mardi 4 septembre 2018

Justine et Juliette

Justine reconnut que Juliette était sa maîtresse légitime et qu’elle pouvait exiger d’elle une soumission absolue. Bandol ne serait que leur acolyte au service de la maîtresse des lieux et des âmes. Et Justine serait une esclave entièrement consentante aux exigences de Juliette.
Il fut convenu qu’elle porterait ce jour-là une combinaison de résille noire dont les échancrements laisseraient son sexe entièrement à disposition et ses seins offerts aux baisers et aux caresses libidineuses. Elle devrait être offerte comme un présent, couchée au milieu du lit, les cuisses bien écartées pour qu’à leur arrivée, Juliette et Bandol puissent immédiatement contempler sa chatte exposée et luisante après qu’elle se soit longuement branlottée en attendant leur arrivée. Le sms annonçant leur venue imminente fut d’ailleurs quelque peu mensonger, les deux acolytes prenant un menu plaisir à l’imaginer en train de les attendre, impatiente et le feu au cul. Juliette n’hésita pas dans l’escalier désert à vérifier que la bite de Bandol était gonflée, et elle l’exhiba même, le branlant et le suçotant un instant pour qu’il soit d’une raideur convenant à son emploi.
Justine entendit la clé dans la porte d’entrée de la chambre et eut un geste d’hésitation, rapprochant brièvement les cuisses avant de les écarter grandement au maximum de leur ouverture. Bandol eut l’impression qu’elle rougissait un peu de sa propre impudence. Elle était exposée comme ils le souhaitaient, les doigts allant et venant le long de sa chatte.
Ils s’agenouillèrent immédiatement devant elle, sans même la saluer ni l’embrasser, et Juliette exigea qu’elle ouvre entre ses deux mains les lèvres de son sexe déjà gonflé pour qu’ils puissent contempler son intérieur humide. Ce spectacle les enchanta tous les deux, et ils se couchèrent bientôt à ses côtés, leurs mains se posant d’abord à l’intérieur des ses cuisses, puis remontant le long de ses hanches avant de se poser sur ses seins qu’elles soulevèrent pour que l’un et l’autre puissent en admirer la rondeur exquise. Mais seule Juliette avait le droit de poser ses lèvres sur celles de Justine, qu’elle embrassa longuement tout en substituant ses propres doigts à ceux de son esclave dans sa chatte trempée. Bandol affairé autour des seins de Justine se pressait déjà à se déshabiller et à défaire des vêtements qui entravaient, lui semblait-il, la libre circulation de sa petite marchandise de contrebande.
Juliette d’inspiration coquine exigea de Justine qu’elle fermât les yeux et lui appliqua même un bandeau sur le visage. Elle changea de position s’agenouillant devant ce sexe ouvert dont elle avait l’entière disposition et qui l’excitait tellement qu’elle sentait sa propre culotte déjà trempée, et elle ramena Bandol derrière elle. Elle lui murmura quelques indications, et bientôt Justine ne put deviner qui la caressait, quelles mains allaient et venaient entre ses cuisses, quels doigts à présent s’enfonçaient dans sa chatte, lentement puis de plus en plus profondément, ouvrant merveilleusement son sexe pour le pénétrer jusqu’à son tréfonds. Elle reconnaissait par moments les gestes toujours trop rapides de Bandol, mais Juliette freinait manifestement ses empressements, et Justine sentait seulement ces deux êtres qui prenaient lentement mais totalement possession d’elle. Elle écarta aussi largement que possible les cuisses pour se sentir offerte et soumise à l’exigence impérieuse de leur désir commun.
Les positions changèrent et elle entendit la voix de sa maîtresse ordonnant un bref « Suce ! » alors que la bite de Bandol se posait au même moment sur ses lèvres. Elle entreprit d’avaler le présent — car c’était un présent que lui offrait là Juliette —, pompant longuement et profondément le sexe qu’elle faisait aller et venir dans sa bouche. Le visage de sa maîtresse était près du sien, admirant certainement le geste obscène de la fellation, qui devait l’exciter à un tel point qu’à son tour, elle saisit la bite de Bandol, la sortit de la bouche de Justine et l’avala entièrement. Mais elle voulait que sa compagne en profite également, et la bite passa plusieurs fois d’une bouche à l’autre, leurs lèvres ne cessant de se toucher et de se rejoindre alors que le gland de Bandol se frottait contre leurs joues réunies.
« Il faut que je foute, il faut que je foute » grogna Bandol qui, cette fois heureusement, ne démentait pas son surnom, mais Juliette lui répliqua : « Non, tu ne la foutras pas avant moi ! » Et elle se glissa entre les cuisses de Justine dont elle entreprit de baiser avec sa bouche le sexe ouvert, plaçant par ailleurs Bandol derrière elle pour qu’il la foute, elle, profondément. « Foutre, foutre, gémissait-il effectivement, je vais foutre ton joli petit cul, Juliette » enfonçant sa bite dans sa chatte dont l’excitation était bien visible, ouverte et trempée, appelant sans conteste les coups de reins les plus vigoureux qui soient de la part de l’acolyte.
La position se tint un long moment, Justine, les yeux toujours bandés, devinant l’ardeur de l’une et de l’autre aux mouvements désordonnés dont sa chatte et son corps entier étaient l’objet. Juliette était cependant loin d’être assagie et ses exigences se portèrent bientôt sur le seul lieu que Justine ne lui avait pas encore abandonné, son cul, son cul serré et étroit, le trou bien protégé de son cul à l’abri dans l’arrondi de ses fesses. Ce cul lui appartenait, ce cul lui était dû, ce cul devait lui être à l’instant offert, exposé, livré comme une place forte devant l’ennemi. Elle exigea aussitôt que Justine se retourne et se mette par terre à quatre pattes devant elle, la tête au sol, les fesses levées et largement écartées entre ses mains pour qu’elle puisse contempler la mignonesse du trou de son cul. Les langues s’y pressèrent aussitôt, telles des bouches à l’abreuvoir asséchées par la poussière d’une longue promenade. Les langues tournaient, léchaient, s’enfonçaient dans l’anus serré, se laissant la place l’une à l’autre successivement, y revenant obstinément comme au centre de gravité de ce monde d’obscénité.
« Il faut l’enculer immédiatement, affirma Bandol, elle le mérite, c’est une nécessité du temps, un impératif qui implique de façon catégorique que je l’encule avant que le jour ne tombe et que je ne puisse plus voir le merveilleux effet de mon gland pénétrant ce cul aussi étroit que désirable », mais Juliette craignait manifestement que son acolyte trop rapidement satisfait ne perdit ses moyens et ne soit plus bon à foutre, mais seulement à être foutu à son tour, alors même qu’elle entendait jouer son rôle de maîtresse des lieux jusqu’à ce que la plus extrême jouissance l’amène à la satisfaction complète et à l’épuisement total de ses propres désirs. Elle l’envoya donc chercher un instrument apte à remplir l’office qu’elle prévoyait et l’orifice que Justine lui exposait trop volontiers. Bandol revint avec un plug anal d’un rouge flamboyant et de belles dimensions que l’esclave consentante dut s’enfoncer lentement sous le regard concupiscent des deux voyeurs qui l’encourageaient par leurs propos obscènes. Et leur excitation ne cessait de croître au fur et à mesure que l’engin conique élargissait lentement et doucement le trou étroit où plongeait aussi profondément que possible leur désir imaginaire. Ils auraient voulu se confondre avec ce plug et s’enfoncer entièrement dans l’anus de Justine, mais, à défaut, ils lui caressaient les fesses, embrassaient ses cuisses, léchaient par à-coups la chatte et la raie des fesses.
Il était bientôt temps de passer à des cérémonies plus graves et plus complètes. Juliette défit le bandeau des yeux de Justine et lui ordonna de marcher à quatre pattes au milieu de la chambre en balançant de manière voluptueuse ses fesses entre lesquels ils pouvaient contempler la base du plug qu’elle tenait à présent serré dans son fondement. Le spectacle de ce fessier — car elle avait exigé que Justine avance les avant-bras pliés pour que son cul soit bien levé — ce spectacle donc ne manqua pas d’exciter Juliette et son acolyte qui, à plusieurs reprises, ordonnèrent à Justine de s’arrêter un instant pour qu’ils puissent la fesser vigoureusement. En même temps, ils enfonçaient leurs doigts à tour de rôle ou ensemble dans sa chatte sans qu’elle puisse deviner qui était l’auteur de ces attouchements impudiques.
Aux pieds du lit furent attachées quatre cordes noires et souples : il fallait que Justine soit entièrement à leur disposition, en leur pouvoir, et sa nudité devait également être totale, Juliette lui ayant ordonné de se défaire de sa combinaison en résille. Bandol eut la mission de fixer les liens de telle manière qu’elle se trouvât couchée sur le dos, bras et jambes largement écartés en croix, tout son corps et son sexe en particulier offerts et exposés au désir de sa maîtresse qui s’agenouilla bientôt au-dessus de son visage en lui ordonnant de lui lécher le clitoris. Elle demanda à Bandol de la foutre en même temps, sa chatte devant être ainsi doublement satisfaite. Bandol se colla au dos de Juliette, l’embrassa dans le cou, lui caressa les seins, pendant que Justine lui léchait le sexe, s’enfonçait en elle, remontait vers son sommet sensible, l’embrassait voluptueusement, cherchait à susciter un émoi de plus en plus trouble et violent, alors même que la cyprine de sa maîtresse mouillait de plus en plus son visage et que les couilles de leur acolyte lui battait le menton.
Mais, au bout d’un moment, Juliette décida de changer de position. Elle repoussa Bandol et lui intima brutalement : « Maintenant, baise-la, baise-la, baise-la sans relâche, baise-la comme une chienne, comme une salope, comme une catin, baise-la comme elle le mérite, jusqu’à ce qu’elle jouisse, jusqu'à ce qu’elle défaille, jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse de plaisir ! », et, après s’être retournée au-dessus du visage de Justine pour voir la bite de Bandol pénétrer dans la chatte de sa compagne, elle ordonna à celle-ci : « Et toi, lèche-moi, lèche-moi profondément, inlassablement, va au fond de ma chatte, suce-moi le clito, embrasse le trou de mon cul, je veux sentir ta langue en moi, ta bouche embrasser ma chatte, tout ton visage s’enfoncer en moi », et elle frotta vigoureusement son entre-jambes sur le visage mouillé en-dessous d’elle.
Bandol s’enfonça lentement dans la chatte de Justine qui était pourtant déjà largement trempée, mais il savait que Juliette ne se préoccupait pas qu’il jouisse plus ou moins rapidement : il n’était que l’instrument qui devait servir au plaisir exclusif de Justine que sa maîtresse voulait voir défaillir, trembler, gémir, être secouée de spasmes irrépressibles. À plusieurs reprises, Juliette lui demanda de se retirer puis de s’enfoncer à nouveau pour qu’elle puisse admirer le spectacle merveilleux de la chatte de son esclave s’ouvrant pour accueillir l’instrument voluptueux de son plaisir.
Justine pendant ce temps léchait la chatte trempée de sa maîtresse dont la mouille se répandait sur tout son visage. Mais celle-ci exigea bientôt que la langue de son esclave se consacrât au trou étroit de son cul et qu’elle s’y enfonçât de toute sa longueur. Elle voulait qu’elle la pénétrât profondément jusqu’au fondement le plus intime de son être. Écartant ses fesses des deux mains, elle colla son cul à la bouche bien ouverte de Justine, tout en se branlant par-devant. Bandol défit les liens qui entravaient les chevilles de cette belle esclave dont tout le corps lui était offert et dont les seins lourds en particulier étaient exposés à sa concupiscence, et il releva alors ses jambes pour les appuyer contre ses épaules et permettre à son engin durci par la lubricité de la pénétrer plus profondément jusqu’aux couilles. Oui, il voulait sentir ses couilles venir frapper les fesses de Justine, il voulait la baiser totalement, sans retenue, il voulait s’enfoncer complètement en elle, il voulait la sentir défaillir… Juliette l’encourageait : baise-la, baise-la, baise-la encore, baise-la tant que tu la fasses tomber en pâmoison, que je l’entende gémir comme une chienne en rut, baise cette catin comme elle le mérite, qu’elle avoue enfin qu’elle n’est qu’une putain. Et saisie d’un mouvement d’intense lascivité, elle embrassa Bandol à pleine bouche, fermant ainsi le triangle amoureux de leurs trois corps réunis.
Était-elle assez esclave ? Le corps de Justine pouvait-il les satisfaire d’une autre manière, d’une façon inédite, avec une intensité nouvelle, inégalée ? Serait-elle jamais assez putain pour leurs désirs inassouvis ? « Je suis hanté. Le cul ! Le cul ! Le cul ! gémit Bandol comme soudainement pris d’une irrépressible mélancolie, Vers toi, j'accours ! Donne-moi, ô trou du cul, l'oubli de l'idéal cruel et du péché. — Les humeurs malignes qui gonflent ta verge, répondit Juliette, sont en train de te remonter à la tête et de t’obscurcir l’esprit : il est temps que tu évacues ton foutre, que tu le répandes, que tu en remplisses le cul de Justine. Va, fous, encule-la et plonge-moi dans le plus abominable délire ! »
La position fut instantanément changée. Déliée de ses entraves, Justine dut, dans la plus humiliante des positions, se mettre à quatre pattes et exposer la blancheur de ses fesses à la vue de ses maîtres qui, par de violentes claques, leur imprimèrent la marque rouge de leurs doigts avant que leur regard ne plonge dans la sombre vallée au médian de ce superbe postérieur. Le plug était encore en place dans le trou charmant et gracieux qui dut une nouvelles fois s’ouvrir largement quand les deux pervers entreprirent d’en extraire l’inconvenant objet. Leurs doigts parcoururent ensuite la fente qui était bien lubrifiée mais remontèrent à nouveau vers le centre étroit et serré qui les hantait. Juliette d’abord enfonça son index dans le trou du cul puis invita Bandol à y foutre également son majeur noueux et poilu. Le trou s’ouvrit, s’écarta, s’élargit, livra la rose de sa chair. Juliette vérifia de son autre main que l’engin de l’acolyte était bien à disposition. Elle voulait le guider elle-même dans le cul de Justine, elle voulait avoir le sentiment charnel que c’était elle, bien elle, qui enculait la salope qui la plongeait dans cette excitation abominable. Elle se plaça derrière Bandol, saisit fermement sa queue, la présenta à l’orée du trou du cul et s’appuya fermement contre le dos de son complice. La bite s’enfonça merveilleusement dans le cul de Justine. Juliette se recula, fit émerger la bite de ce trou obscène, la replongea après un bref moment d’attente. Puis la ressortit encore. Elle aurait voulu que Justine l’implorât, qu’elle invoque la grâce de se faire enculer, qu’elle la suppliât, elle Juliette, de l’enculer encore et encore. Et elle vit effectivement que les doigts de Justine se dirigeaient vers son tendre mont de Vénus. Juliette exulta : son esclave faisait bien étalage de sa lubricité, de sa concupiscence, de sa nature foncièrement salope. Elle enfonça la bite jusqu’aux couilles, se démena un long moment en violents va-et-vient, se réjouit de voir l’anus s’ouvrir, se refermer, s’ouvrir à nouveau sous les mouvements profonds qu’elle imprimait au corps de Bandol. Elle n’en pouvait plus. Elle vint se placer devant Justine, offrant sa chatte complètement ouverte à la bouche lascive de son esclave. Justine n’avait plus besoin d’être ordonnée : sa lubricité naturelle, si longtemps contenue, jaillissait sans retenue, s’abreuvant immodérément à la source intarissable du sexe trempé de sa maîtresse. Elle lécha sans relâche, elle plongea sa langue à d’innombrables reprises dans la fente profonde, elle remonta inlassablement vers le clitoris gonflé, elle but la mouille qui s’écoulait abondamment entre les lèvres ouvertes.
Seul Dieu, s’il eût existé, aurait pu savoir qui de ces trois êtres pervers animés de la plus extrême lascivité jouit le premier, jouit avec le plus grand des excès, jouit dans l’extase la plus extrême. Bandol jura de la plus démoniaque et la plus basse des façons, traitant l’autel même de sa jouissance de salope impénitente, de chienne en chaleur, de putain irrespectueuse. C’est en un long râle obscène qu’il se vida entièrement dans l’anus ouvert, défoncé, écartelé de Justine.

Taille originale : 21 x 29,7 cm

Après un court repos, Juliette constata l’état flapi du vit de Bandol et décida de le ranimer de la plus vive des façons. « Ton pavillon est baissé, lui dit-elle. Il te faut quelque breuvage revigorant et des mesures aptes à raviver les flammes de tes sens assoupis. Bois un verre de vin et écoute-moi. Je veux te voir bander et pour cela je suis prête à satisfaire tous tes désirs les plus licencieux et les plus insolites. Pendant toute la nuit si tu le veux, tu seras le maître de ces deux jeunes femmes réduites à l’état d’esclaves dociles et entièrement soumises à tes ordres impérieux. C’est l’état naturel de Justine mais, quant à moi, mon désir de voir ton vit à nouveau dressé est si vif que je suis prête à étouffer toute ma superbe et à me livrer entièrement à toi. Je serai la catin dont tu disposeras à ta guise, dont tous les orifices te seront ouverts, qui s’agenouillera devant toi pour te baiser et te caresser de la plus perverse des façons. Je veux consentir aux gestes les plus obscènes et les plus humiliants que tu me commanderas, que tu nous commanderas. Ordonne-nous et nous t’obéirons. »
Ces mots échauffèrent formidablement l’esprit de Bandol qui conçut aussitôt les plans les plus extravagants pour foutre, pour foutre ces deux damoiselles au corps exquis, pour foutre le cul, la bouche, la chatte de ces deux superbes catins, pour les foutre encore et encore, l’une après l’autre ou bien ensemble, pour foutre une chatte, un cul, une bouche sans plus savoir à qui il appartint.
Une formidable excitation saisit tout son être dont le vit se dressait à présent vers le ciel comme une insulte dirigée contre la puissance divine. « À genoux, à genoux devant moi, toutes les deux. À mes pieds, maintenant. Justine, ouvre la bouche et avale mon sceptre. Remplis ton office et pompe-moi vigoureusement la bite, grogna-t-il dans un moderne langage. Quant à toi, Juliette, plus putain encore que ton acolyte, lèche-moi en même temps les couilles, avale-les comme si tu voulais les soustraire à la bouche gourmande de Justine. »
Le spectacle de ces deux esclaves s’activant voluptueusement autour de ses parties intimes remplit d’aise Bandol. Le paradis lui-même ne lui aurait pas semblé plus exquis que ces deux bouches lui pompant alternativement le dard et les couilles, s’échangeant moult baisers avant de s’activer à nouveau sur sa bite et ses testicules. Mais une fureur digne des puissances infernales remuait son esprit. Il ordonna à Juliette, l’infâme Juliette qui consentait à ses folies les plus perverses, de se placer derrière lui, de lui écarter les fesses et de porter ses lèvres à son cul. Elle s’exécuta immédiatement et, après lui avoir léché la rondelle, elle devança ses désirs en enfonçant sa langue humide dans le trou de son cul. En sentant cette caresse aussi profonde que délicieuse, Bandol crut qu’il ne pourrait retenir la jouissance qui lui montait du fondement, et qu’il allait répandre tout son foutre dans la gorge de Justine toujours occupée à le sucer.
Mais il était bien trop tôt pour cela. Il se retourna prestement et c’est Justine qui dut à présent rendre un semblable hommage au trou de son cul pendant que Juliette avalait avec délices le vit dressé devant son visage. Loin de répugner à l’acte qu’on exigeait d’elle, Justine à son tour embrassa le cul de Bandol, le pourlécha longuement, y enfonça une langue souple et humide aussi profondément et aussi passionnément qu’il lui fut possible.
Jusqu’où iraient-elles dans la soumission à ses désirs toujours insatisfaits ? Il leur ordonna de se mettre à quatre pattes côte à côte, le cul bien levé et les fesses bien écartées. Ce spectacle le plongea immédiatement dans le plus doux des délires. Il embrassa le cul de Justine puis celui de Juliette. Pendant de longues minutes, il passa ainsi d’un trou du cul à l’autre pendant que les deux jeunes femmes s’embrassaient voluptueusement devant lui. En même temps, les doigts de chacune des ses mains s’enfonçaient dans la chatte de ces deux salopes qui étaient bien entendu complètement trempées et qui remuaient leur fessier pour mieux sentir ses gros doigts en elles. Le tableau était d’une parfaite symétrie, propre à susciter la plus extrême lubricité dans l’esprit échauffé de Bandol.
Il se releva bientôt et ordonna à Justine de se retourner pour venir le branler et le sucer. Quand l’infâme catin — ainsi qu’il lui plaisait de la nommer — eut rendu son vit suffisamment raide pour l’usage qu’il voulait en faire, elle dut pointer l’engin vers le trou étroit de sa maîtresse qu’il appelait à présent l’immonde putain. L’âme vicieuse de Bandol était en proie aux tourments les plus salaces, et il ordonna à Justine de l’encourager à remplir son office en le couvrant lui aussi des injures les plus croquignolesques. Quand finalement elle le traita de pervers narcissique, il laissa échapper un grognement de plaisir et s’enfonça décidément dans l’anus de Juliette qui gémit de surprise, de douleur et de plaisir mêlés. « Tu es mon esclave, Juliette, je t’encule comme je veux, quand je veux, aussi longtemps que je le veux. Ton cul, le trou étroit de ton cul, m’appartient, salope, tu l’ouvres pour moi, tu me laisses m’y enfoncer jusqu’aux couilles, tu prends ma bite entièrement dans ton cul, tu vas et tu viens sur mon vit jusqu’à ce que ton cul soit défoncé, démonté, explosé. Fais-moi jouir avec l’art de l’experte putain que tu es. » Juliette allait et venait effectivement sur la bite de Bandol qui exigea également que Justine lui embrassât à nouveau l’anus tout en glissant une main entre ses cuisses pour lui caresser les couilles.
Le cul de Juliette était à présent bien ouvert, et Bandol la saisit par les hanches pour mieux la pénétrer à son aise. À plusieurs reprises, il retira son vit pour admirer l’ouverture de la rondelle de son esclave avant de replonger brutalement jusqu’aux couilles dans le trou offert à son désir obsessif. À plusieurs reprises d’ailleurs, il substitua à son membre durci ses doigts qu’il enfonça l’un après l’autre dans l’orifice obscène de Juliette, tout en exigeant que Justine procédât de la même manière dans son derrière : un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre doigts défoncèrent à leur extrême limite les deux anus dilatés.
Puis ce fut au tour de Justine d’offrir pareillement son cul à Bandol qui s’enfonça vivement dans son trou étroit tout en affirmant qu’il n’était au monde aucun cul de salope aussi potelé, aussi rond, aussi parfait que le sien. Il fallait, oui, il fallait qu’il profane cet autel de chair parfaite, que cette chienne subisse la plus humiliante des intromissions, que ce trou de cul soit livré à la plus honteuse de ses perversions. Il ordonna par ailleurs que Juliette se couche tête-bêche en dessous de Justine, de telle manière qu’elle puisse à la fois lécher le clitoris et les couilles de l’une et de l’autre, exposés à son regard au-dessus d’elle. Il encula Justine longuement, il ne cessa d’aller et venir dans son cul, il grogna de plus en plus fort en rêvant de s’abîmer entièrement dans son cul, il la maintint par les hanches de façon à la pénétrer de plus en plus rudement jusqu’au fond de son cul, il crut même jouir en elle, jouir abondamment, puissamment, infiniment comme si tout son être pouvait se vider dans le trou infernal de cette putain qui ne cessait de l’appeler à se répandre alors même qu’elle se caressait sans retenue.
Il observa que Juliette agissait de pareille manière, et que ces deux salopes en chaleur semblaient jouir à de nombreuses reprises alors que lui-même redoutait que son vit au plus haut de l’énervement ne parvienne pas néanmoins à se satisfaire comme si une sombre malédiction le condamnait à multiplier vainement les gestes pervers et les propos injurieux à la recherche d’un plaisir suprême qui s’éloignait indéfiniment. N’était-il donc qu’un maître impuissant ? La domination n’était-elle donc qu’un leurre, et la supposée servitude volontaire de Juliette une ruse de la raisonneuse destinée à l’utiliser comme l’instrument inconscient du seul plaisir de la véritable maîtresse de cette mise en scène lubrique ? Il grogna de mécontentement. Il fallait qu’il ressente à nouveau ce trouble étrange qui l’avait saisi quand elle avait déclaré qu’elles seraient toutes deux ses esclaves inconditionnellement. Il voulait ressentir à nouveau le charme vénéneux de ce pouvoir sans limite.
« À genoux, grogna-t-il. À genoux, toutes les deux devant moi. Je vous veux catins, putains, salopes dévergondées. Montrez-moi de quoi vous êtes capables, à quelles extrémités je peux vous mener comme des chiennes en laisse ! » Elles étaient à nouveau agenouillées devant lui, prêtes à lui sucer la bite qu’il venait de sortir de leur cul (même si Juliette qui n’avait que l’apparence de la servilité exigea d’abord qu’il lavât l’engin de dérisoire maîtrise). Il s’enfonça dans la bouche de Justine jusqu’aux couilles et elle l’avala en gémissant. Juliette léchait les couilles qu’elle devinait remplies de foutre. Puis ce fut à son tour de sucer le vit de Bandol pendant que Justine s’activait sur sa bourse gonflée et arrondie. Mais ce fut bref, et Bandol saisissant son engin d’une main ferme se branla rapidement au-dessus d’elles, répandant son foutre sur leurs deux visages conjoints. Il aurait voulu les couvrir de dizaines de jets répétés, hoquetant, d’un foutre épais et liquide, coulant en longues traînées sur ces deux femelles soumises. Mais l’azur d’une telle félicité semblait à jamais inatteignable, et, en quelques coups de langue, elles reléchèrent le foutre répandu sur le visage de l’une et de l’autre avec un mince sourire et un regard ironique en sa direction.
Bandol s’endormit bientôt au milieu du lit. Quelques heures plus tard, alors qu’il ronflait doucement, Justine entreprit de lui passer des menottes autour des poignets qu’elle attacha par ailleurs à la tête du lit. Puis elle noua à chacune de ses chevilles une corde dont elle lia l’autre extrémité aux pieds du lit. Ce n’est que, lorsqu’elle enserra sa bite et ses couilles dans un nœud coulant, qu’il se réveilla, mais il était trop tard et il était déjà à sa merci. Il crut pouvoir se défaire des menottes mais de nouveaux liens écartaient déjà ses poignets pour lui interdire tout mouvement. Il crut pouvoir se démener jusqu’à ce les nœuds cèdent ou que les montants se brisassent, mais Juliette, qui soutenait à présent sa complice, s’assit brutalement sur son dos et le contraignit à l’immobilité. Il crut pouvoir hurler et provoquer un scandale qui aurait obligé les deux catins à mettre fin à leurs funestes projets, mais Juliette lui passait déjà prestement autour du cou un bâillon qu’elle serra fortement dans sa bouche. Il ne pouvait désormais plus que gémir sur son triste sort.
Justine, experte en nœuds marins, s’assura d’une main ferme que la corde coulissait bien autour du sexe de Bandol, et elle tira brutalement sur le lien pour l’obliger à se mettre à quatre pattes alors même que Juliette glissait vers l’avant en s’asseyant sur la tête de leur victime pour l’obliger à adopter une attitude d’humiliante soumission. Il crut pouvoir s’y soustraire en se démenant de la plus belle des façons alors que les liens autour de ses pieds lui semblaient encore bien lâches, mais Justine, se dressant derrière lui, lui assena un violent coup de genoux dans les couilles. Il s’effondra de douleur, et Justine reprenant la corde qu’elle avait abandonnée un instant tira violemment dessus, lui infligeant une nouvelle douleur testiculaire et l’obligeant à se remettre dans la position souhaitée.
C’était à présent à Juliette de lui infliger une rude fessée. La main ne lui suffit bientôt plus, même si elle prenait soin de diriger certains de ses coups vers les couilles gonflées et enserrées par le nœud coulant sur lequel Justine tirait avec force. Juliette saisit une raquette allongée de cuir noir avec laquelle elle put assener de rudes coups sur le fessier de Bandol qui rougit rapidement. Elle exultait de voir les soubresauts qui agitaient le corps de leur prisonnier incapable de se soustraire à la fessée tant le lien coulissant autour de son sexe l’obligeait à se tenir immobile.
Puis se munissant d’un gode-ceinture, elle s’agenouilla derrière Bandol et l’encula rapidement, s’enfonçant en lui jusqu’à la garde, lui défonçant le cul sans ménagement tandis que Justine maintenait toujours fermement la corde qui glissait entre les cuisses de Juliette. Il gémissait sans que l’on puisse savoir si le plaisir l’emportait déjà sur la douleur.
Puis ce fut à Justine de vouloir remplir son office d’enculeuse. S’étant munie d’un gode-ceinture d’une taille supérieure à celui de Juliette, elle prit sa place en tenant fermement l’engin qu’elle dirigea vers la rondelle bien ouverte de Bandol. Elle l’encula longuement et violemment en le traitant notamment de vulgaire putain de bas-étage. Elle vérifia de la main que ces mots (à moins que ce ne soit le traitement prostatique) le faisaient bien bander comme une misérable salope. Il n’était plus nécessaire de le tenir en laisse par les couilles comme une chien bâtard, et quand Juliette lui présenta au visage le gode qu’elle venait de sortir de son cul, il l’avala dès qu’elle lui eut ôté le bâillon qui l’empêchait de remplir son rôle d’esclave soumis. Par devant et par derrière, il fut foutu longuement et plaisamment.
Enfin, Justine maîtresse des cérémonies l’obligea à se retourner et à se coucher sur le dos. Ayant défait une partie des liens de Bandol, elle releva ses jambes et remonta ses cuisses contre ses épaules. Son fessier était à présent offert à une nouvelle sodomie. Ce qui fut fait. Mais Justine était en proie à une espèce de fureur qui lui faisait chercher de nouveaux tourments à infliger à sa victime. Elle saisit un nouvel instrument susceptible de ravir ses sens énervés. C’était une cage de chasteté combinée avec un plug anal, le tout en acier inoxydable. Mais Bandol bandait encore trop pour qu’elle puisse glisser son vit dans l’engin. Justine se concerta avec Juliette qui s’agenouilla au dessus du visage de Bandol à qui elle ordonna d’enfoncer sa langue dans le trou de son cul. L’effet fut immédiat, et son vit se dressa instantanément, dur et raide : Justine saisit le membre exposé et le branla fermement, provoquant une éjaculation presque immédiate bien que de faible quantité. Il ne lui restait plus qu’à attendre quelques minutes. Juliette toujours assise sur Bandol lui masquait la vue des événements en cours. Justine saisit le vit flapi et le glissa dans la cage dont elle referma l’anneau d’acier à la base du sexe recroquevillé. Puis elle introduisit le plug dans son fondement. Finalement, elle remit en place les liens autour des bras et des chevilles de Bandol pour que tout son corps soit exposé en croix au milieu du lit.
Justine et Juliette s’agenouillèrent au-dessus de Bandol et se mirent à s’embrasser et à se caresser voluptueusement jusqu’à atteindre le plus intense des ravissements alors que leur victime gisait impuissante en dessous d’elles, son sexe totalement entravé dans la cage étroite. Enfin, avant de l’abandonner à son sort, Juliette se dressa au-dessus du visage de Bandol et lui ordonna : Avale, et elle lui pissa longuement dans la bouche. Le jet était tellement abondant qu’il ne put en avaler qu’une partie, le reste s’écoulant sur le lit. Justine qui n’était pas adepte de ce genre de jeux voulut néanmoins se joindre à cette charmante action et elle pissa à son tour sur le corps immobile de Bandol qui se retrouva bientôt baignant au milieu d’un lit trempé. Elles lui remirent le bâillon et s’en allèrent rapidement.

Taille originale : 21 x 29,7 cm

Tout le reste de la nuit, Bandol essaya de se défaire de ses liens mais les nœuds de Justine étaient trop habiles. Finalement, épuisé, il s’endormit d’un mauvais sommeil. Le jour se levant le trouva dans le même état, incapable d’échapper au piège que ses tortionnaires lui avaient tendu. Enfin, un membre du personnel de l’hôtel apparut en milieu de matinée mais, découvrant ce spectacle désolant, cette femme aux seins énormes se recula comme frappée de stupeur. Bandol ne pouvait que grogner sans émettre la moindre parole articulée. Ce n’est que plusieurs heures plus tard que la porte se rouvrit, et que la femme réapparut accompagnée vraisemblablement d’une collègue. Elles contemplèrent un moment la scène du désastre mais n’osèrent s’approcher. Elles disparurent à nouveau. Quelques minutes plus tard, un responsable accompagné des deux femmes s’approcha à son tour, mais lui aussi hésita sur la marche à suivre. Le trio ressortit, puis revint après un long moment avec un autre responsable plus affirmé qui s’approcha du lit et demanda à Bandol si tout allait bien ou s’il avait une demande particulière à formuler. Bandol secoua la tête de mille façons en grognant comme un porcelet qui essaie d’échapper au boucher qui l’entrave. Le responsable lui demanda alors s’il souhaitait qu’on lui retire le bâillon pour mieux comprendre ses propos, et le malheureux acquiesça muettement avec de grands mouvements d’approbation de la tête.
Il fallut encore appeler un membre de la sécurité qui eut la responsabilité de défaire prudemment les liens qui entravaient le prisonnier. Puis le responsable hôtelier déclara qu’il y aurait des frais supplémentaires à payer à cause des dégâts commis à la literie. Et il ne savait pas si un technicien de l’hôtel pourrait, sans occasionner de blessure, cisailler la cage de chasteté dont la clé avait été emportée.
Bandol enfin libéré s’aperçut également que son portefeuille avait disparu. Humilié et ridiculisé, il remarqua autour de lui des sourires mal dissimulés et entendit des murmures moqueurs. Il quitta finalement l’hôtel en fournissant moult assurances quant au paiement des dégâts occasionnés et des services rendus. En s’éloignant dans le brouhaha de la ville, il pensa : « Il n’y a philosophiquement rien à ajouter, elles m’ont bien enculé ! »

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