mercredi 22 février 2017

Paroles de femmes [Choses vues 13]

erotic drawing fellatio blowjob
taille originale : 21 x 29,7

Je suis assise devant leur bureau pour interrogatoire. L’un des policiers m’offre une cigarette, mais l’autre multiplie les menaces tandis que le troisième se tient en retrait. Le temps passe. Je refuse de parler. Je veux même me lever pour partir, mais les menaces se font plus précises, et, au moment où je veux saisir mon sac à main, le chef me saisit par la nuque et m’oblige à me coucher sur le bureau. De l’autre côté, son collègue a déjà sorti sa bite qui se retrouve à hauteur de mon visage et que je commence aussitôt à sucer. Derrière moi, on a relevé ma minirobe et écarté ma culotte, et je sens des doigts qui me triturent puis une langue qui commence à me lécher. Bien sûr, je suis consentante.
Le type devant moi qui a laissé tomber la veste a pourtant gardé le reste de son costume, et, sans même se servir de ses mains, il va et vient dans ma bouche bien régulièrement. Celui qui me tripote les seins m’a d’ailleurs saisi la tête pour que je ne puisse pas me soustraire à la fellation. En fait, je m’applique à le sucer consciencieusement accompagnant mes mouvements de bouche d’une masturbation de la main.Pendant ce temps, le type derrière moi commence à me lécher le trou du cul et je sens même sa langue qui y pénètre tandis qu’il écarte mes fesses de ses mains. Après un long moment où il me lèche, me pourlèche, m’embrasse la chatte et le cul, il semble s’éloigner et je sens le bout de son gland qui se frotte contre ma chatte et y pénètre. Les choses sérieuses commencent.


Je suce toujours avec autant de chaleur la bite qui m’est présentée, mais tout mon corps commence a être secoué par les mouvements du type derrière moi qui m’a saisi par les hanches pour me baiser à sa guise. Bien que je ne bouge pas du bureau, le troisième gars, qui est seulement occupé à se branler à côté de moi, s’applique à me dénuder toujours un peu plus, relevant ma minirobe au-dessus de mes seins, déchirant même ma culotte. Le type que je suce est quant à lui parvenu, sans sortir de ma bouche, à se dévêtir complètement et je comprends à leurs mouvements désordonnés que ses deux collègues en font autant. Celui qui me baise cède alors sa place au type laissé pour compte et j’écarte les fesses des deux mains pour qu’il puisse me pénétrer facilement. Mais c’est un pervers qui préfère entrer et ressortir de ma chatte, y fourrer ses doigts et me malaxer avant de replonger sa bite en moi. Bientôt je sens qu’il enfonce son pouce dans mon anus tout en continuant à me baiser.
Les deux autres devant moi profitent d’un moment où j’interromps la fellation pour me déshabiller complètement à mon tour. Puis ils me saisissent la tête pour que je recommence à sucer la bite qu’ils me présentent à tour de rôle et que je suce avec application. Tous changent de place, mais je suis toujours maintenue à plat ventre sur le bureau, une autre bite dans la bouche, tandis que l’un des trois, je ne sais lequel, a entrepris de m’enculer (tout en glissant par devant ses doigts dans ma chatte). Comme ils m’ont bien lubrifiée, il glisse rapidement et souplement jusqu’au fond de mon cul et je sens ses hanches et ses couilles qui viennent frapper contre mon derrière.

Enfin, ils me retournent sur le bureau, et celui qui est à ma gauche m’oblige à pencher la tête pour que je le suce tandis que celui à mes pieds (si je puis dire !) me soulève les jambes au-dessus de ses épaules et commence à me pénétrer. Le troisième se plante à ma droite et je commence à le branler. Deux bites en main, je suce alternativement l’une et l’autre tandis que mes cuisses largement ouvertes donnent libre accès mon sexe et à mon cul. Les deux gars à mes côtés essaient même de me fourrer leur bite en même temps dans la bouche, mais ils ne peuvent guère que se branler contre mes lèvres avant de se frotter sur la pointe de mes seins. Couchée sur le dos, la tête penchée en arrière au bord du bureau, je ferme bientôt les yeux suçant une bite, léchant des couilles alors que mon ventre balance au rythme du type qui me baise trop rapidement. Je réponds pourtant à toutes les sollicitations notamment des deux types qui, se frottant contre mon visage, m’appellent du bout de leur gland pour que je recommence à les sucer. Une fois dans ma bouche, ils n’hésitent d’ailleurs pas à s’enfoncer à leur guise et à plusieurs reprises jusqu’au fond ma gorge pour accroître leur plaisir. Je fais de mon mieux pour les satisfaire, mais ils en veulent toujours plus, et l’un deux monte sur le bureau et s’accroupit au-dessus de moi pour que je lui lèche les couilles puis le trou du cul. Son collègue semble lui aussi séduit par l’idée, mais il procède autrement et, resté debout, il me tourne le dos et se penche en avant pour me présenter ses deux fesses que j’écarte de mes mains afin d’enfoncer ma langue dans son sillon poilu.
La position se modifie à nouveau, et je monte à présent un des gars couché sur le bureau : assise sur lui, je lui fais face, sa bite enfoncée dans ma chatte. Mais je n’ai pas vraiment l’initiative, car, accroupi derrière moi, un autre force sa bite à s’enfoncer dans mon vagin où la place est pourtant déjà prise ! Bien que difficile, la manœuvre réussit, et mon vagin distendu s’ouvre à ces deux bites qui se frottent l’une contre l’autre en moi. Le troisième homme selon l’habitude déjà prise s’est planté devant moi pour que je le suce. Malgré la difficulté, la position perdure, mais seul le gars au-dessus de moi parvient réellement à aller et venir dans ma chatte tandis que celui sous moi subit lui aussi le mouvement imposé. Après un moment qui me semble fort long, celui-là se retire, mais c’est pour aussitôt cracher dans mon anus pour le lubrifier et y enfoncer sa bite. Cette fois, mon cul, ma chatte et ma bouche sont bien occupés, et chacun de mes partenaires s’active à présent à son rythme.
Celui dans mon anus laisse parfois échapper sa bite, mais il la ressaisit aussitôt pour la replacer d’où elle vient tandis que l’autre sous moi va et vient de plus en plus en rapidement et de plus en plus profondément dans ma chatte. Des mains me saisissent les hanches, les fesses, le cou, les épaules pour m’immobiliser, me repousser, m’enchaîner, m’entraîner, me pénétrer comme si les bites en moi ne parvenaient jamais à se satisfaire. Des pieds bougent, des ventres s’éloignent, des bras s’allongent, des hanches des bras, des jambes glissent autour de moi, mais moi, je reste pratiquement immobile, serrée contre le corps sous moi, suçant sans discontinuer la bite qui m’appelle, offrant toujours mon cul humide à celui qui n’arrête pas de s’y enfoncer sans répit…


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