Pénétration Taille originale : deux fois 29,7 x 21 cm |
« Elle rit.
— Et puis ? Que ferais-tu avec ton personnage de roman déshabillé ?
— J’écrirais une scène de sexe torride.
— Raconte.
— Le personnage principal ne toucherait pas sa partenaire, qui est scandaleusement nue. Il va la prendre de son seul regard impérieux. Il s’approche d’elle et se met à caresser ses courbes, sans effleurer sa peau. Ses grandes mains avides glissent à quelques insupportables millimètres de ses cuisses, de ses hanches, de son dos, de son cou…
— Et quand il la touche de temps en temps sans le faire exprès, elle frissonne de plaisir. Elle rêve.
— Non, il ne la touche pas. Et chaque fois qu’elle tente de se tortiller en direction de ses paumes, il esquive ses mouvements de façon agile et terriblement agaçante. Puis il approche sa bouche de ses petits seins…
— Et il lui mordille les tétons.
— Non, il sort le bout de sa langue et l’approche de manière exaspérante à un millimètre de son téton qui se dresse.
— Ses tétons sont durs comme des pépins d’orange.
— Des pépites ardentes.
— Oh, oui !
— Ils font presque mal, tellement ils sont durs. Et tandis que notre perfide héros s’abstient irrésistiblement de prendre ces tétons brûlants dans sa bouche, sa main descend avec une fausse innocence pour s’abstenir outrageusement de saisir sa partenaire à la chatte..
— Qui convulse de désir comme une petite méduse.
— Comme une bouche de bébé.
— Alors je craque et je commence à te déshabiller sauvagement.
— Le héros l’arrête, se relève, se tient devant elle, la regarde comme un loup et ouvre sa braguette.
— Quelle trique !
— Son sexe est une arme. De ses yeux, il la force à écarter les jambes.
— Comme ça ?
— Encore. Il veut qu’elle écarte ses jambes au maximum. Puis il s’approche et le premier contact physique que la protagoniste sent dans cette scène est la queue dure du narrateur, qui la pénètre lentement, mais inexorablement, sans la moindre pitié.
— Oui, baise-moi...
— Pendant quelques secondes, il reste immobile au fond d’elle. Il veut qu’elle sente à quel point il la remplit.
— Je le sens.
— Puis il commence à la baiser, à coups longs, lents et précis. Il lui joint les mains dans le dos. Il regarde le corps scandaleusement nu qu’il est en train de posséder et la prend sans la toucher autrement qu’avec sa verge qui ne cesse de grossir.
— Je vais jouir…
— Et ils jouissent tous les deux en même temps.
Je m’effondrai à côté d’elle sur le divan et elle m’étreignit de toute sa fragile nudité, comme un petit singe qui se cramponne à un tronc d’arbre. Elle posa sa cuisse sur ma queue mouillée, encore raide.
— Très réussie, ta scène de sexe, dit-elle.
— Ah oui ? Tu trouves ? À mon avis, on peut la peaufiner encore un peu.
— Avec plaisir. »
Circlusion Taille originale : deux fois 29,7 x 21 cm |
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