduit (ou bien le lubrifiant favorisa un glissement inadéquat au détriment de la pénétration). De la main droite, Kate saisit sa queue et la dirigea au bon endroit tout en reculant pour lui permettre de s’immiscer dans l’étroitesse de son fondement. Elle commença à faire glisser la bite dans l’anus qui s’ouvrait lentement, puis laissa échapper un cri de surprise quand Jim exerça une forte poussée pour lui défoncer le cul. Les deux bites étaient bien en elle, jusqu’au couilles. Elle dit d’une voix transformée : Baisez-moi, enculez-moi comme une salope, baisez-moi comme une putain… Elle montait et descendait sur les deux bites, Jim l’accompagnait de mouvements de plus en forts, Jules se soulevait à peine, coincé par tout le corps de Kate et les genoux de Jim. Il sentit en outre à travers l’arrière du vagin la présence de la bite de son ami qui s’activait dans le cul de Kate. Puis ce sont les couilles de Jim qui touchèrent les siennes. Il caressa les seins de Kate qui tremblaient au-dessus de son visage. Elle continuait à les encourager en répétant des injonctions obscènes auxquelles Jim répondait dans un registre similaire : On va te défoncer, on va te faire jouir comme une chienne en chaleur, on va jouir dans ton cul et dans ta chatte en même temps… À chacune de ses réponses, Kate gémissait  : Oh putain, ce que vous me faites du bien, vous me faites mouiller, vous me faites jouir… Jules eut l’impression qu’elle jouissait à plusieurs reprises. Puis Jim grogna de plaisir et cessa de s’activer. Tous deux basculèrent sur le côté, épuisés et couverts de sueur.
Il restèrent couchés, immobiles un long moment, en silence. Kate se trouvait entre Jules et Jim. Elle murmura : c’était bon, vous avez été parfaits, j’ai vraiment pris mon pied. C’était bien, répondit Jim, j’adore vraiment t’enculer. Je sais, je le vois bien, répondit-elle. Elle ajouta : j’aimerais d’ailleurs vous voir baiser en ensemble, Jules n’a pas encore joui, lui… Jim répondit vivement : Qu’est-ce que tu racontes ? Je ne suis pas pédé, il n’est pas question de ça  ! Mais pourquoi  ? demanda Kate, si je te le demande, si j’en ai envie. Et se tournant vers Jules  : Et toi, tu serais capable de sucer la bite de Jim ? hein ? Ça t’exciterait ? Oui, murmura Jules, si tu me le demandes, si ça t’excite. Tu vois, reprit Kate, Jules est prêt à te sucer, je parie même que tu pourrais l’enculer si tu lui demandais. Ou il pourrait t’enculer si tu veux. Arrête, tu me dégoûtes, affirma Jim. Je ne suis pas une tapette; tu ne me parles plus jamais de cela, je ne baise qu’avec des femmes, je ne baise qu’avec toi. Kate répliqua : Je ne savais pas que t’étais homophobe. Non, je ne suis pas homophobe, ce n’est pas ça du tout, il y a des choses que je ne fais pas, c’est tout. Ah bon, répliqua-t-elle, moi, je me fais enculer quand tu veux, je me fais défoncer la chatte et le cul sans ménagement, et j’ai juste le droit d’ouvrir mon cul pour que tu puisses y jouir comme tu en as envie, mais toi non !
La discussion s’éternisa. Jim répétait son refus de façon abrupte alors que Kate lui reprochait ses expressions homophobes. Jules était débandé et se taisait. Un long moment de silence s’installa. Finalement Jim s’excusa. Il n’aurait pas dû employer ces mots. C’est toi que je veux, c’est toi seule dont j’ai envie, entièrement, totalement. Je veux que tu sois à moi. C’est juste qu’il y a des choses que je ne fais pas. Tu comprends ? Oui, mais tu n’avais pas besoin de traiter Jules de pédé. Je n’ai pas dit ça. Si, tu l’as dit, hein Jules ! Jules ne répondit rien. Cela fit rire Kate : tu ne dis rien mais tu n’en penses pas moins. Viens, je vais te sucer pour te récompenser. Après tout tu es le seul à ne pas avoir joui.
Elle empoigna sa queue qui durcit rapidement dans sa bouche. Elle le suça longuement, abondamment, en multipliant les gémissements de plaisir. Tu as vu, quelle grosse queue il a ? remarqua Kate en se tournant vers Jim, j’ai envie de la prendre dans le cul. Bientôt elle s’agenouilla au-dessus de Jules mais en lui tournant le dos de façon à montrer sa chatte entre ses cuisses grandes ouvertes à Jim. Puis elle entreprit de faire pénétrer doucement la bite bien dure dans son cul. Elle répétait de façon insistante : oh, j’aime ta grosse queue, Jules, j’aime quand tu me la fous dans le cul. Puis elle invita Jim à la baiser par-devant. Ses deux amants s’activèrent aussi bien qu’ils le purent, essayant de coordonner au mieux leurs mouvement de façon à s’enfoncer complètement en elle. Kate jouit une première fois, puis demanda à Jim de se retirer : elle se branla devant lui alors que Jules continuait à lui défoncer le cul. Jules éjacula enfin. Oh putain ! tu m’as joui dans le cul, s’exclama Kate, je l’ai senti, tu m’as rempli le cul de ton foutre. Et elle se branla rapidement pour jouir encore une fois.
Ils s’écoulèrent tout les trois sur le lit. Ils n’avaient pas encore mangé. L’heure du resto serait bientôt dépassée. Ils reprirent leur souffle. Jim parlait doucement à l’oreille de Kate : il t’a bien fait jouir; ça m’a excité de vous voir ainsi; j’aime te voir ainsi comme une putain déchaînée; ça me donne envie de toi de façon démente; tu as dit que je pouvais te demander n’importe quoi, c’est vrai ? Oui, c’est vrai, dit-elle, tu peux tout me demander, tu sais que je suis follement amoureuse de toi; tout ce que tu me demandes, tout ce que tu me fais m’excite à un point inimaginable. Viens avec moi, j’ai besoin de pisser, répondit Jim en se levant et en se dirigeant vers la salle de bains. Elle l’accompagna et il tira la porte derrière eux. Jules n’avait entendu que des bribes de conversation mais il avait compris ce qui se passait. Il resta couché jusqu’a ce que Jim crie à travers la porte légèrement entrouverte : Jules, viens voir. Dans la salle de bains, il vit Kate à genoux en train de sucer Jim : elle était couverte de mille gouttelettes brillantes de pisse, sur le visage, dans les cheveux, sur les seins, sur tout le corps. Approche-toi, dit Jim à Jules et il lui murmura à l’oreille  : Je lui ai même pissé dans la bouche et elle a avalé. Je suis sûr que toi aussi tu as envie de lui pisser dessus pendant qu’elle me suce. Jules secoua négativement la tête, il se branla et jouit rapidement sur le visage de Kate qui finissait de sucer Jim. Ils prirent une douche à trois, Kate étant entre eux, caressée, savonnée, embrassée par l’un et par l’autre.
Ils se dépêchèrent ensuite d’aller au restaurant encore ouvert. Kate leur parla d’un article d’ethnologie qu’elle avait lu et qui démontait le mythe érigé par Malinowski sur la supposée liberté sexuelle aux îles Trobriand. Les jeunes filles et les femmes mariées y étaient effectivement soumises à un ordre patriarcal même s’il prenait des formes différentes que dans la société occidentale. Les filles supposées mal se conduire par exemple pouvaient être brutalisées, battues et parfois même violées en public par leur supposé amant légitime… Et vous deux, vous êtes des violeurs en puissance ? C’est votre fantasme caché de violer une femme ? de la prendre de force à deux ? Jules rougit : non, je ne peux pas, je ne veux pas être accusé de ça. Jim sourit : je n’ai pas besoin de ça, je préfère baiser avec une vraie salope comme toi. Kate insista  : Non, sois sérieux, ça ne t’a jamais traversé l’esprit ? Jim se défendit. Les violeurs selon lui étaient des pauvres types, des ratés incapables de séduire une femme. Kate ne le pensait pas : il y a trop d’exemples d’hommes supposés normaux qui profitent d’une situation pour abuser des femmes. Non, répliqua Jim, c’est des mal-baisés… Les violeurs sont des mal-baisés ? demanda Kate. Oui, enfin c’est une façon de parler. Drôle de façon de parler, ironisa-t-elle. Et toi, tu aimerais qu’une femme te viole ? Mais vraiment… pas pour rire. Pourquoi pas ? conclut Jim. Qu’est-ce qu’elle pourrait me faire ? T’es con ! conclut Kate.
Jules les quitta vers minuit à cause de diverses obligations.

taille originale : 29,7 x 21
5.
Ce fut Jim qui le recontacta le premier. Ils se retrouvèrent dans une brasserie pour déjeuner. Ils abordèrent différents sujets sans grand intérêt comme les vacances à venir, des problèmes de bricolage et des soucis de voiture. Jules ne prenait que rarement le volant et préférait se laisser conduire. Il n’aimait pas tellement l’avion, et puis il préférait rester chez lui à ne rien faire ou à ne faire que de petites choses sans importance. Il se forçait pourtant à voyager et à satisfaire à ce qu’il appelait ironiquement des obligations sociales ou mondaines. Tout cela ne l’empêcha pas de converser normalement avec son interlocuteur. Jim changea bientôt de sujet : Elle est folle, tu ne trouves pas ? Elle est terriblement bandante mais elle est dingue… Tu as vu ce qu’elle nous a fait faire ? Jules hésita : Non, pas plus que toi, pas plus que moi, enfin, elle n’est pas plus folle que nous… on ne peut pas dire qu’on n’était pas consentant. Jim n’alla pas beaucoup plus loin dans la discussion. Il se contenta d’ajouter : De toute façon, ce qui importe, c’est que ça nous plaise avant tout… Jules, qui jugea la phrase obscure, se contenta d’opiner vaguement. Puis ils parlèrent de foot et de leurs boulots respectifs.
Jules reçut quelques jours plus tard un message de Kate qui lui proposait un week-end en Bourgogne. Elle connaissait un gîte rural avec une très belle charpente en bois qui lui paraissait convenir à ses desseins. Elle prit un arrangement précis sur le moment du rendez-vous, Jules devant arriver par ses propres moyens. Il dut pour l’occasion louer une auto.
Kate et Jim partirent ensemble. La chambre était très vaste avec une poutre énorme qui traversait la pièce en son centre. Le lit était légèrement décentré. L’ensemble était meublé avec beaucoup de goût, notamment avec quelques meubles et objets de belle qualité des années 1960. Une salle de bains avec une douche italienne jouxtait la chambre. La chaleur de l’été n’était pas suffocante et permettait de se déplacer nus.
Kate proposa rapidement à Jim de se déshabiller. Elle avait envie de lui, même si Jules ne devait arriver que plus tard. Elle exhiba une tenue résille qu’elle enfila mais qui laissait voir ses seins et sa chatte par de larges échancrures. Elle entreprit de le sucer à genoux, lui lécha les couilles, reprit sa bite en bouche, le pompa un long moment. Mais elle avait une surprise, des menottes et des cordes pour une séance de bondage. Elle voulait attacher Jim et disposer de lui à sa guise. Il s’étonna. C’était la première fois qu’elle évoquait ce genre de pratiques. Il hésitait. Elle lui promit de le sucer et de le baiser comme il ne l’avait jamais été. Il prétexta l’arrivée de Jules. Il ne voulait pas qu’il le voie dans une telle posture. Elle le rassura : il n’arriverait que plus tard. Il parla de l’attacher, elle, mais elle refusa : c’était son fantasme personnel, elle voulait essayer quelque chose de nouveau, et puis il avait dit qu’il était prêt à se faire violer par une femme… Il consentit finalement. Elle lui attacha rapidement les poignets aux montants du lit avec des menottes, puis elle lia ses pieds avec des cordes aux coins opposés. Elle commença à le branler et à le sucer. Puis elle se releva et annonça une deuxième surprise. Elle envoya aussitôt un message sous le regard de Jim qui commença à s’agiter et à la menacer de faire scandale. Elle saisit un bâillon dans son sac et vint s’asseoir sur la poitrine de Jim qu’elle écrasa de tout son poids. C’était un bâillon en cuir avec en son centre un anneau de métal qu’elle glissa entre ses dents. Puis elle le serra fortement derrière sa tête. Il voulut s’agiter et secouer fortement le lit, mais elle entreprit de le ligoter avec des liens serrant fortement son ventre et sa poitrine contre le matelas en empêchant tout soubresaut. Puis elle remplaça les menottes par des cordes souples et mieux ajustées. On frappa à la porte, et Kate fit entre Jules. Jim grognait sans pouvoir se libérer.
Elle lui annonça qu’il devait sucer la bite de Jules. Le bâillon était spécialement conçu pour que sa queue puisse effectivement s’y glisser jusqu’au fond de la bouche ouverte. Jim secoua négativement la tête. Avec Jules, Kate poussa le lit vers le milieu de la pièce sous la poutre. Elle prit une nouvelle corde qu’elle serra autour du sexe de Jim, faisant des nœuds coulants autour de sa bite et de ses couilles. Elle lança l’autre extrémité par-dessus la poutre, et commença à tirer dessus. Entravé, Jim vit son sexe s’étirer monstrueusement vers le plafond. Kate le menaça. Jules s’agenouilla au-dessus de lui et se branla en frottant sa bite à plusieurs reprises contre son visage, puis quand elle fut bien raide, il l’enfonça dans la bouche de Jim. Kate demanda : il te suce ? Tu sens sa langue ? La sensation n’était pas très grande. Kate proposa à Jim de retirer le bâillon tout en le menaçant d’une terrible traction sur la corde en cas de désobéissance. La manœuvre s’exécuta et Jim commença à sucer la queue de Jules. Celui-ci commença à effectuer de lents mouvements dans la bouche du prisonnier. Kate suça à son tour la queue entravée de Jim qui se raidit bientôt.
Elle entreprit ensuite de défaire les liens serrés autour du pied gauche de Jim. Elle releva sa jambe, attacha la corde à la tête du lit, puis fit de même avec l’autre pied. Les cuisses de Jim étaient bien relevées presque à hauteur de ses épaules. Elle fit glisser une nouvelle corde par en-dessous du lit, avec laquelle elle put maintenir les deux genoux de Jim largement écartés. Elle glissa un oreiller sous ses fesses, avant de prendre dans son sac un gode-ceinture. Elle s’approcha du visage de Jim qui avait toujours la bite de Jules en bouche, et il la vit s’attacher le gode autour des hanches. C’était un gode en silicone noir au moulage lisse avec une large ceinture de cuir et des sangles de cuisses maintenant l’engin bien en place devant la chatte de Kate. Elle remonta sur le lit et se plaça entre les cuisses de Jim écartées et, après avoir lubrifié le gode, commença à l’enfoncer dans son cul. Celui-ci était extrêmement serré et elle dut demander l’aide de Jules pour qu’il vienne écarter les fesses crispées de son amant. Jim gémit alors que le gode était à peine au bord de sa rondelle. Kate s’enfonça lentement, très lentement, avec des mouvement presque imperceptibles de recul puis d’avancée. Elle lubrifia à plusieurs reprises le gode mais s’obstina jusqu’à franchir le dernier obstacle. Elle commença à aller et venir lentement puis plus rapidement en enfonçant à chaque fois complètement l’engin dans le cul désormais bien ouvert. Jules pendant ce temps, tout en maintenant les fesses de Jm écartées, lui suçait la bite dont il desserra les liens. Elle était gonflée mais pas réellement raide. Kate lui demanda de remettre sa bite dans la bouche de Jim : elle voulait qu’il suce et se fasse enculer en même temps comme elle-même l’avait fait et l’avait été lors de leur précédentes rencontres. Jim ne fit plus mine de désobéir et avala la queue qui se présentait à ses lèvres. Kate le branlait mais il bandait à peine.
Elle invita Jules à changer de position et, après s’être défait du gode-ceinture, elle s’agenouilla au-dessus du visage de Jim à qui elle ordonna de la lécher. Mais elle lui tournait le dos afin voir Jules l'enculer. Jules procédait de sa manière habituelle sans précipitation mais sans hésitation. Sa bite était plus grosse que le gode de Kate, aussi raide mais moins dure. Quand elle pénétra le cul de Jim, la bite de ce dernier se gonfla soudainement. Kate s’en réjouit : Jim aimait se faire enculer, il aimait surtout sentir une vraie bite dans son cul. Elle commença à le branler, le suça par instants, puis passa la main à Jules qui, tout en l’enculant, lui caressait fermement la bite enduite de lubrifiant. Jules s’enfonçait profondément jusqu’aux couilles avec de grands mouvements au point de ressortir parfois entièrement puis d’y replonger en seul geste. Il dit à Kate que l’anus bien serré de Jim lui procurait un intense plaisir. Et, dans sa main, il sentait la queue  de Jim qui n’arrêtait pas de durcir et de se raidir. Bientôt, Jim éjacula et se répandit de manière exceptionnelle sur tout son ventre et sa poitrine. Kate exultait. Il avait joui, et de quelle façon ! en se faisant bien enculer. Jules se retira. Avec Kate, ils libérèrent les jambes de Jim de ses liens. Jules vint ensuite s’agenouiller au-dessus du visage de Jim et s’enfonça dans sa bouche. Jim dut le sucer très longuement de façon épuisante. Le saisissant par l’arrière de la tête, Jules l’obligeait à avaler toute la longueur de sa bite. Finalement, il se recula, se branla rapidement et éjacula sur son visage et dans sa bouche ouverte. Le ventre et le visage de Jim étaient couverts de foutre.
Kate défit les derniers liens autour des poignets de Jim : Je suis désolée, mais il fallait que je le fasse, je pouvais pas te laisser parler méchamment de pédés et de ce genre de choses : j’ai beaucoup d’amis gays, et même l’un deux, un ami d’enfance, est mort, il s’est suicidé parce qu’il ne supportait pas… tout ce qu’on lui faisait subir. Et puis, il fallait que tu comprennes que Jules est bi et, comme tu l’as constaté, tu lui plaisais, même si je sais d’expérience, qu’il refuse rarement une partie de baise.
Jim ne répondit pas et se dirigea vers la salle de bains où il commença à faire couler la douche. Kate le suivit et se colla à lui sous le jet d’eau tiède. Elle l’embrassa dans le cou, amoureusement. Il lui rendit son baiser sur la bouche. Puis il demanda à Jules de les rejoindre. Celui-ci s’approcha par derrière et commença à l’embrasser dans la nuque, sur les épaules, et le caressa sur les hanches et les cuisses. Il saisit bientôt sa bite qui durcit rapidement. Jim se retourna et dit brièvement  : Vous allez me sucer tous les deux. Tous les trois sortirent de la douche : Jules et Kate s’agenouillèrent devant Jim et accomplirent ce qu’il avait ordonné. L’un et l’autre se partagèrent sa bite jusqu’à ce qu’il jouisse à nouveau.
La fin du week-end se passa en visites touristiques. Jim ne manifesta plus de désir, et il se contenta de regarder Jules et Kate baiser ensemble. Ils se séparèrent le dimanche soir, Jules repartant avec une auto qu’il avait louée pour l’occasion.
6.
Quelques jours plus tard, Jim téléphona à Jules et l’invita à le rejoindre à midi en un lieu inhabituel, dans un bar près de la gare. Jules arriva à l’heure mais Jim était déjà là et terminait un café. Il saisit Jules par le bras et lui dit : Viens, ne restons pas là. Jules eut un geste d’hésitation mais le suivit. Ils se dirigèrent vers l’hôtel voisin où Jim avait visiblement loué une chambre. Ils prirent l’ascenseur sans échanger une parole. L’hôtel avait été récemment rénové. La chambre était assez vaste et d’un luxe suffisant. Dès que la porte fut fermée, Jim s’approcha de Jules : Promets-moi que ceci restera entre nous, que personne n’en saura rien, pas même Kate. Jules acquiesça vaguement. Jim continua : Je veux que tu me baises comme l’autre jour, je veux que tu me prennes entièrement, je veux être ta chose, ton esclave prête à tout. Jules remarqua l’usage du féminin. Il répondit : Tu veux quoi exactement ? Jim précisa : Je veux t’obéir, je veux que tu m’ordonnes de te sucer, de te lécher les couilles, d’ouvrir mon cul, d’avaler ton foutre : tout ce que tu voudras.
Jules se sentit durcir. Il ordonna à Jim de se déshabiller et de se mettre à genoux pour le sucer. Sa bite seule était sortie de son pantalon. Il gifla Jim avec sa bite humide puis la frotta sur son visage. Il le fit mettre à quatre pattes sur le sol. Il se plaça derrière lui, lui fit écarter les fesses des deux mains et cracha sur son anus. Puis il entreprit de s’enfoncer en lui avec sa lenteur et son calme habituels. Le gland pénétra.
Jim gueula soudain : Putain, qu’elle est grosse ! Ta queue est trop grosse. Elle me fait mal. Elle me déchire le cul. Tu me défonces le cul. Je la sens trop bien. C’est trop bon. Pendant cette logorrhée, Jules continuait à s’enfoncer sans précipitation. Sa queue franchit le dernier obstacle et pénétra entièrement. Jules commença de profonds mouvements de va-et-vient. Il entendit la voix assourdie de Jim presque suppliante : Traite-moi de pédé, dis que je suis un sale pédé qui aime se faire enculer, dis que je suis une grosse tapette qui offre son cul à toutes les belles bites comme la tienne. Jules sourit et proféra les injures demandées mais il estima que certaines étaient déplacées. Il se contenterait d’enculer cette petite tapette avec sa grosse queue. En même temps, il se pencha pour saisir la bite de Jim en dessous de lui : il était tellement excité qu’elle était dressée raide contre son ventre. Jules le branla lentement. Encore une fois, la pénétration anale fit abondamment jouir Jim. Jules se retira et, après s’être lavé la bite, ordonna à Jim de le sucer et d’avaler son foutre.
Deux jours plus tard, Jim donnait un nouveau rendez-vous à Jules à l’hôtel. Il se fit enculer de la même manière et jouit de façon aussi extraordinaire. Mais il demanda ensuite à Jules de lui imposer une cage de chasteté qu’il avait apportée. Jules essaya d’introduire le pénis ramolli de Jim dans la cage mais celle-ci semblait décidément trop étroite ou trop courte. Ce fut Jim qui dût enserrer sa bite dans l’engin. Il voulait que son cul seul soit le lieu de son plaisir entièrement offert à Jules. Il se mit à quatre pattes offrant selon ses propres dires son cul comme une chienne en chaleur. Cette fois, Jules jouit après avoir très longuement enculé Jim. Celui-ci aurait voulu garder la cage indéfiniment mais il ne pourrait expliquer cet usage nouveau à Kate.
La semaine suivante, deux rencontres eurent encore lieu
Jules contacta Kate. Elle lui proposa de passer une après-midi à l’appartement. Ils baisèrent. Puis Jules raconta ses rencontres avec Jim. Kate s’énerva. Elle ne comprenait pas pourquoi il ne lui avait rien dit, ni surtout pourquoi Jim ne lui avait rien dit. Elle lui dit qu’elle ne supportait pas qu’ils baisent ensemble en son absence, dans son dos. Elle devait être là, entre eux.
La situation empira au fil des semaines. Kate en voulait à Jim de lui avoir menti. Jim multipliait les rencontres avec Jules et s’éloignait de plus en plus de Kate. Celle-ci comprit que c’était fini. Elle-même n’éprouvait plus de passion pour Jim, seulement de la colère. Son attirance pour Jules laissait de plus en plus place à de l’indifférence. Elle n’avait plus envie de baiser avec lui. Elle sortit seule, rencontra quelqu’un. Elle dit à Jim qu’il devait chercher un autre appartement.
Jules parla enfin à sa femme. Il expliqua qu’il était homosexuel, qu’il ne pouvait plus le cacher, qu’il allait partir. Il ne parla pas de bisexualité. C’était plus acceptable pour sa femme. Là aussi, les choses se sont défaites. Jules et Jim se marièrent et n’eurent pas d’enfant.

taille originale : 21. x 29,7

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