taille originale : 42 x 29,7 |
« Si un homme commet un adultère, il paie une indemnité de cinq vaches et un bœuf, à moins que l'adversaire ne soit un impuissant, auquel cas l'adultère peut réclamer une vache au mariage d'un enfant femelle de son adultère. Même quand le mari n'est pas un impuissant, si l'adultère peut démontrer qu'un enfant est né de ses œuvres, il peut réclamer la restitution du bétail qu'il avait livré en indemnité.
De même la fornication avec une fille non mariée se compense par la livraison d'une génisse ou d'un bouvillon. Là encore, il est peu probable que le coupable s'en acquitte. Si les parents de la fille savent qu'elle entretient des rapports avec un homme bien nanti de bétail, qui fait un parti possible, ils ferment les yeux sur l'amourette. Ou si la fille est déjà promise, et si l'un de ses frères les surprend accouplés, il s'attaque à l'homme à moins qu'il ne s'échappe : la chose est fréquente, car ce n'est pas une lâcheté de déguerpir en pareil cas. »
La position de la levrette est, paraît-il, appelée le « congrès de la vache » dans le Kâmasûtra.
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