Courbes baroques Taille originale : 32 x 24 cm |
Une maîtresse sévère aime jouer avec la floche de son serviteur. Dans ces circonstances, il doit se mettre nu devant elle, les yeux baissés, les mains derrière le dos pendant qu'elle fait mine de soupeser la petite affaire. Il doit s'être muni d'une cordelette suffisamment épaisse pour qu'elle soit bien visible mais suffisamment fine pour enserrer la chose.
Il la plie en deux, en double épaisseur et enserre d'abord la couille droite avec le nœud coulant ainsi formé. La cordelette rêche le pique un peu, elle le sait. Il fait deux tours serrés puis ramène la cordelette dans un premier tour à la base du service trois-pièces. C'est au tour du testicule gauche, plus gros de subir le même sort. À présent, les deux précieuses ridicules sont bien saillantes, séparées l'une de l'autre par trois ou quatre épaisseurs de ficelle.
C'est de la floche qu'il faut à présent s'occuper. Mais avant toute chose, il faut qu'il se branle devant elle et qu'il évacue complètement le contenu répugnant de ses deux petites couilles. Elle ne veut pas avoir affaire à un engin rigide, seulement à une petite floche. C'est de ses propres doigts qu'elle décalotte ensuite le gland rapidement dégonflé. Elle lui ordonne d'enserrer complètement la chose avec la cordelette comme une momie dont seule la tête resterait visible. En trois tours à peine, le petit bout est enserré et incapable désormais de se redresser ni même de se gonfler. Un nœud - un véritable nœud ! - termine à présent le ficelage qui enserre l'ensemble des trois malheureuses privées de toute liberté.
Une corde plus substantielle, plus facile à manier pour la maîtresse des lieux, est attachée à ce premier harnachement. Notre serviteur se met donc à quatre pattes afin que sa maîtresse puisse tester l'efficacité du dispositif : elle se tient debout derrière lui et lui ordonne d'écarter largement les fesses pour qu'elle puisse observer non seulement la floche qui pendouille lamentablement avec ses deux acolytes entre ses cuisses écartées, mais également le trou de son cul qu'il lui plaira sans doute de défoncer ultérieurement. Elle tire d'un coup sec sur la corde, et, surpris par cette attaque inattendue, il s'écroule en essayant inutilement de se protéger le bas-ventre. Le dispositif fonctionne parfaitement.
Alors, elle le fait remettre en position et lui fait soulever la patte gauche - oui, c'est son chien à présent -, pour qu'elle puisse glisser la corde par en-dessous et s'en servir comme d'une laisse. Il doit avancer à ses côtés à quatre pattes : s'il traîne trop, la laisse le rappelle à facilement l'ordre.
Elle va s'asseoir dans le canapé avec son chien sur ses traces. Là, elle lui ordonne de faire le beau, c'est-à-dire de se mettre à genoux devant elle, les mains croisées dans le dos. Elle jouit encore une fois du charmant spectacle de cette floche qui pendouille, et elle tire à peine sur la corde pour la voir s'agiter légèrement. La vue de cette lamentable petite chose toute molle et entièrement en son pouvoir la réjouit et l'excite même grandement. Elle lui ordonne : « Viens me sucer la bite ! ». Ouvrant les cuisses, elle soulève sa jupe et écarte son slip pour qu'il découvre son clito bandé et bien raide.
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