taille originale : 21 x 29,7 cm |
Elle ne porte qu’un slip et se trouve à genoux sur un drap blanc dans un jardin entre trois hommes debout portant tee-shirts et jeans, le pénis bandé sorti de leur braguettes, les mains croisées derrière le dos. Dès le départ, la figure d’ensemble qu’ils forment tous les quatre est remarquable d’équilibre puisqu’elle suce à pleine bouche celui qui se tient devant elle tout en branlant d’une main chacune la bite des deux qui se tiennent à ses côtés. Ses seins menus, ses cheveux noirs retenus par deux couettes, lui donnent un air faussement ingénu, bien qu’elle manifeste une étonnante aisance dans l’action : quand la bite lui échappe de la bouche, elle la rattrape aussitôt d’un mouvement de langue et continue immédiatement sa fellation.
Bientôt, elle l’abandonne d’ailleurs pour sucer celui qu’elle branlait à sa gauche, mais elle porte alors sa main gauche sur le sexe qu’elle avalait l’instant d’avant. Elle seule semble mener la danse, ses comparses étant réduits presque au rôle de figurants.
La dynamique de la scène évolue cependant rapidement puisque le partenaire à sa droite la sollicite pour qu’elle reçoive dans sa bouche le sperme qu’il ne peut plus retenir. Elle s’exécute avec un enthousiasme apparent, lapant le foutre qui coule pour une part sur son menton, avalant profondément et à plusieurs reprises l’engin faiblissant, tenant ses deux mains appuyées sur les hanches de son partenaire qui ne fait aucun geste comme soumis à sa seule volonté.
Plus tard, la scène se recompose de la même manière mais cette fois tous sont nus, bien que ce soit toujours elle qui branle et suce avec le même dynamisme ses trois partenaires, l’un après l’autre.
On la retrouve ensuite debout, le corps penché en avant, soutenu par deux de ses partenaires, tandis que le troisième, un noir athlétique, se tient derrière elle et la pénètre rapidement en s’agrippant à ses hanches. Elle-même continue par instants à sucer l’un ou l’autre pénis qu’elle parvient à attraper en bouche.
Assise ensuite sur l’un de ceux qu’elle vient de sucer, elle ne parvient plus à guider le mouvement, et subit les assauts de celui qu’elle chevauche, car elle est trop penchée en arrière pour pouvoir soulever son bassin tandis que son partenaire (lui aussi un grand noir musclé à la peau lisse) s’enfonce à sa guise et à son rythme dans sa chatte. Les deux autres hommes se tiennent debout à ses côtés, se masturbant au-dessus de son visage et de sa bouche ouverte, l’invitant l’un après l’autre à les encourager d’un coup de langue qu’elle ne refuse pas.
Puis c’est à quatre pattes sur le même drap blanc du début qu’elle se fait baiser par le dernier de ses partenaires (un métis visiblement) qui n’a pas encore eu l’occasion de pénétrer sa chatte. Couché devant elle, le grand noir, qui l’a pénétrée le premier, soulève légèrement la tête pour voir comment elle le suce au même moment.
À son tour elle se retrouve couchée sur le dos, les jambes levées et écartées pendant qu’elle se fait pénétrer par un de ses partenaires à genoux et s’activant avec vigueur dans sa chatte. Elle ne s’abandonne cependant pas comme un pantin, et, au contraire, elle branle en souriant ses deux autres compagnons qui se tiennent de nouveau à ses côtés. Le cul soulevé, les jambes basculées en arrière, entourée au plus près par ces deux-là qui voudraient qu’elle les suce à nouveau, elle témoigne pourtant par son sourire répété de sa formidable aisance dans cette partie carrée dont elle est pourtant le seul véritable centre.
Rien ne s’éternise, et couchée sur le côté, elle se fait alors enculer par un de ses partenaires, appuyée derrière elle et qui lui soulève la jambe supérieure pour qu’on puisse voir sa chatte qu’elle caresse de sa main droite. La tête appuyée sur la hanche d’un autre de ses partenaires, elle parvient encore à le sucer en maintenant son pénis de la main gauche tout en continuant à se masturber de la droite.
Il est difficile d’apprécier la durée réelle de la scène puisqu'ensuite, on la retrouve couché sur le ventre au milieu du drap blanc, les jambes très largement écartées pour qu’un autre puisse à son tour facilement l’enculer entre ses fesses arrondies. Son anus semble accueillir sans difficulté aucune ce pénis gonflé et tendu comme un arc, pendant que l’on découvre sans surprise qu’elle suce les deux autres agenouillés devant son visage.
Dernière posture sans doute, elle se couche sur le métis qui pénètre son sexe, tandis qu’un des grands noirs accroupi derrière elle la sodomise au même moment. Chair noire, chair blanche, chair métisse, tous trois accouplés s’en vont et viennent plus ou moins maladroitement dans un mouvement faiblement accordé alors qu’elle suce en plus le dernier de ses partenaires.
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