taille originale : 21 x 29,7 cm |
Je me réveillai brutalement dans un état d'étrange hébétude. Il me fallut quelques secondes et quelques mouvements pour me rendre compte que j'étais couché complètement nu au milieu du lit, les mains attachées à son sommet. Je ne pouvais plus mouvoir que le bas de mon corps. Je voulus parler, appeler, mais ma bouche était terriblement sèche. Ma mémoire était bousculée et partielle. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Je ne savais pas où j'étais.
Puis la porte devant moi s'ouvrit et elle apparut nue, vêtue seulement d'un corset noir avec un godemiché orgueilleusement dressé au bas de son ventre. Je commençais à reconstituer ce qui s'était passé mais elle ne me laissa pas le temps de la réflexion. « Ah, tu es déjà réveillé et dans de bonnes dispositions dirait-on », dit-elle en fixant mon sexe qui était légèrement bandé. « Bien, écarte les jambes à présent, que je puisse contempler ton frêle orifice et puis bien sûr t'enculer ». J'essayai de récupérer un peu de salive pour parler et déclarai d'une voix pâteuse : « Non, non, je ne suis pas une… - Pas de gros mots : tu me l'as déjà dit hier ! Tu dois simplement faire preuve d'un peu d'ouverture d'esprit et de fondement. » J'étais trop épuisé pour discuter et demandai seulement d'une voix sourde un peu d'eau. Elle apporta bientôt un verre qu'elle déversa au bord de mes lèvres. Je vis distinctement alors du coin de l'œil à quelques centimètres de mon visage l'engin noir et veineux dont elle était affublée.
Puis elle m'ordonna d'écarter les jambes pour qu'elle puisse, dit-elle, satisfaire l'intense désir qu'elle avait de me sodomiser. Je secouai la tête, mais elle s'approchait déjà de moi et voulut me saisir les genoux. Je me débattis, essayant de lui donner des coups de pied et de la repousser plus loin, mais elle se redressa, se pencha au bord du lit pour y saisir un fouet. Sans me laisser le temps de réagir, elle me donna deux ou trois coups directement sur la bite et les couilles. Gémissant, je fermai instinctivement les cuisses, pliai les jambes et basculai sur le côté pour mettre mes parties sensibles à l'abri. « Tu vas obéir, je te le dis » affirma-t-elle avec un léger rire. Et elle m'appliqua de nouveaux coups de fouet, cette fois sur les fesses. Mais surtout, elle les saisit pour essayer d'y glisser un doigt. Instinctivement, je basculai de l'autre côté, mais je ne faisais qu'exposer la même face sous un angle différent. Après une ou deux nouvelles tentatives de sa part, je me raidis, hérissé comme un bâton de berger, les jambes complètement allongées, les fesses bien serrées sous mon corps. Elle en profita cependant pour s'agenouiller sur mes cuisses et aussitôt me caresser la bite.
Après quelques instants, elle conclut : « Je vois que ton état d'esprit s'améliore. On va pouvoir comparer la taille de nos engins. » Elle frottait effectivement son gland contre le mien, et je dus constater que j'étais en situation d'infériorité. « Il est temps de passer aux choses sérieuses. Écarte les jambes. J'ai déjà trop attendu. J'ai trop envie de t'enculer, là, tout de suite ! » Je réitérai mon refus de multiples mouvements de la tête, mais elle me saisit les couilles et me les tordit violemment en répétant : « Écarte, écarte, te dis-je ! » Je relâchai seulement mes muscles contractés, ce qu'elle remarqua et dont elle profita pour soulever ma cuisse gauche et la poser sur son épaule. La voie était libre, mais elle garda mes parties fortement serrées dans sa main gauche tout en en enfonçant un doigt de la droite dans mon anus. Je gémis de honte et de douleur mêlées. « Arrête, c'est juste un doigt, bien lubrifié d'ailleurs. Tu en as chié de plus gros que ça ! » Et elle l'enfonça complètement avant de le retirer, et, cette fois, d'en enfoncer deux. Je gémis encore, mais je constatai avec stupéfaction que mon trou le plus intime s'ouvrait sans réelle difficulté. Trois doigts, sinon quatre, occupèrent la place.
« Voilà, je crois qu'on est prêt pour les choses sérieuses », dit-elle après quelques allées et venues. Elle profita de ma faiblesse, pour me saisir par en-dessous des genoux et pour relever mes cuisses en les écartant le plus largement possible. Je fermai les yeux et je sentis l'engin qui s'introduisait déjà dans mon fondement. Elle progressa lentement mais je pensais seulement que mon trou était bien trop serré, bien trop étroit pour cette chose, et qu'elle allait me déchirer l'anus. Elle ne s'arrêta pas et j'émis plusieurs petits cris de douleur, tout en répétant silencieusement « Ce n'est pas possible, c'est trop gros, elle n'y arrivera pas ». Mais elle franchit le dernier obstacle, me faisant pousser un cri d'effroi et de soulagement mêlés. « Nous voici dans la place-forte, murmura-t-elle. On va à présent élargir la voie et la rendre complètement accessible. » Et elle commença à aller et venir, d'abord lentement, puis plus rapidement, avec des mouvements de plus en plus amples, sortant bientôt du siège avant d'y replonger entièrement. L'orifice était à présent tellement ouvert qu'elle avait à peine besoin de diriger l'engin dans sa course.
De sa main gauche, elle me branlait rapidement, et je sentais que, de manière inexplicable, je bandais fermement. Et quand elle relâchait ma bite pour m'enculer plus aisément, celle-ci restait incroyablement dure, prête sous mes yeux à éjaculer, me semblait-il, jusqu'à mon propre visage. Je murmurai : « Baise-moi, baise-moi, mais laisse-moi me branler… - Haha, tu aimes ça finalement de te faire enculer. Avoue-le, dis-le, dis le mot… - Non… - Si, tu vas le dire… - Une tapette… - Dis toute la phrase… - Je suis une tapette… - Oui, tu es une tapette, un pédé, un enculé, une pédale… et tu aimes ça manifestement ! » Et elle continua à m'enculer sans toutefois me libérer, car il lui fallait, disait-elle, satisfaire ses pressantes envies sodomites. Et puis elle voyait bien combien cette pratique me plaisait et me faisait durcir et que je méritais d'en découvrir les plaisirs extrêmes.
Arrivée finalement à un degré suffisant d'épuisement, elle se retira et déclara que je devais encore subir quelques outrages et qu'il me fallait à présent lui sucer la bite. Je murmurai : « Non, pas la bite qui sort de mon cul ! - Si, si, mais je vais retirer la capote dont je me suis servie. - Mais pourquoi ? - Tu dois rendre hommage à la bite qui t'a si bien enculée. Tu ne peux pas te montrer ingrat. Tu devras l'avaler entièrement. Je vais te libérer mais tu te mettras en position, la tête renversée au bord du lit pour que je puisse t'imposer une gorge profonde. Tu verras, la première fois, c'est un peu douloureux, mais vu ton état d'esprit, il est certain que tu adoreras servir de foutoir ultime à ma bite ! »
taille originale : 21 x 29,7 cm |
Était-il possible qu'elle parvienne à ses fins, que j'obéisse sans me révolter, que je consente ainsi à mon propre abaissement ? Il n'était pas temps de philosopher mais bien d'agir. Libéré, je pouvais à présent me redresser, fuir peut-être, défier celle qui venait d'abuser de moi, mais je constatai que ma bite était raide, tremblante d'affolement et d'excitation à l'énoncé de l'épreuve qui m'attendait. J'obéis aux instructions données et me mis dans la position exigée. Le gland noir s'approcha de mes lèvres qui s'ouvrirent pour l'accueillir dignement. D'abord modérée, la fellation devenait de plus en plus profonde. Je m'efforçais de sucer et d'avaler la chose. Puis le passage devint périlleux. C'est elle à nouveau qui guidait le mouvement, et, si elle tenait compte de mes soubresauts et de mes résistances involontaires en se retirant un bref instant, la bave dégoulinant alors sur mon visage renversé, elle revenait toujours à la charge à son rythme jusqu'à ce qu'elle parvienne effectivement dans ma gorge, s'enfonçant à un tel point que je crus m'étouffer. Elle se retira, recommença autant de fois que nécessaire, pour qu'elle puisse aller et venir rapidement jusqu'aux qu'aux couilles de latex sans rencontrer de résistance.
Elle se coucha alors sur moi en soixante-neuf et prit à son tour ma bite en bouche. En même temps, elle glissa une main sous ma cuisse pour enfoncer plusieurs doigts dans mon cul. J'écartai des deux mains mes fesses, l'appelant muettement à enfoncer plus de doigts, plus profondément, plus violemment dans mon trou intime. Jamais je n'avais été soumis à une telle emprise, jamais mon corps et ses orifices n'avaient été ainsi abandonnés au plaisir d'autrui. Et c'était incroyablement jouissif. Experte, elle me suçait comme si elle percevait elle-même la montée du plaisir dans mon membre, et elle me fit éjaculer dans sa bouche sans que je ne puisse rien contrôler.
J'étais abasourdi. Elle me fit changer légèrement de position, s'agenouilla au-dessus de ma tête, et commença à se branler sur mon visage, qui dégoulinait à présent de bave et de mouille mêlées. Elle jouit.
Plus tard, elle m'apprit les bonnes manières, notamment à me mettre à quatre pattes pour me faire prendre en levrette, à genoux pour avaler son gode, couché sur le dos, les cuisses bien relevées et bien écartées pour qu'elle puisse m'enculer à sa guise. Je dus également apprendre à faire des lavements corrects afin qu'elle passe facilement et à plusieurs reprises de mon cul à ma bouche et inversement. Plus tard encore, elle me présenta une de ses amies, une amante en fait, et elles consacrèrent toute la soirée à me baiser en bouche et en cul. À genoux devant elles, je dus également les sucer à tour de rôle avant d'essayer de prendre les deux godes en même temps. Elles tentèrent également une double pénétration anale.
Un scénario similaire se déroula cette fois avec un homme que je suçai longuement pendant qu'elle m'enculait. Puis la position s'inversa naturellement, et il m'encula pendant que je suçais son gode.
Ce soir-là, elle conclut : « Je crois que cette thérapie de conversion est une belle réussite ! »
Espace courtois taille originale : 21 x 29,7 cm |
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