dimanche 20 novembre 2016

Choses vues [11]

dessin pornographique masturbation pénis éjaculation
Taille originale : 29,7 x 42

Un type lit une anthologie de poésie anglaise, assis sur une chaise au milieu d’un jardin désert. Deux jeunes femmes en minijupe et tee-shirt moulant surviennent et l’interpellent sans succès. Collées l’une à l’autre, elles commencent à se caresser et à s’embrasser comme si le type n’existait pas, puis viennent s’asseoir de chaque côté de la table de jardin. Face l’une à l’autre, elles soulèvent leur jupe, écartent les cuisses, se dévoilent mutuellement leur sexe dans lequel elles font bientôt glisser leurs doigts. La jeune femme aux longs cheveux noirs plonge même ses doigts dans un plat de crème anglaise qui est au milieu de la table, et elle s’en pourlèche avant d’en humecter les lèvres de sa chatte. Le type intervient alors et s’énerve, mais les deux complices saisissant le plat le lui reversent sur la tête en éclatant de rire.
Couvert de crème, il retire sa chemise et s’en sert pour s’essuyer et tombe bientôt le pantalon (il ne porte pas de slip) dévoilant un pénis de belle dimension.
Toujours riant, les deux filles s’approchent à ses côtés et commencent à frôler la chose du bout des doigts avant de s’agenouiller et de la prendre en bouche. Elles lèchent le gland, se passent et repassent la chose, puis la fille aux cheveux noirs, ouvrant largement les lèvres, commence à le pomper de manière plus décidée tandis que la rousse lèche les couilles avant d’en prendre une en bouche. Cela ne les empêche pas de rire par instants devant la mine déconfite du personnage ou de l’absurdité de la situation. La pine passe encore plusieurs fois d’une bouche à l’autre.
Accoudée contre la table et les jambes légèrement écartées, la noire se fait ensuite pénétrer par-derrière, tandis que la rousse assise en dessous d’eux lèche les couilles qui vont et qui viennent au-dessus de son visage. Les jupes sont relevées, mais les deux jeunes femmes ont gardé leurs minces vêtements alors que le gars est lui tout nu : à un moment d’ailleurs, il s’écarte de sa partenaire et sort sa bite pour la donner en bouche à la rousse totalement complaisante. Puis il revient dans la chatte tout en profitant des coups de langue sur ses couilles. Il répète ce petit jeu à plusieurs reprises.
La rousse à son tour se fait pénétrer par l’engin impressionnant du gars, couchée sur la table de jardin. Sa compagne en a profité pour s’agenouiller au-dessus d’elle, les lèvres de sa chatte collées à la bouche de la rousse qui la lèche du mieux qu’elle peut. Longuement pénétrée, la rousse profite en plus des caresses sur ses seins prodiguées par celle dont elle embrasse le sexe.
Le type cependant en veut plus, et la noire se met ensuite à quatre pattes au-dessus sa compagne, en tête-bêche, cuisses et fesses bien écartées pour se faire sodomiser. Venant se placer à son tour sur la table derrière elle, il s’enfonce effectivement dans son anus, tandis que la rousse toujours couchée sur le dos contemple le spectacle au-dessus, tout en caressant du bout des doigts le clitoris et les lèvres de la noire qui se fait enculer et qui elle aussi caresse la chatte rousse devant sa bouche.
Mais, à nouveau, le gars s’écarte de sa partenaire et approche sa bite de la bouche qui est ouverte en dessous de lui et qui ne refuse pas de la sucer bien qu’elle sorte d’un anus (dont on peut croire qu’il a été préalablement soumis à un important lavement). Il revient bientôt dans le trou du cul de la noire où il s’active un long moment. Ensuite, ce sera à la rousse à se faire sodomiser, tout en suçant la chatte de la noire, jusqu’à ce que leur compagnon les fasse une dernière fois changer de position pour recevoir son éjaculation.
Debout, il se branle au-dessus de la bouche ouverte de la noire qui est agenouillée devant lui et qui reçoit les principaux jets de sperme sur ses lèvres et sa langue offerte. Quand il a fini, elle se penche vers sa compagne couchée sous eux et recrache sperme et salive dans la bouche de la rousse qui en goûte brièvement la saveur avant de le recracher par les commissures de ses lèvres. Penchées l’une sur l’autre, les deux filles, le menton dégoulinant de sperme, s’embrassent doucement.

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