dimanche 4 septembre 2016

Choses vues [9]

dessin pornographique cumshot
taille originale : 29,7 x 21 cm


La femme noire se couche dans le canapé, les jambes ouvertes et relevées contre le dossier. La femme blanche aux cheveux courts s’agenouille au-dessus d’elle et place son sexe au niveau de la bouche de sa partenaire qui commence à la lécher. Elle s’appuie au bord du divan pendant que l’autre femme et les deux hommes s’occupent de son sexe derrière elle.
Tous trois caressent en effet doucement ses fesses et l’intérieur de ses cuisses, puis les mouvements s’enhardissent, et l’un des hommes introduit ses doigts dans son sexe humide : il les fait glisser, tourner, aller et venir, se frotter contre sa chair puis en introduit un autre et encore un autre ; ses quatre doigts s’enfoncent jusqu’au bout des phalanges, au bord du métacarpe. La femme saisit alors la main qui cherche à forcer le passage, s’y cramponne quand elle pénètre dans toute sa largeur, et, tout en freinant son mouvement, l’aide finalement à s’introduire en elle, tout doucement, lentement, complètement. Elle l’immobilise même, ne la laissant glisser qu’après avoir repris son souffle, puis la relâche enfin quand elle est certaine que le type procédera sans forcer. Alors la main libérée commence à aller et venir, écartant largement le périnée quand elle est sur le point de sortir, puis s’enfonçant jusqu’au poignet entre les deux fesses qu’elle entraîne dans son mouvement et qui semblent vouloir se refermer sur son bras. Elle glisse à plusieurs reprises, elle tourne légèrement comme si elle voulait s’enrouler sur elle-même, mais tout le corps de la femme se met au bout d’un moment à accompagner ses mouvements, et finalement, c’est elle qui, appuyée au bord du divan, dirige la manœuvre allant et venant sur la main qui la pénètre. Le deuxième gars, qui continuait à caresser doucement ses fesses, glisse même un instant un doigt dans son anus.
La scène s’interrompt. Les deux femmes seules se rendent dans la cuisine, et la noire s’attache au bas-ventre un long et lourd godemiché de latex rose avec une ceinture dont une lanière supplémentaire passe entre ses cuisses. La blanche se met à quatre pattes sur le sol, vêtue seulement de son soutien-gorge et de ses bas noirs. Sa compagne s’accroupit derrière elle et la pénètre avec le gode. Elle agit avec une grande douceur sans précipitation, mais enfonce complètement l’engin qu’elle ramène ensuite jusqu’au bord du vagin, et, même s’il glisse à plusieurs reprises à l’extérieur, elle le remet facilement en place et continue sans heurts sa pénétration.
Elle se retire pourtant au bout d’un moment, et, s’agenouillant à côté de sa compagne, elle verse sur ses fesses et dans sa chatte un récipient de lubrifiant qu’elle répand sur tout le postérieur avant d’en humecter plus particulièrement les lèvres de la chatte et son intérieur. C’est elle à présent qui enfonce sa main dans la chatte de la femme blanche qui saisit également sa main pour l’aider à pénétrer, mais elle agit si doucement que celle-ci ne l’interrompt pas dans son mouvement. De son autre main, elle caresse tendrement le dessus des fesses de sa compagne qui est restée à quatre pattes, le derrière levé, exhibé. Bientôt c’est d’un mouvement de tout son corps se balançant d’avant en arrière qu’elle pénètre la femme blanche qui ferme les yeux et repose sa tête sur son avant-bras. La jeune femme noire interrompt pourtant un instant son mouvement alors que sa main est prête à être expulsée et s’amuse à frotter avec les doigts de l’autre main le bord de l’anus et les lèvres du sexe distendues puis renfonce sa main pour un nouveau cycle de va-et-vient. Elle s’interrompt enfin et, se relevant, détache la ceinture avec le godemiché qu’elle avait conservé accroché au bas-ventre.
Elle se met à son tour à quatre pattes à la place même de sa compagne. Celle-ci comme épuisée par l’effort s’assied carrément sur le sol, et après avoir lubrifié sa main et le sexe de la jeune femme s’enfonce doucement dans son vagin. Les deux gars les rejoignent sur ces entrefaites pour participer au spectacle, et, tandis que le premier d’entre eux se met à genoux devant la jeune femme à quatre pattes pour qu’elle lui suce la bite, le second commence à caresser ses fesses, son derrière, ses lèvres, sur lesquels il rajoute encore du lubrifiant. Mais ils échangent bientôt leurs positions, et tandis que le second se fait à présent sucer, le premier, se plaçant debout, les jambes légèrement pliées, derrière la jeune femme noire, entreprend de la sodomiser alors que la main de l’autre femme continue d’aller et venir lentement dans son vagin. La bite glisse cependant au bord de l’anus, et c’est la femme assise qui la saisit de sa main gauche restée libre pour lui permettre de rentrer dans le trou du cul qui s’offre à elle. La position est évidemment difficile et le gars doit s’y reprendre à plusieurs reprises avant de pouvoir enculer la jeune Noire à son aise, tandis que la femme blanche, attentionnée, lui caresse les fesses. Finalement, celle-ci retire sa main du vagin et entreprend de caresser les testicules du gars puis le clitoris de sa compagne qui continue à être sodomisée et qui semble même encourager le type en venant à son tour lui caresser un instant les couilles.
La position change encore et la femme blanche se couche entre les jambes de la Noire qu’elle peut ainsi plus facilement caresser et sucer (et qui elle-même continue à sucer l’autre gars). L’enculeur parvient alors à la jouissance et, sortant sa queue du trou du cul, l’abandonne à la femme couchée sous lui : elle saisit la bite, la branle à peine et, ouvrant la bouche, recueille le sperme qui s’écoule sur elle. Complètement satisfait comme l’autre gars qui a sans doute joui dans la bouche de la jeune Noire, il se relève et s’en va. Puis la Noire à son tour se met debout et les rejoint à côté. La femme blanche comme épuisée reste encore un moment couchée sur le sol de la cuisine. Elle essuie le sperme sur sa bouche.

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Museum Angewandte Kunst

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